Le nom usuel de la fonderie est une appellation générique admise pour tous ceux, à commencer par Philippe Slégers lui-même, qui ont parlé ou écrit sur la fonderie depuis sa fermeture.
Ce nom usuel est celui qui résume le mieux l'histoire de la fonderie et rassemble toutes les noms employés dans les courriers et les contrats, mis en scènes sur les en-têtes et les
publicités, et surtout inscrits dans le bronze des cloches. Ils ont souvent varié, y compris pour un même fondeur, d'une production à l'autre ; cette liste n'est pas exhaustive et ne dit
rien quant aux statuts juridiques de l'entreprise.
Fonderie de cloches Causard-Slégers, à Tellin.
Fonderie de cloches Causard père et fils à Tellin;
Fonderie de cloches Causard frères et sœurs à Tellin;
Fonderie de cloches de F. et A. Causard à Tellin;
Fonderie de cloches de A. Causard, Tellin (Belgique) - Colmar et Strasbourg (Alsace);
Fonderie de cloches G. Slégers-Causard, successeur de A. Causard à Tellin;
Fonderie de cloches, le petit fils des Causard, G. Slégers, Tellin.
A propos de l'abbaye de Morimond, 4e fille de Citeaux : voir le site Internet des Amis de l'abbaye de Morimond : http://abbaye-morimond.org/ (consulté le 27 octobre 2014). Le site
propose notamment une page très complète de références bibliographiques sur l'ancienne abbaye. G. KURTH, Note sur le nom de Lambert Patras, dans Bulletin de l'Académie royale de Belgique. Classe des lettres, n° 11, 1903, p.734-737 ; L. GERMAIN, Les fondeurs de cloches lorrains,
dans Mémoires de la Société des lettres sciences et arts de Bar le Duc, 2e série, t. VI, 1887, p. 83-104 ; H. RONOT, Dictionnaire des fondeurs de cloches du Bassigny, Dijon, 2001, 236
p. Appareil à base d'argile, de crottin de cheval et de bourre servant à la réalisation du moule de la cloche (L. CAPELLO, Dictionnaire portatif piémontais-français suivi d'un vocabulaire
français des termes usités dans les arts et métiers, par ordre alphabétique et de matières, avec leur explication, 2e partie, Turin, 1814, p. 454). Brochette ou échelle campanaire : bâtonnets de bois ou tiges de bronze sur lesquels sont gravées les mesures de base pour déterminer la hauteur, l'ouverture et l'épaisseur nécessaires
pour obtenir des cloches le son souhaité (L. CAPELLO, Op. cit., p. 447 et 449). Fondeur de cloches, de l'ancien français sain, cloche, en latin signum, signal (J. SALMON et Cl. AUBERIVE, Saintiers et cloches de Breuvannes, dans Les cahiers haut-marnais, 1988, p.
4). Le premier Causard qui soit connu, Michel (ca 1625-1694) était cordonnier ; ses descendants seront laboureurs mais plusieurs d'entre eux feront alliance avec des familles de fondeurs
du Bassigny : les Gillot, Thiébaut, Perrin, Drouot, etc. (G. DARTOIS, Aux origines de la fonderie de cloches de Tellin, dans De la Meuse à l'Ardenne, n° 26, 1998, p. 53-54 ; Ph SLEGERS,
Il était une fonderie, s.l., 2004, p. 22-23). La sœur de Reine Albert, Marie-Thérèse, avait épousé, en 1786, Jean-Baptiste Perrin, aubergiste. Le deuxième garçon de la famille, Joseph, né à Maisoncelles, le 23 novembre 1788,
épousa Thérèse Drouot, fille du fondeur Clément Drouot, de Huilliecourt, le 27 janvier 1813. C'est avec son beau-père qu'il apprit le métier de fondeur. Il en transmit le savoir-faire à
son frère, Charles, né en 1797, à son fils, prénommé lui-aussi Charles (Charles Honoré dit Perrin-Martin), à son gendre, Antoine Joseph Hemery, et à ses cousins, Jean-Baptiste et Charles
Causard (R. DOUCHE, Généalogie des fondeurs de cloches de Robécourt, Robécourt, 1997 ?). Maisoncelles, 9 août 1802 - Tellin, 11 août 1857. Date traditionnelle du début de la campagne annuelle des saintiers du Bassigny (Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 26) ; en 1820, le 16 février. Suivant Ph. SLEGERS (Op. cit., p. 30) la première cloche connue de Charles Causard, co-signée avec son cousin Joseph Perrin, date de 1827, à Mussy-la-Ville. Archives communales de Tellin citées par Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 32. G. DARTOIS, Op. cit., p. 53-63. Jusqu'en 1858, les frères Causard seront partiellement ambulants (Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 36), réalisant sur place et seulement à la bonne saison, les pièces les plus grosses ; la
réalisation d'objets en fer permettait vraisemblablement de maintenir l'activité de l'entreprise durant l'hiver. Félicie-Flore Causard (1834-1835), Hippolyte Causard, (1836-1894), Jean-Baptiste Causard (1837-1838), Firmin Causard (1839-1897) et Adrien Causard (1841-1900). Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 37, fait remarquer que Charles Causard signe ses cloches Causard et fils dès 1854 (Hollange) alors que l'aîné des trois n'a que 18 ans. Anhée, 16 juillet 1866 - Tellin, 11 décembre 1947. L. WILLEM et A. de VILLEGAS de CLERCAMP, Les usines de moulins. La famille Jacquier de Rosée, maîtres de forges, s.d., 1993, 26 p. Cf. supra note 7. A. JACQUES et J. CLOSSET, Histoire d'un village, Anhée-sur-Meuse, 1800-1950, t. III, s.l., 1989. Tracé de cloches dessiné par Joseph Perrin, cousin d'Hippolyte Causard. Dictionnaire des facteurs d'instruments de musique en Wallonie et à Bruxelles du 9e siècle à nos jours, sous la dir. de M. HAINE et N. MEEUS, Bruxelles-Liège, 1986, p. 74-75. Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 48. Sidonie-Alice Causard (1865-1944) a épousé, le 23 août 1887, Odon Dury, juge au tribunal de 1e Instance de Marche-en-Famenne. Léon Wiot (Tellin 1855-1923). Instituteur de formation, Léon Viot devient comptable de la fonderie, à la demande d'Adrien Causard, en 1884. Par ses qualités humaines et
professionnelles, il va être un des principaux acteurs, avec Causard lui-même et Dom Blessing, de ce qu'on peut appeler " l'âge d'or " de la fonderie tellinoise. Il terminera sa carrière
comme fondé de pouvoir et actionnaire de l'entreprise (voir Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 53-58). En 1937, le curé de Tellin, l'abbé Victor Enclin, publiera une biographie romancée de Léon
Wiot : Le mouleur de cloches. Récit famennois, Namur, 1937, 60 p. Cf. inventaire n° 167-170. Né à Ortho en 1873, Georges Slégers est le petit-cousin de Marie Causard : Bernard Joseph, le père de Georges est le demi-frère de Lucienne Slégers, la grand-mère de Marie. Georges et
Marie se sont marié à Tellin le 18 mai 1901 (Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 76). Voir notamment la correspondance entre Georges Slegers et Joseph De Beer, président de la commission pour la sauvegarde des cloches (CEGESOMA, Fonds De Beer, n° 5C). Sur la commission
: H. SCHUERMANS, Les cloches dans la tourmente, s.l., s.d. ; en même temps que l'introduction de l'inventaire du fonds De Beer par Th. BOUDART, Bruxelles, 2000 (CEGESOMA, n° AA1330). Bien qu'ils aient été tous, peu ou prou, initiés au métier de fondeur (http://tchorski.morkitu.org/12/causard.htm consulté le 29 octobre 2014).
