III. Communauté canoniale
33 - 85, Testaments et successions.
47, Charles Chastelain, prévôt : partage de la rente de cent livres qui lui était due par la ville de Soignies, cinquante livres étant affectées à la chapelle du Saint-Nom de
Jésus, les cinquante autres revenant par moitié à ses sœurs germaines Nicole et Marguerite. 14 mai 1584 (orig.). Avec une pièce annexe : donation par Marguerite Chastelain veuve de
Philippe de Froimont, de Soignies, à son fils Charles, avocat au Grand Conseil de Malines, de la partie de rente susdite héritée de son frère. 23 août 1602 (orig.).
1 pièce
(Prévôt : voir aussi n° 49. Ville de Soignies : voir ci-dessus n° 10. Voir aussi n° 995. Plusieurs testaments et comptes d'exécution testamentaire du XVIIIe s. ont fait l'objet d'une exploitation par R: RICHE, " La vie et les mœurs des chanoines de Soignies, leur mort ", dans " A.C.A.S. ", t. X, 1948, pp. 34-47. Pour la, période antérieure, il faut s'en tenir à celle qui en a été faite dans le mémoire signalé ci-dessus p. 11 et qui-intéresse quelques musiciens des XVe-XVIe s., à savoir Gilles Binchois, Guillaume de Malbecq, Pasquier Pastoris et Charles Chastelain. On trouvera dans DEMEULDRE, " Le chapitre..., loc. cit. ", pp. 56-359, les notices biographiques se rapportant aux chanoines ayant constitué la communauté sonégienne. Bien que non exhaustif et devant être corrigé ou complété sur plus d'un point, ce travail rend de précieux services et ne manque pas d'intérêt dans la mesure, notamment, où il a pu se fonder sur des sources aujourd'hui disparues. Pour la deuxième moitié du XVIIIe siècle, on le complétera par les notices mises au point par R. RICHE, " Autour des anciens chanoines de Soignies ", dans " A.C.A.S. ", t. XI, 1949, pp. 91-98. Enfin et pour le cas particulier des chanoines musiciens, on se référera à la n. 1 de la p. 19.) Archiefvormers
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Archives de l'Etat à Mons -
AEM.09.004 -
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