(Les rentes étant parfois acquittées avec de nombreuses années de retard, c'est l'année d'échéance qui sert de référence pour la datation des registres. Sauf indication contraire, chaque registre s'ouvre sur les rentes échues le jour de la Saint-André de la première année mentionnée. Ce principe se justifie d'autant plus que pour les contemporains, l'année de référence est celle de la principale échéance, c'est-à-dire le jour de la Saint-André (30 novembre), comme c'est le cas dans les comptes des receveurs décrits ci-dessus. " L'année 1706 " correspond donc à l'exercice 1706/1707. Ce principe de datation permet par conséquent d'utiliser les registres aux cens et rentes parallèlement à d'autres articles du fonds, tels que les comptes généraux ou la correspondance des receveurs. Les mêmes registres ayant été tenus par plusieurs receveurs sans qu'il en soit fait forcément mention, nous les avons regroupés en fonction de leur forme. On remarquera encore que dans le cas de la recette d'Argenteau, contrairement à un usage très répandu pour ce genre de documents, on ne trouve que très exceptionnellement une mention de l'identité du seigneur auquel appartient le registre. Prov. et arr. Liège, com. Visé, anc. com. Voir la notice géographique à l'annexe E.1.)
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Archives de l'Etat à Liège -
Y4 -
2229
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