Durant 138 ans (de 1832 à 1970) quatre générations de fondeurs de cloches, les Causard puis les Slégers, ont dirigé à Tellin la plus importante fonderie de Belgique. Trois mille
tonnes de bronze y ont été coulées en forme de cloches et ce principalement pour la Belgique mais aussi pour les Pays-Bas, l'Allemagne, le Congo, le Canada, etc.
C'est au voisinage de l'abbaye de Morimond, fondée en 1115 près de Fresnoy-en Bassigny (act. Parnoy-en-Bassigny, Haute-Marne)
Du XIVe siècle jusqu'au début du XXe, des centaines de maîtres-fondeurs quitteront chaque année le Bassigny pour sillonner l'Europe à la recherche de chantiers. En effet, fabriquer
des cloches ne peut s'exécuter qu'en bonne saison car la mise en œuvre, entre autres, des mortiers, des
Durant des siècles, tous ces artistes se sont transmis leur savoir de père en fils : les secrets de fabrication, les tracés de cloches, les recettes de mélange.
C'est dans cette mouvance campanaire ancestrale qu'il faut situer la famille Causard, apparentées aux grandes familles de saintiers du Bassigny
Les inscriptions et l'iconographie que les fondeurs réalisent sur leurs cloches permettent de les suivre à la trace. C'est ainsi qu'on verra Joseph Perrin et ses deux cousins au
Grand-duché de Luxembourg, en Allemagne, aux Pays-Bas, etc.
Durant 10 ans, Charles apprend son métier et gravit les échelons de la hiérarchie des fondeurs. Il commence sa carrière de maître-fondeur en signant sa première cloche réalisée seul,
en 1830, pour le village de Braibant
Le 23 février 1832, Charles Causard, domicilié à Vecmont (près de La Roche-en-Ardenne), conclut un marché avec l'administration communale de Tellin pour la fourniture d'une cloche
Il vient donc sur place creuser une fosse à mouler, près de l'église, construire un four et couler la cloche. La commande est honorée le 14 juin 1832 ; la cloche pèse 806 livres 3/4
des Pays-Bas. Durant plusieurs années, jusqu'à la construction en 1858 de la ligne de chemin de fer Bruxelles-Luxembourg, il sera contraint de couler ses cloches à l'endroit même de la
livraison, se déplaçant de commande en commande, car les routes de l'époque ne permettent guère de véhiculer une cloche de plus de 150 kg.
C'est un concours de circonstances qui amène Charles à choisir Tellin comme point d'attache avant de s'y fixer à demeure
De son mariage avec Lucienne Slégers, fille d'un marchand de toile du village et petit-fille de maréchal-ferrant, Charles Causard eut cinq enfants, une fille et quatre garçons
Alors qu'il est en classe de rhétorique au collège de Belle-Vue à Dinant, Hippolyte est rappelé à Tellin pour épauler son père souffrant. Il prend en charge la destinée des fonderies
de Tellin et de Diekirch. Hippolyte signe ses cloches en ajoutant à son nom l'adjectif " maior ", l'aîné. Il se marie le 17 juin 1863 avec Thérèse-Joséphine Dinsart, de Tellin. Ils n'auront
qu'une seule fille, Marie, née en 1866
En 1847, le Baron Alphonse-Eugène du Jacquier de Rosée agrandit son usine de cuivre de Moulins (Anhée) et, à cette occasion, il crée une fonderie de cloches pour lancer une nouvelle
diversification du cuivre
Nous ne connaissons pas les modalités du contrat qui liait Hippolyte Causard à la famille de Rosée. Toujours est-il qu'il décide tout en gardant ses activités à Moulins, de construire
aussi sa propre usine à Anhée, sur un terrain qu'il possède avec son parent Pierre Dewez, de Rochefort
Souffrant, il revient à Tellin en 1889 avec son épouse et sa fille, Marie, auprès de son frère Adrien. Celui-ci s'occupera de terminer les activités de la fonderie d'Anhée avant de la
faire démolir en 1895. Hippolyte meurt à Tellin le 3 avril 1894.
Firmin est le quatrième enfant de Charles et Lucienne Slégers. Il naît à Tellin le 22 avril 1839 et fait lui aussi, comme ses frères Hippolyte et Adrien, ses études au collège de
Belle-Vue à Dinant. Il commence sa carrière à Tellin avec son père et ses deux frères et y apprend son métier de fondeur de cloches.
Charles installe Firmin en 1865 patron de l'usine de Diekirch pour
En 1871, Firmin va s'établir à Colmar où il travaillera en collaboration avec Charles-Honoré Perrin-Martin. A la mort de celui-ci, en 1873, il reprend seul la direction de la fonderie
colmarienne,
Adrien naît à Tellin le 13 mars 1841. Ses études secondaires terminées, il est initié au métier de fondeur par son père, Charles, à partir de 1859. Il commence sa carrière en
dirigeant la fonderie de Diekirch. A la mort de son père, en 1873, il revient à Tellin pour prendre la direction de la fonderie, qui reste en indivision avec son frère Firmin, par ailleurs
directeur à Colmar. En 1887, les deux frères sortent d'indivision pour s'associer.
Adrien est sans conteste celui qui a donné ses lettres de noblesse à la fonderie notamment avec la collaboration étroite de son fondé de pouvoir, Léon Wiot
A la mort de son frère Firmin, Adrien est à la tête d'une " multinationale " comprenant les quatre fonderies de Tellin, de Colmar et de Strasbourg, où il est associé à sa nièce
Sidonie et son mari, Odon Dury, et la fonderie d'Anhée, associé avec son autre nièce, Marie.
Adrien meurt à Tellin, le 23 février 1900. Sans enfant, sa propre succession revient à ses deux nièces : Sidonie et Marie Causard. Elles vont assumer ensemble la direction bicéphale
de la fonderie de Tellin jusqu'au 1er juillet 1900 lorsque Marie Causard en reprend, seule car toujours célibataire, la direction, Sidonie et son mari celles de Colmar et de Strasbourg.
Lors du partage de la succession d'Adrien Causard, la fonderie de Tellin revient à Marie Causard, personne de très grande envergure. Elle prend en mains les destinées de l'atelier
tout en apprenant le métier à son mari Georges Slégers I
Marie Causard et Georges Slegers eurent quatre enfants : Adrien, Joseph, Georges et Pierre. Georges Slégers I meurt en 1941 et Marie Causard en 1947.
Après cinq ans de captivité en Allemagne, Georges Slégers II, le troisième fils de Georges Slégers I, revient à Tellin en mai 1945. Avec sa mère, désormais veuve, il relance la
fonderie fermée depuis 1940. Les années 1950 vont être une période prospère : l'heure est à la reconstruction et au remplacement des cloches enlevées par les Allemands et définitivement
perdues
Il allia la technicité des fondeurs de cloches Causard aux valeurs fondamentales de perfection et d'organisation de sa mère tout en y ajoutant ses propres qualités d'artiste.
Depuis la fin du XIXe siècle, le nombre de sonneurs de cloches diminue irrémédiablement. Dès lors, la distribution généralisée du courant électrique amena, au début du XXe siècle, les
Slégers à s'intéresser de manière particulière au balancement électrique des cloches. Dès 1903 ils réalisaient leur premières installations au départ d'une invention allemande. Après la
guerre de 1914-1918, ils reprennent leurs chantiers d'électrification et collaborent avec plusieurs firmes dont les Ateliers de Constructions Electriques de Charleroi (ACEC). Après la
seconde guerre, Georges Slégers II en fait la principale voie de développement de son entreprise. A sa mort il avait plus de 700 réalisations à son actif.
Sans successeur parmi ses enfants
Le Musée des cloches, installé dans l'ancienne fonderie, conserve notamment un imposant mortier de pharmacie réalisé à Tellin. Les techniques nécessaires pour arriver à cette
réalisation sont exactement les mêmes que pour couler une cloche. Ph. SLEGERS, Op. cit., p.33.
