Inventaire des archives du château de Sainte-Marie-sur-Semois
- 1 Correspondance adressée au duc de Corswarem-Looz et à ses officiers, 1737-1738.
- 2 Requête présentée par Joseph-Philippe, duc de Corswarem-Looz à propos du montant des inétrêts dûs à Théodore Maljean dont le père avait été privé de la recette des domaines de Chiny par les Français, au profit de Henri Henriquez, s.d., après 1739.
- 3 Extrait d'une sentence rendue par la Grand Conseil de Malines dans le procès entre Joseph-Philippe-Hyacinthe duc de Corswarem-Looz et Jean-Baptiste de Brias, seigneur de Hollenfels, 13-14 juillet 1747.
- 4 Correspondance adressée au duc de Corswarem-Looz par Charles-Christophe du Bost-Moulin et Louise Lambertye, marquis et marquise du Pont-d'Oye, 1759-1768.
- 5 Pièces relatives aux nominations d'officiers locaux : Gérard de Stenay, greffier de la Justice d'Etalle, Jean-Louis Morialmé, amodiateur du Bois-Rond, Jean-Nicolas Mohy, procureur d'office du Bois-Rond, 1759-178.
- 6 Comptes des réparations effectuées au château et à l'église de Sainte-Marie, à la cense du Bois-Rond et au château de Villers-sur-Semois par Louis Ryon, adoisier, 1781-1783.
- 7 Comptes entre Joseph de Gobart, administrateur du château de Sainte-Marie et Lambert Welter, directeur de la forge du Prince, 1783-1786.
- 8 Comptes des recettes et des dépenses présentés par Joseph-Emmanuel de Gobart au duc de Corswarem-Looz, 1786-1787.
- 9 Pièces relatives aux délits de chasse et de pêche commis sur les terres du duc de Corswarem-Looz et à la location du droit de pêche, 1762-1788.
- 10 Contestations à propos du droit de terrage que le duc de Corswarem-Looz revendique sur les aisances, 1763-1788.
- 11 Lettre de recommandation accordée par Guillaume-Joseph, comte de Looz, à Anselme Piton, 30 novembre 1790.
- 12 1263 (1264, n.st.), février. Thibaut comte de Bar et Louis fils du comte de Looz et de Chiny procèdent à un échage avec Jacques, chevalier d'Etalle. Ce dernier cède tous ses droits au ban d'Etalle et reçoit tous les droits que les comtes de Bar et de Chiny détiennent dans la Seigneurie de Sainte-Marie (1)(2).
- 13 1451 (1452, n.st.), 22 mars. Guillaume de Malberg seigneur d'Ouren fait savoir que son frère Jean, seigneur de Sainte-Marie, a reçu en héritage de son père, la forte maison de Sainte-Marie et les droits qu'il possèdait sur toute cette seigneurie. Guillaume de Malberg appose son sceau et prie Guy de Barbanson (Barbachon), seigneur de Villemont, Jean d'Etalle (de Staule), Jacquemin de Sivry, prévôt d'Etalle et Jean de Ymbermont, curé d'Etalle d'apposer leur sceau (1)(2).
- 14 1461 (1462, n.st.), 15 janvier. Charte dite d'affranchissement de Sainte-Marie. Devant Guillaume de Boullant, seigneur de Rollé, prévôt de Virton, Jacquemin de Sivry et Noël de Bauff, gardes du scel de tabellionnage de Virton, les hommes de la châtellenie, Henry de Lus dit Moral, Reignart d'Argies, Pierret Massatel, Huet de Crocie demeurant à Robelmont, comparaissent des manants de Sainte-Marie qui reconnaissent leurs devoirs vis-à-vis de leurs seigneurs Jean de Malberg et sa femme Sara de Wiltz (Woefs). On appose le sceau du tabellionnage (1)(2).
- 15 1464, 11 août. Guillaume de Malberg, seigneur d'Ouren et sa femme Philippet d'Argenteau procèdent avec leur frère et beau-frère Jean de Malberg, seigneur de Sainte-Marie au partage des biens laissés par leur père et leur mère, Jean de Malberg et Marguerite d'Etalle. Guillaume et Philippet apposent leur sceau et prient Henry Jonck de Bastogne, lieutenant du prévôt d'Etalle et Robynnet de Herbyngnye d'appendre le leur. (1).
- 16 1473, 12 juin. Sentence rendue par Guillaume de Grenant, seigneur de Pailhe, conseiller et lieutenant du marquis de Hochberg, gouverneur du duché de Luxembourg, dans le procès qui oppose Jean de Malberg, seigneur de Sainte-Marie à Jacquemin Thomas et Andrieu le Tourneur de Sainte-Marie, à propos de droits seigneuriaux que ces derniers contestent. Guillaume de Grenant appose son grand sceau. (1).
- 17 1474 (1475, n.st.), 7 janvier. Devant Didier de Wal, seigneur de Villers-le-Rond et de Fresnois en partie, prévôt d'Etalle, remplaçant le comte de Chiny, Collay de Boullay dit de Villet, lieutenant et prévôt de Longuyon à Etalle et les hommes de fief, Guillaume de Malberg, seigneur d'Ouren, Jean d'Astenoy, Poncelet du Treux, Jacob de Beholtz, Jean de Xivery, Haury Colnudon, Frédéric curé de Lullange, fils de Cleis de Colpach, donne à Jean de Malberg toutes les terres et droits que son père Cleis et son oncle Tielman Colpach possédaient à Sainte-Marie. Didier de Wal, Collay de Boullay, Guillaume de Malberg, Jacob de Beholtz et Poncelet du Treux apposent leur sceau. (1).
- 18 1478, 26 novembre. Jean de Mouzay, en son nom et au nom de sa femme Nicole de Colpach (Coillepas), fille de Jean et d'Agnès, vend à Jean de Malberg, seigneur de Sainte-Marie, tous les droits et revenus qu'il possède dans la seigneurie de Sainte-Marie pour 70 francs. Jean de Mouzay appose son sceau et demande à Colla de Boulla dit de Villette, lieutenant du prévôt de Longuyon d'y joindre le sien. (1).
- 19 1480, 20 octobre. Dans le procès qui oppose Jean de Malberg, seigneur de Sainte-Marie à Jacquemin Thomas et à Andrieu le Tourneur, le Conseil de Luxembourg condamne Jacquemin et Andrieu à s'acquitter des corvées et droits dûs à Jean de Malberg. (1).
- 20 1480, 20 octobre. Maximilien et Marie, ducs d'Autriche ordonnent que l'appointement dans le procès qui oppose Jean de Malberg, seigneur de Sainte-Marie à Jacquemin et Andrieu le Tourneur soit communiqué aux parties. On appose leur sceau. (1).
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