La fonte d'une cloche est une opération très technique qui requière des compétences non seulement en coulée des métaux, mais dans chacune des étapes qui permettent de concrétiser le
projet : dessin du profil, calcul de l'épaisseur de la cloche, calcul de l'alliage, réalisation du moule, conception et réalisation en cire des empreintes des inscriptions et des
décorations, etc.
Mais les mêmes techniques peuvent être appliquées à d'autres pièces coulées, en fer, en cuivre ou dans différents alliages
L'un dans l'autre, pendant près de 140 ans, l'entreprise n'a eu pour activité que la réalisation de cloches et de pièces coulées, et le suivi des installations, développant surtout
dans la 2e moitié du XXe siècle, son expertise dans l'électrification des volées.
Avec un marché qui s'est renouvelé, bien malgré lui, par deux fois, au XXe siècle, l'entreprise n'a pas cherché à diversifier ses productions.
A la tête d'une fonderie à son faîte et d'une industrie belge dans son âge d'or, Adrien Causard va bien tenter d'autres expériences. Dans la dernière décennie du XIXe siècle, il crée
une usine à chicorée, une coopérative d'alimentation spécialisée dans la vente de charbon, et exploite une carrière de pierre de taille et un four à chaux. Mais l'entreprise familiale qui
produit et exporte avec succès demande une attention soutenue : sa nièce Marie, qui lui succède à la tête de la fonderie de Tellin en 1900, ne poursuivra pas ces projets.
Le cœur de métier de l'entreprise Causard-Slégers, sous les différentes appellations et formes juridiques qu'elle a pu connaître en 140 ans, c'est la fonte de cloches, c'est-à-dire un
processus qui va des dessins et calculs préliminaires au démoulage de la pièce refroidie pour lequel des compétences particulières sont requises. Elles sont empiriques : aucun des
directeurs n'a fait d'études techniques ou d'ingénierie, tous ont appris le métier de leur prédécesseurs.
Pour fonctionner, l'entreprise de fonte c'est donc d'abord un patron, maitre-fondeur expérimenté. Il assume seul les charges de chef d'entreprise recherchant les marchés et assurant
le suivi avec les clients, et, avec l'aide d'apprentis et de l'un ou l'autre ouvrier, toutes les tâches nécessaires à la réalisation d'une pièce. Au fur et à mesure du développement de
l'entreprise, le nombre des ouvriers et des apprentis va augmenter et le groupe se partager en plusieurs équipes dont le directeur en est le chef.
Les compétences rassemblées dans l'équipe formée par le maître-fondeur et ses ouvriers expérimentés est normalement suffisante pour assurer le développement continu du savoir-faire de
l'entreprise. L'intervention d'un expert extérieur, comme Dom Blessing, est occasionnelle et surérogatoire.
La réalisation d'une commande n'est complète qu'avec la livraison et l'installation dans le clocher, toutes autres tâches qui comprennent le convoyage ou le suivi du convoi, et des
travaux de construction ou d'adaptation des charpentes. Les documents conservés ne nous permettent pas de savoir si la fonderie n'a jamais compté que sur les compétences en charpenterie de
ses fondeurs, préférées à celle d'artisans du bois, qu'ils soient salariés ou sous-traitants. Quelques croquis conservés dans les dossiers montrent que la conception des charpentes était
faite à Tellin.
A la fin de la guerre 1940-1945, Joseph Laffineur, possesseur d'un brevet d'invention pour un
Pour le convoyage, la fonderie, distante de 5 km de la gare ouverte aux marchandises de Grupont, a habituellement profité du réseau de chemin de fer pour arriver au plus près du
client et faisant appel à des transporteurs locaux pour achever le voyage.
Le fonctionnement et la coordination de l'entreprise sont sous-tendus par un important travail administratif en amont, avec la rédaction des devis et du contrat, et en aval, jusqu'au
solde de la facture. Le cadre nécessaire, assumé d'abord et avant tout par le noyau familial, le maître-fondeur, son épouse et ses enfants, a suivi le développement de la fonderie et de ses
filiales. L'arrivée de Léon Wiot dans l'administration de l'entreprise, comptable avant de prendre en main toutes les écritures, fondé de pouvoir et actionnaire, est un jalon important.
Mais quel que soit le nombre d'employés de bureau, le maître-fondeur en est le directeur.
Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 54-55. Ph. SLEGERS, Op. cit., p. 104. Le document le plus récent du fonds concerne l'installation dans le clocher de l'église d'Anseremme (n° 278), il est signé " Thèrese Slégers, fondeur de cloches "
Comme le signale Philippe Slégers, l'arrivée de Léon Wiot fut déterminante pour l'administration de la fonderie tellinoise
A l'arrêt de la fonderie, au décès de Georges Slégers en mars 1970, le sort des archives n'a été prioritaire... il restait cinq commandes à terminer
Quelques courriers (demandes d'informations d'anciens employés ou suivi de clients) prouvent que les archives ont été occasionnellement consultées jusqu'au début des années 1980
Un patient travail de restitution des dossiers lui a permis de prendre toute la consistance de l'épopée familiale, laquelle est devenue un livre, et la richesse patrimoniale de ces
documents, raison pour laquelle il a décidé de les donner aux Archives de l'État pour les mettre à disposition des chercheurs. Avant d'apporter les documents reclassés et conditionnés, il
en a dressé un relevé précis, au gré de ses loisirs et des vacances scolaires de ses petits-enfants qui l'ont aidé.
Soucieux d'assurer la conservation du patrimoine familial subsistant, notamment des documents permettant de raconter l'histoire de la fonderie de ses parents, grands-parents et aïeux,
Philippe Slégers a pris contact avec les Archives de l'État à Saint-Hubert au début de l'année 2009. Une déclaration de don a été signée le 30 juin suivant.
Le fonds des archives de la fonderie Causard-Slégers peut être partagé en six parties :
- la gestion de l'entreprise : secrétariat, ressources humaines et comptabilité ;
- la conception et la réalisation des produits : les relations avec les fournisseurs ;
- la diffusion des produits: relations avec les sous-traitants et actions publicitaires ;
- la production en elle-même: dossiers de commande et de livraison, en Belgique et à l'étranger ;
- les documents relatifs aux activités annexes de l'entreprise ;
- les documents relatifs aux activités annexes, industrielles ou non, de différents membres des familles Causard et Slégers.
La plus grande partie du fonds conservée est constituée des dossiers de commande de cloches. Un dossier comprend généralement les courriers préliminaires échangés entre le commanditaire
et la fonderie (premiers contacts, devis, échanges quant au devis), le contrat de commande, les courriers échangés entre la commande et la livraison , l'organisation de la livraison et de
l'installation, réception des travaux, facture, accusé de réception du paiement.
Le reste du fonds comprend à la fois des registres, principalement au niveau du secrétariat et de la comptabilité, et des dossiers formés d'échanges de courriers (courrier entrant et
copie du courrier sortant), documentation diverse, notes de travail, etc.
Les liasses 171 à 178 contiennent des billets de toutes tailles reprenant les inscriptions à porter sur les moules des cloches. Les liasses 179 à 182 contiennent des modèles de cloches
et de pièces, et des plans d'installation de grand format ; les croquis et les plans de petit format sont conservés dans les dossiers de commande.
Langues et écriture des documents:
La fonderie correspondait exclusivement en français, même avec les commanditaires présumés parler d'autres langues. Si ceux-ci n'écrivaient pas eux-mêmes en français, leurs courriers
rédigés en allemand, anglais, néerlandais ou espagnol étaient traduits par des tiers et la traduction intégrée au dossier. La majorité des documents sont écrits en français ; l'ensemble de la
documentation ou presque est accessible dans cette langue.
Même si c'est anecdotique, les billets et les modèles reprenant les inscriptions et chronogrammes à figurer sur les cloches sont généralement en latin, parfois en français, en allemand
ou en néerlandais et même en langues africaines.
Les documents, quel que soit leur état, ont tous été conservés. Il n'y a eu ni sélection, ni élimination.
La Fonderie de cloches à Tellin à savoir: - l'intérieur et l'extérieur du bâtiment cadastré Tellin, section B, n° 166 F2, sauf le mobilier mais y compris les ponts roulants et le four
immobilier par destination; - l'extérieur du bâtiment cadastré Tellin, section B, n° 166 E2 et les vestiges du four à réverbère pour l'intérieur; - du mobilier spécialisé (formes, outils,
etc) (M) ainsi qu'une zone de protection (ZP) a été classée par arrêté le 7 avril 1994 (Moniteur belge du 22 juin 1994. En 1992, l'ancienne fonderie est devenue le siège d'un Musée de la
cloche et du carillon, avec pour objectif de garder la mémoire et valoriser l'ensemble du travail des artisans du clocher ; ce musée a fermé ses portes en décembre 2013. Dans la foulée, une
nouvelle ASBL Tellin-fonderie, fondée la même année, a acquis le bâtiment avec l'ambition d'abord de le restaurer, puis à terme de lui rendre une affectation de type muséale. (M. LATINE,
L'ASBL Tellin-Fonderie : la cloche qui sonne le renouveau et Tellin : la fonderie des cloches est vendue, dans L'Avenir du Luxembourg, édition du 23 janvier 2014.).
Le fonds est fermé. Les bâtiments de l'ancienne fonderie ont été vendus et sont aujourd'hui transformés en musée
Au départ de quelques contrats et de l'un ou l'autre courrier entrant subsistant, il n'est pas facile ni d'estimer la masse de documents perdue pour le XIXe siècle, ni d'imaginer leur
classement.
A partir des années 1880, Léon Wiot va constituer des dossiers par commande en rassemblant les courriers entrants, la copie des courriers sortant, l'un ou l'autre croquis de profil ou
de charpente, des ébauches d'inscription, etc.. Les documents étaient pliés en deux sur eux-mêmes et rassemblés dans une chemise formée d'un morceau de carton portant le nom du lieu de
livraison. Certaines entourent toujours leurs documents d'origine, d'autres ont été réutilisées.
Après la guerre 1940-1945, tous les éléments formant le dossier de suivi d'une commande étaient réunis dans des chemises à glissière, une par commanditaire. Le secrétariat a aussi fait
usage de gros classeurs à anneaux rassemblant plusieurs commandes.
A cette époque, dans le cadre de travaux d'installation ou d'entretien dans les clochers des églises belges, la fonderie a constitué un fichier en partie rétrospectif de sa production.
Les fiches, sur papier bleu d'un format proche du A5 actuel, reprenaient par localité, le poids et la note des cloches, le texte des inscriptions et la date de livraison. En tant que tel, ce
fichier n'existe plus mais les fiches conservées ont été depuis réparties dans les différents dossiers de commande.
De fait, si les archives ont été sauvées, leur ordre ne l'a pas été ! Philippe Slégers a donc entrepris un reclassement complet du fonds, rassemblant, comme Wiot avant lui, tous les
documents dans des chemises identifiées par le nom de la localité de livraison des cloches. Son premier objectif était d'écrire une histoire familiale et de donner un aperçu général de la
production à destination de la Belgique. C'est dans cette optique qu'il a organisé la masse de documentation disponible.
Dans la perspective du transfert des archives, il a continué son classement pour les livraisons à l'étranger, rassemblant la documentation pays par pays, en faisant parfois le détail
par localité soit en raison de l'intérêt (pays limitrophes) ou de la quantité (Congo). Son travail s'est achevé par le classement des archives administratives : correspondance, comptabilité,
gestion des ressources humaines, dossiers relatifs aux fournisseurs, etc.
Le relevé des cloches livrées en Belgique, par localité, par date de livraison et par poids, publié en annexe de l'
Pour en faire un inventaire répondant aux normes, il a été nécessaire de revoir d'abord la succession des séries en commençant par les dossiers d'ordre général et la documentation
relative au fonctionnement de l'entreprise (secrétariat, comptabilité, gestion des ressources humaines, etc.), puis les dossiers concernant la production, pour terminer par les dossiers
relatifs aux activités artisanales annexes de la fonderie et les activités personnelles des membres de la famille.
Au moment du transfert, les dossiers relatifs aux cloches étaient partagés en deux séries : la Belgique et les pays étrangers. A l'intérieur de la " série belge ", les dossiers étaient
classés en trois sous-séries : cloches, clochettes et gongs. Considérant les relations entre des commandes de cloches de poids différents par un même commanditaire et le caractère qui a pu
paraître arbitraire de la partition entre ces différentes sous-séries, nous avons décidé de les fusionner en une seule.
A l'intérieur de chaque sous-série, les dossiers étaient alphabétiquement classés par lieu de livraison selon le nom des localités en français, y compris pour des villes et villages
situés dans les parties germanophone et néerlandophone du pays. Ce classement se basait sur les noms en usage à l'intérieur même des dossiers. Considérant que les noms français de nombreuses
localités des régions germanophone et flamande ne sont plus réellement, voire plus du tout, en usage aujourd'hui, il a été décidé de reclasser ces dossiers sur base du nom et de l'orthographe
actuels : les dossiers concernant les cloches livrées à Gand sont classées à Gent ; celles de Laethem-Saint-Martin à Sint-Martens-Latem ; celles de Sart-lez-Saint-Vith à Rodt, etc.
La même démarche a été appliquée aux dossiers de livraison à l'étranger : les noms de pays ont été modernisés et les noms de localités, au Congo notamment, actualisés (Sri Lanka pour
Ceylan ; Kinshasa pour Léopoldville, etc.).
Lors du transfert, chaque dossier était identifiés par un nom de lieu et par les dates de livraisons de cloches. Celles-ci ne rendant pas suffisamment compte de l'étendue temporelle des
dossiers - parfois la date de livraison des cloches ne correspond même pas aux dates des documents conservés -, il a été nécessaire de reparcourir tous les dossiers pour en préciser les dates
extrêmes et déterminer leur importance matérielle : quelques pièces, une chemise, une liasse. Nous en avons profité pour relever la présence de croquis ou de plans ; ces éléments et toutes
les précisions intéressantes sont indiqués en commentaires de description.
Les archives de la fonderie Causard-Slégers sont accessibles, aux conditions et aux tarifs légaux en vigueur aux Archives de l'État. Il n'y a que de restrictions que pour des documents
ou des dossiers soumis à la législation belge sur le respect de la vie privée. Toute dérogation à ces restrictions sera introduite suivant la procédure en usage aux Archives de l'État en
Belgique.
La reproduction des documents est possible suivant les règlements et tarifs en vigueur aux Archives de l'État.
Les copies de courriers sortant ont été réalisées sur du papier pelure, longtemps conservé dans de mauvaise conditions. Fragiles, ils doivent être manipulés avec une extrême
délicatesse.
Malgré l'élégante écriture de Léon Wiot, leur lecture peut être difficile en raison de la qualité même du papier et de l'encre parfois dépigmentée. Sinon, les documents plus récents,
sur du papier d'usage courant, rédigé au stylo à encre, au stylo bille ou à la machine à écrire ne posent aucun problème, ni de manipulation, ni de lecture.
Le cas échéant, le président de salle de lecture pourra refuser de communiquer des dossiers en trop mauvais état. Dans la mesure du possible il proposera la consultation d'une copie
numérique à réaliser si l'état des originaux le permet.
Le relevé des cloches livrées en Belgique, par localité, par date de livraison et par poids, publié en annexe de l'
En rapport direct avec les activités de la fonderie Causard-Slégers et l'enlèvement et le remplacement des cloches au cours de la guerre 1940-1945, signalons le
Concernant les fonderies associées à celle de Tellin, les Archives de la Ville et de la Communauté urbaine de Strasbourg conservent une liasse de documents relatifs à la fonderie de
cloches Jean-Louis Edel et Firmin Causard, de Strasbourg puis Colmar. Entrée en 2014, la liasse porte la cote 101 Z 1245 dans la série des petits fonds et pièces isolées.
La photothèque de l'Institut Royal du Patrimoine Artistique (IRPA) conserve de nombreuses photos de cloches fondues à Tellin. La plupart des clichés ont été réalisés dans le cadre des
opérations de récupération des cloches réquisitionnées par les Allemands au cours de la guerre 1940-1945. Les photos sont accessibles sur le site de la photothèque de l'IRPA :
http://www.kikirpa.be.
Les Archives départementales des Vosges, à Epinal, conservent sous la cote 86 J, un fonds des archives de la fonderie de Robécourt (1726-1939). Celle-ci a été fondée en 1847 par Charles
Perrin, dit Charles Perrin-Martin, parent au 5e degré avec Charles Causard, premier fondeur établi à Tellin. Les deux établissements partagent les même origines familiales et des parcours
industriels comparables.
M. HAINE et N. MEEÙS,
Ph. SLEGERS,
Les sites Internet de plusieurs associations campanaires, de Belgique et d'ailleurs, proposent de nombreux outils à destination du curieux, de l'amateur éclairé et du spécialiste :
listes de vocabulaire spécifique, explications symboliques, art et technique, listes de fondeurs, études sur les fonderies, etc. Plusieurs d'entre eux proposent l'accès en ligne à leurs
bulletins d'association, à des listes de références bibliographiques, voire à des études, générales ou particulières, téléchargeables, et à des listes de liens. A défaut de les citer tous,
retenons les sites de :
- l'Association campanaire wallonne asbl : http://www.campano.be
- l'Association française de campanologie : http://campanologie.free.fr
- Vincent Duseigne : http://tchorski.morkitu.org
Les dossiers relatifs aux livraisons de cloches en Belgique avaient déjà fait l'objet d'un classement préalable à la rédaction de l'histoire de la fonderie,
Avant de transférer ses documents aux Archives de l'État, Philippe Slégers a tenu à s'occuper lui-même et en famille, du conditionnement dans des boîtes et des chemises neutres. Les
transferts se sont échelonnés par à-coups, au fur et à mesure de l'avancement du travail, en partie mené pendant les vacances scolaires des petits-enfants Slégers, depuis 2009 jusqu'à la fin
de l'année 2013.
La réorganisation de l'ensemble et l'inventaire définitif ont été réalisés par Thierry Scholtes, chef de service aux Archives de l'État à Saint-Hubert, au cours du premier semestre de
l'année 2015.
Contient des courriers concernant la gestion des ressources humaines : engagements, lettres de recommandation, attestations, suivi de dossiers, etc.
Le premier ouvrier inscrit à la date du 1er janvier 1954 est entré dans l'entreprise le 1er juillet 1945 ; le dernier inscrit est entré le 17 août 1964 et le registre a encore été visé le 10 janvier 1967.
Ce registre correspond au " modèle imposé à partir du 1er janvier 1953 ". Cependant les dates d'entrée des ouvriers ne sont pas indiquées et seules quelques sorties intervenues au cours de l'année 1953 sont indiquées. Par contre, pour trois ouvriers, le rédacteur a tenu bon de préciser les dates de leur service militaire le plus vieux des trois ayant été sous les drapeaux entre le 30 juin 1947 et le 30 juin 1948, soit avant l'ouverture du registre.
Comptes par matières : outillages, mobilier de bureau, charbon de bois, correspondance et téléphone, etc.
Le volume a servi de Grand livre des fournisseurs de 1936 à 1940 avant de devenir livre de compte, de 1946 à 1952.
Contient un livret avec le répertoire téléphonique des livreurs.
Contient un carnet faisant office de table des matières.
Contient un carnet faisant office de table des matières.
Contient un carnet faisant office de table des matières.
Les inventaires de 1936 à 1968 sont inscrits dans le registre (coté et paraphé par le bourgmestre de Tellin le 4 mars 1936), celui de 1969 est resté au brouillon sur des feuilles volantes.
En regard, sur la page de gauche, les opérations concernant la fonderie, sur la page de droite celles de la scierie.
Le registre a été utilisé sur une première moitié comme registre mensuel et sur une deuxième moitié comme récapitulatif par ouvrier (pour la période suivante 1951-1957 voir n° 54).
Pour la période 1947-1950 voir n° 50.
Le registre incomplet entre octobre 1947 et février 1951 ; contient des feuilles volantes.
Concerne les états de frais et rapports sur les travaux réalisés par J Laffineur, dépositaire depuis 1942 d'un brevet de " Dispositif de commande de cloches ", responsable et principal artisan au sein de la fonderie pour l'électrification des systèmes de sonnerie (Ph. SLEGERS, " Il était une fonderie ", s.l., 2004, p.104).
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Comprend le registre et un répertoire alphabétique des clients.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Comprend le registre et un répertoire alphabétique des clients.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Comprend le registre et un répertoire alphabétique des clients.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Comprend le registre et un répertoire alphabétique des clients.
Les dates correspondent à la date d'ouverture du registre.
Le carnet a été ultérieurement réutilisé par les enfants de la famille qui l'ont agrémenté de dessins.
Concerne la gestion des comptes bancaires de la fonderie : courriers et extraits de compte.
Concerne notamment les relations avec le bureau des contributions, les administrations chargés des taxations et impositions ; contient des courriers et des pièces justificatives. À consulter en complément de la liasse 162.
Concerne notamment les relations avec le bureau des contributions, les administrations chargés des taxations et impositions ; contient des courriers et des pièces justificatives. À consulter en complément de la liasse 162.
Concerne notamment les relations avec le bureau des contributions, les administrations chargés des taxations et impositions ; contient des courriers et des pièces justificatives. À consulter en complément de la liasse 162.
Contient les déclarations fiscales, les bilans actifs-passifs de la société et plusieurs pièces justificatives ; à consulter en complément des liasses 159 à 161.
Contient les polices d'assurances, les contrats, les échanges de courrier avec les compagnies et les courtiers, etc.
Concerne essentiellement les assurances accidents du travail : contrats, courriers avec les sociétés d'assurance, suivi des dossiers.
Concerne essentiellement les assurances accidents du travail : contrats, courriers avec les sociétés d'assurance, suivi des dossiers.
Concerne le contrôle des machines dans le cadre de la protection contre les accidents du travail.
Emil Blessing est né à Habsthal, dans le Bade-Wurtemberg, le 31 janvier 1843, de Jean-Baptiste Blessing et Nannette Roth (https://familysearch.org). Au terme de ses études secondaires à Sigmaringen, il entre à la faculté de théologie de Tubingen, en 1864. Le Samedi saint de l'année 1866, il prend l'habit monastique à l'abbaye bénédictine de Beuron et prend le nom de Jean (cité Pater Johannes en allemand ou Dom Jean pour ses interlocuteurs francophones). En 1872, répondant à la proposition de la famille Desclée, l'abbé de Beuron lui confie le groupe de moines venus initier la vie monastique à Maredsous. De 1876 à 1880, Dom Jean séjourne à l'abbaye du Mont Cassin puis il revient à Maredsous en 1881. Chargé de doter la nouvelle abbaye de ses premières cloches, il entre en contact avec le fondeur Adrien Causard, de Tellin. Commencent alors trente années de collaboration entre le moine bénédictin et la fonderie tellinoise. Des cloches de Maredsous à celle de Maria Laach, entre autres, Dom Jean fera office de conseiller scientifique de la Maison Causard jusqu'à son décès en 1913. Au gré de ses voyages d'abbaye en abbaye, grâce à ses multiples contacts, ses travaux scientifiques et ses publications, Dom Jean est au tournant des XIXe et XXe siècles, un des rares et des meilleurs spécialistes en campanologie. La fonderie en retire une précieuse renommée internationale et quelques brevets innovants dont elle est le détenteur exclusif. Successivement prieur à l'abbaye de Beuron de 1885 à 1887, maître des novices, prieur et premier chantre à l'abbaye de Seckau, en Autriche, de 1887 à 1889, maître des novices, premier chantre et prieur à l'abbaye de Maria Laach, de 1893 à 1905 ; il revient à Beuron en qualité d'organiste en 1905. Le 17 décembre il y dit encore sa messe, la dernière car rapidement il décline ; il meurt à Beuron, le 24 février 1913 (not. : Ph. SLÉGERS, " Il était une fonderie ", p. 58-61).
Emil Blessing est né à Habsthal, dans le Bade-Wurtemberg, le 31 janvier 1843, de Jean-Baptiste Blessing et Nannette Roth (https://familysearch.org). Au terme de ses études secondaires à Sigmaringen, il entre à la faculté de théologie de Tubingen, en 1864. Le Samedi saint de l'année 1866, il prend l'habit monastique à l'abbaye bénédictine de Beuron et prend le nom de Jean (cité Pater Johannes en allemand ou Dom Jean pour ses interlocuteurs francophones). En 1872, répondant à la proposition de la famille Desclée, l'abbé de Beuron lui confie le groupe de moines venus initier la vie monastique à Maredsous. De 1876 à 1880, Dom Jean séjourne à l'abbaye du Mont Cassin puis il revient à Maredsous en 1881. Chargé de doter la nouvelle abbaye de ses premières cloches, il entre en contact avec le fondeur Adrien Causard, de Tellin. Commencent alors trente années de collaboration entre le moine bénédictin et la fonderie tellinoise. Des cloches de Maredsous à celle de Maria Laach, entre autres, Dom Jean fera office de conseiller scientifique de la Maison Causard jusqu'à son décès en 1913. Au gré de ses voyages d'abbaye en abbaye, grâce à ses multiples contacts, ses travaux scientifiques et ses publications, Dom Jean est au tournant des XIXe et XXe siècles, un des rares et des meilleurs spécialistes en campanologie. La fonderie en retire une précieuse renommée internationale et quelques brevets innovants dont elle est le détenteur exclusif. Successivement prieur à l'abbaye de Beuron de 1885 à 1887, maître des novices, prieur et premier chantre à l'abbaye de Seckau, en Autriche, de 1887 à 1889, maître des novices, premier chantre et prieur à l'abbaye de Maria Laach, de 1893 à 1905 ; il revient à Beuron en qualité d'organiste en 1905. Le 17 décembre il y dit encore sa messe, la dernière car rapidement il décline ; il meurt à Beuron, le 24 février 1913 (not. : Ph. SLÉGERS, " Il était une fonderie ", p. 58-61).
Emil Blessing est né à Habsthal, dans le Bade-Wurtemberg, le 31 janvier 1843, de Jean-Baptiste Blessing et Nannette Roth (https://familysearch.org). Au terme de ses études secondaires à Sigmaringen, il entre à la faculté de théologie de Tubingen, en 1864. Le Samedi saint de l'année 1866, il prend l'habit monastique à l'abbaye bénédictine de Beuron et prend le nom de Jean (cité Pater Johannes en allemand ou Dom Jean pour ses interlocuteurs francophones). En 1872, répondant à la proposition de la famille Desclée, l'abbé de Beuron lui confie le groupe de moines venus initier la vie monastique à Maredsous. De 1876 à 1880, Dom Jean séjourne à l'abbaye du Mont Cassin puis il revient à Maredsous en 1881. Chargé de doter la nouvelle abbaye de ses premières cloches, il entre en contact avec le fondeur Adrien Causard, de Tellin. Commencent alors trente années de collaboration entre le moine bénédictin et la fonderie tellinoise. Des cloches de Maredsous à celle de Maria Laach, entre autres, Dom Jean fera office de conseiller scientifique de la Maison Causard jusqu'à son décès en 1913. Au gré de ses voyages d'abbaye en abbaye, grâce à ses multiples contacts, ses travaux scientifiques et ses publications, Dom Jean est au tournant des XIXe et XXe siècles, un des rares et des meilleurs spécialistes en campanologie. La fonderie en retire une précieuse renommée internationale et quelques brevets innovants dont elle est le détenteur exclusif. Successivement prieur à l'abbaye de Beuron de 1885 à 1887, maître des novices, prieur et premier chantre à l'abbaye de Seckau, en Autriche, de 1887 à 1889, maître des novices, premier chantre et prieur à l'abbaye de Maria Laach, de 1893 à 1905 ; il revient à Beuron en qualité d'organiste en 1905. Le 17 décembre il y dit encore sa messe, la dernière car rapidement il décline ; il meurt à Beuron, le 24 février 1913 (not. : Ph. SLÉGERS, " Il était une fonderie ", p. 58-61).
Emil Blessing est né à Habsthal, dans le Bade-Wurtemberg, le 31 janvier 1843, de Jean-Baptiste Blessing et Nannette Roth (https://familysearch.org). Au terme de ses études secondaires à Sigmaringen, il entre à la faculté de théologie de Tubingen, en 1864. Le Samedi saint de l'année 1866, il prend l'habit monastique à l'abbaye bénédictine de Beuron et prend le nom de Jean (cité Pater Johannes en allemand ou Dom Jean pour ses interlocuteurs francophones). En 1872, répondant à la proposition de la famille Desclée, l'abbé de Beuron lui confie le groupe de moines venus initier la vie monastique à Maredsous. De 1876 à 1880, Dom Jean séjourne à l'abbaye du Mont Cassin puis il revient à Maredsous en 1881. Chargé de doter la nouvelle abbaye de ses premières cloches, il entre en contact avec le fondeur Adrien Causard, de Tellin. Commencent alors trente années de collaboration entre le moine bénédictin et la fonderie tellinoise. Des cloches de Maredsous à celle de Maria Laach, entre autres, Dom Jean fera office de conseiller scientifique de la Maison Causard jusqu'à son décès en 1913. Au gré de ses voyages d'abbaye en abbaye, grâce à ses multiples contacts, ses travaux scientifiques et ses publications, Dom Jean est au tournant des XIXe et XXe siècles, un des rares et des meilleurs spécialistes en campanologie. La fonderie en retire une précieuse renommée internationale et quelques brevets innovants dont elle est le détenteur exclusif. Successivement prieur à l'abbaye de Beuron de 1885 à 1887, maître des novices, prieur et premier chantre à l'abbaye de Seckau, en Autriche, de 1887 à 1889, maître des novices, premier chantre et prieur à l'abbaye de Maria Laach, de 1893 à 1905 ; il revient à Beuron en qualité d'organiste en 1905. Le 17 décembre il y dit encore sa messe, la dernière car rapidement il décline ; il meurt à Beuron, le 24 février 1913 (not. : Ph. SLÉGERS, " Il était une fonderie ", p. 58-61).
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces six liasses contiennent des textes d'inscriptions à réaliser sur les cloches. Les documents ne portent pas de dates, si ce n'est toute une série de chronogrammes qu'il faudrait résoudre ; ils ne portent pas de noms de commanditaires sauf ceux des parrains et marraines ou des donateurs qu'il faudrait identifier les uns après les autres ; ils ne suivent aucun ordre de classement sauf si on considère leur empilement les uns sur les autres après usage comme en étant un: ces documents sont des documents de travail qui ont été utilisés directement dans l'atelier par ceux-là même qui réalisaient les moules. Maculés de suie et de taches d'eau, ils ont conservé jusqu'à l'odeur de la fumée des fosses de coulée.
Ces liasses contiennent toute une série de plans et de croquis de pièces nécessaires à la réalisation et à l'installation de cloches. On notera toute une série de modèles de battant, les modèles nécessaires à la réalisation des pièces métalliques des moutons, etc. Les croquis " jetés sur le papier " ou les plans précédemment associés à des commandes particulières sont conservés dans les liasses correspondantes. Ne sont rassemblés ici que les documents de grand format (souvent de taille 1/1), les modèles de base et des plans ou des croquis non attribués.
Ces liasses contiennent toute une série de plans et de croquis de pièces nécessaires à la réalisation et à l'installation de cloches. On notera toute une série de modèles de battant, les modèles nécessaires à la réalisation des pièces métalliques des moutons, etc. Les croquis " jetés sur le papier " ou les plans précédemment associés à des commandes particulières sont conservés dans les liasses correspondantes. Ne sont rassemblés ici que les documents de grand format (souvent de taille 1/1), les modèles de base et des plans ou des croquis non attribués.
Ces liasses contiennent toute une série de plans et de croquis de pièces nécessaires à la réalisation et à l'installation de cloches. On notera toute une série de modèles de battant, les modèles nécessaires à la réalisation des pièces métalliques des moutons, etc. Les croquis " jetés sur le papier " ou les plans précédemment associés à des commandes particulières sont conservés dans les liasses correspondantes. Ne sont rassemblés ici que les documents de grand format (souvent de taille 1/1), les modèles de base et des plans ou des croquis non attribués.
Ces liasses contiennent toute une série de plans et de croquis de pièces nécessaires à la réalisation et à l'installation de cloches. On notera toute une série de modèles de battant, les modèles nécessaires à la réalisation des pièces métalliques des moutons, etc. Les croquis " jetés sur le papier " ou les plans précédemment associés à des commandes particulières sont conservés dans les liasses correspondantes. Ne sont rassemblés ici que les documents de grand format (souvent de taille 1/1), les modèles de base et des plans ou des croquis non attribués.
Le 8 juin 1950, Georges Slégers écrit au Collège des bourgmestre et échevins d'Ave-et-Auffe, pour être autorisé à extraire de la terre argileuse - cette terre spéciale est abosulment nécessaire à la fabrication des cloches - au lieu-dit " Al fonderie ". La demande sera formalisée par une convention le 10 novembre 1950 ; le 26 octobre 1954, les deux parties s'engageront pour neuf ans à propos d'une parcelle au lieu-dit " Fond de Botton ". La liasse contient un extrait de plan cadastral.
Concerne en même temps la commande par Henri Zoude, d'une petite cloche pour appeler aux repas ceux qui se promènent dans le jardin attenant à la maison (courrier du 25 janvier 1906).
La société Jonk étant établie à Hoog-an-de-Zaan, aux Pays-Bas (province de Hollande Septentrionale, Noord-Holland), les contacts passent principalement par la société commerciale Belgo-américaine, SOCOBA, importation - exportation.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
L'entreprise F. Raxhon, mines et métaux, agit ici comme agence belge pour le compte des " Anciens établissements Lemoine-Biès et Harang ", de Paris.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Contient les relevés hebdomadaires des cotations quotidiennes de l'étain envoyés chaque semaine à la fonderie Causard-Slegers par la " Société générale des Minerais ".
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les différents fournisseurs de la fonderie en cuivre, étain et bronze.
Concerne les fournisseurs en matériel nécessaire à l'installation de sonneries électriques.
Concerne les fournisseurs en matériel nécessaire à l'installation de sonneries électriques.
Parmi d'autres : la société Électro-appareils S.A. (Bruxelles), la Maison Lejour (Bruxelles), la Société de représentation d'appareils industriels (Bruxelles), la GELEC société générale d'électricité (Bruxelles), etc. ; contient courriers entrant et copies de courriers sortants, prospectus, manuels d'installation.
Concerne les fournisseurs en matériel nécessaire à l'installation de sonneries électriques.
Contient un gros carnet de format proche du A5.
Il s'agit d'une collection de dépliants publicitaires de fournisseurs ou fournisseurs potentiels de la fonderie.
Catalogue illustré de la " Société anonyme des Anciens établissements P. Leblond ", fonderie de bronze, cuivre et aluminium, fabrique de quincaillerie de bâtiments....
Il s'agit d'une collection de dépliants publicitaires de fournisseurs ou fournisseurs potentiels de la fonderie.
Contient un gros carnet de format proche du A5 ; renseigne sur les caractéristiques techniques des fers profilés et poutrelles vendus par le société: types de profilés, métrages, etc.
Il s'agit d'une collection de dépliants publicitaires de fournisseurs ou fournisseurs potentiels de la fonderie.
Contient deux dépliants de la Société Joseph Delcourt, fer laminé, fer battu, tôles, poutrelles, zinc et plomb, quincaillerie.
Il s'agit d'une collection de dépliants publicitaires de fournisseurs ou fournisseurs potentiels de la fonderie.
Courriers échangés avec les annonceurs, les éditeurs de presse, les organisateurs d'événements, etc.
Contient trois exemplaires du même prospectus de l'année 1928.
Le prospectus, conservé en trois exemplaires, n'est pas daté mais il fait état d'un certain nombre de cloches livrées avant 1940 et d'autres livrées après 1945. Il donne un bilan général de la production de la fonderie depuis sa fondation en 1832.
Concerne les relations avec Désiré Somers, " constructeur d'horloges d'églises et de tours, de mécanismes de carillons... ". Désiré Somers sera un moment associé (suivant courrier à en-tête) à Jos. Denyn, carillonneur (cf. n° 2025).
Sur Charles-Louis Teirlinck, de Zegelsem : F. DE TANT et M. DE PRIJCK, " Charles-Louis Teirlinck (1848-1932), de " klokkenbendere " van Zegelsem ", dans " Triverius ", 2009, n° 2, p. 40-55 et n° 3, p. 24-29.
Concerne les relations avec la Maison Fondair-Rémy, " Horlogerie, bijouterie, lunetterie ; horloges de tours et châteaux ".
Concerne les relations avec les Établissements Fourdin, " manufacture d'horloges publiques, horloges monumentales de précision, horlogerie électrique... ".
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Servan Seaux-Wittebolle, Noorstraat à Roulers, " anciennement Maison Seaux-De Meurisse " spécialisée dans la fabrication d'ornements d'art sacré et d'objets pour les églises " dans tous les métaux " (fabriek van kerkornementen in alle metalen ... handel in metalen, kunstvoorwerpen, klokken en kerkornementen, stoven, quincaillerie, enz.).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec Gaston Vallseys, artiste-peintre à Roulers (courrier du 9 octobre 1922), représentant officieux de la fonderie Slegers vis-à-vis du marché dans les provinces flamandes. Sous réserve d'une étude des courriers, Vallseys travaillerait en concertation avec son voisin la Maison Seaux-Wittebolle.
Concerne la Maison Alphonse Ruscart, " réparation de cloches, de mécanismes de carillons et d'horloges d'églises... ".
L'entreprise de construction " Jacques Dom et Léon Peters " est spécialisée dans " les horloges de tours électriques, électro-mécaniques, mécaniques, sonneries de cloches par électricité, horloges monumentales à cadrans lumineux... " (suivant courrier à en-tête).
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec la Maison Joh. C. Raupp, à Eindhoven, spécialisée dans les instruments de musique (Muziekinstrumenten, houten en koperen blaasinstrumenten voor orkesten, harmonie- en fanfarekorpsen, enz.), représentant des firmes Walcker (...) A. Causard (...) Thibouville-Lamy (...) (vertegenwoordiger der firmas (...) A. Causard wereldvermaarde klokken- en carillon-gieterijen Tellin-Colmar-Strasbourg hoogste onderscheidingen; suivant courrier à en-tête). La Maison Raupp assurait le lien entre la fonderie Causard et le marché aux Pays-Bas mais aussi en Allemagne, en Angleterre et en Afrique du Sud. La liasse contient des plans ou des croquis.
Contient les courriers entrants et les doubles des courriers sortants avec les " Etablissements Dominique Cogné ", Carillons et cloches, sonneries électriques, remontage de cloches et carillons, établie rue Marquette à Montréal, importateur des produits de la fonderie Causard-Slégers pour le marché canadien.
Consiste en deux carnets manuscrits intitulés " Renseignements " datés 1923 et 1924-1925, respectivement numérotés II et III. Contiennent différents renseignements de suivi des commandes :date de commande, caractéristiques des cloches livrées, inscriptions, etc. Les clients sont répertoriés par noms de localité ; chaque carnet se termine par une table des localités.
Consiste en deux carnets manuscrits intitulés " Renseignements " datés 1923 et 1924-1925, respectivement numérotés II et III. Contiennent différents renseignements de suivi des commandes :date de commande, caractéristiques des cloches livrées, inscriptions, etc. Les clients sont répertoriés par noms de localité ; chaque carnet se termine par une table des localités.
Contient les courriers échangés avec les clients, leurs avocats, les avocats de la fonderie, etc.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Les documents concernent des commandes d'ensemble comprenant deux cloches livrées à l'église paroissiale et une autre pour la chapelle de Braunlauf en 1923, et une pour la chapelle de Maldingen en 1927.
Concerne la commande d'une clochette pour le Château de Jehay.
Les documents concernent des commandes d'ensemble de cloches livrées aux églises paroissiales d'Amblève en 1954, d'Eibertingen et de Deidenberg en 1955 et à la chapelle de Schoppen en 1960.
Concerne la commande d'une clochette par le curé de la paroisse.
Concerne la commande d'une cloche d'église par René Saintier, d'Anvers, pour un de ses correspondants d'outre-mer, non identifié ; la caisse contenant la cloche doit être envoyée à " Colombo ".
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Les documents ont été rassemblés dans une chemise formée par un courrier circulaire, plié en deux, daté du 30 mars 1900 relatif à la poursuite des activités de la fonderie malgré le décès d'Adrien Causard. Les documents concernent la commande d'une cloche par Léon Du Bus pour sa ferme de Bailleul en remplacement de celle enlevée par les " boches " (sic.).
Concerne une commande faite en juillet 1914 mais seulement réalisée après la guerre. Dans l'intervalle les commanditaires ont demandé plusieurs modifications visant à effacer tout caractère germanique dans le style des décorations et des inscriptions.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 23 octobre 1862.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne le couvent de la Congrégation du Très Saint Rédempteur (Rédemptoristes).
Concerne une commande pour l'Institut psychiatrique.
Concerne la livraison de cloches pour la Société Meuse-et-Sambre, de Beez, " chantier naval, chaudonnerie " ; contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 26 juin 1870, déchiré en deux morceaux.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche par J. Capelle-Lutgen et E. Dury, " Usines de la Vierre. Méthylène, acétates, charbon de bois " ; voir liasse n° 187.
La congrégation commanditaire a été fondée par Catherine de Francheville, à Vannes, en Bretagne, en 1675. Il s'agit ici d'une des communautés installées en Belgique après leur expulsion de France au début du XXe siècle (htpp://www.data.bnf.fr consulté le 9 avril 2015).
Contient des plans ou des croquis.
Voir n° 1069.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne des commandes de cloches d'école par l'administration communale pour les différentes écoles des villages de la commune.
Contient des plans ou des croquis.
La cloche livrée en 1862 n'est documentée que par le double du contrat passé le 9 mai 1862.
Concerne une commande pour les religieuses du Pensionnat du Sacré-Cœur.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne le village de Bonnerue, près de Jenneville ; ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1954. Concernant le village homonyme, près de Mabompré et Vellereux : voir Vellereux n°1756.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour l'Institut des Sourds-muets.
En 1875, l'administration communale achète une cloche d'école pour le collège. Six ans plus tard, en 1881, Paul Roger, du Café de l'Union, Grand-rue à Bouillon, demande une remise de prix pour une cloche de même type. Le courrier ne dit pas s'il la destine à une école ou à son établissement. Contient des plans ou des croquis.
Suivant l'historique donné sur le site de l'Institut Sainte-Marie de Bouillon (http://www.ismbouillon.be consulté le 9 avril 2015) : l'Institut Saint-Pierre a été fondé en 1910 par séparation entre les garçons et les filles jusque-là scolarisés ensemble dans l'École des Sœurs de la Doctrine Chrétienne. Contient des plans ou des croquis.
Les documents concernant les commandes et les travaux réalisés dans l'une et l'autre des deux localités ne forment qu'un seul dossier.
Contient des plans ou des croquis.
Deux courriers avec une remise de prix pour des cloches destinées à l'Afrique.
Ne contient qu'un chronogramme donnant la date de 1929 ; le destinataire n'est pas attribué.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche par la Maison Joseph Vervloet, " successeur Félix Peeters, manufacture de bronzes et quincaillerie ".
Concerne une commande passée par Monsieur U. Tordoir, " horlogerie en gros ".
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande c'une cloche de petit format par l'entreprise F. Festraets, " Fabrique d'ornements d'église ", pour être offerte à une paroisse non précisée (suivant inscription à apposer sur la cloche, courrier du 19 décembre 1946).
Contient des plans ou des croquis.
Concerne, en plusieurs commandes d'ensemble, plusieurs églises et chapelles de l'entité: Burg Reuland, Bracht, Lascheid, Maspelt, Weweler.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour le " Pensionnat de Demoiselles " des Sœurs de la Providence de l'Immaculée Conception ; contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 19 novembre 1885 et une fiche descriptive.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 6 avril 1877.
Concerne l'achat d'une cloche d'école par l'administration communale.
Concerne l'achat d'une clochette à l'initiative de l'architecte Ernest-Albert Branders.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne trois livraisons distinctes de cloches à l'église Saint-Joseph, de Cheratte. La dernière remplace celles enlevées par les Allemands pendant la guerre de 1940-1945.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée à l'église paroissiale en avril 1925.
Concerne deux livraisons de cloches aux religieuses du Pensionnat Notre-Dame.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée à l'église paroissiale en 1880.
Concerne deux livraisons distinctes de cloches à l'église paroissiale de Clermont-lez-Walcourt, cité aussi " Strée " ou " Clermont-Strée ".
Contient des plans ou des croquis.
Concerne deux livraisons distinctes de cloches à l'église paroissiale de Cognelée. La seconde remplace celles enlevées par les Allemands pendant la guerre de 1940-1945.
Ne contient que l'accusé de réception pour une cloche livrée en 1862.
Concerne notamment la livraison d'un carillon de 12 cloches pour l'église du Saint-Sauveur, en 1930.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 24 août 1867 entre l'architecte Auguste Quinet, agissant au nom d' [Auguste] Parent, et Adrien Causard, pour la réalisation d'une cloche destinée à l'église Saint-Basile, fondée à Couillet par l'entrepreneur Basile Parent († 1866).
Concerne la livraison de cloches pour la chapelle du quartier de l'Amérique, à Couillet. La chapelle de l'Amérique est une annexe de la paroisse Saint-Basile.
Concerne la livraison de cloches pour l'église du Sacré-Cœur, au hameau de Trieu.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 27 juin 1879.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'achat d'une cloche de petit format par Monsieur et Madame Thomas Braun, de Massin, pour Pierre Bondue, " La Maison dans les Dunes " au Coq-sur-Mer.
Concerne l'achat d'une clochette par le notaire Léon Blanchaert, de Deinze, pour un couvent des environs non précisé ; contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche par les Père Oblats de Marie Immaculée pour la chapelle Notre-Dame de la Mer (Kapel van de missionarissen 'paters' Oblaten : http://www.depanne.be consulté le 9 avril 2015) ; contient des plans ou des croquis.
Concerne des commandes de cloches et de clochettes pour le magasin Arthur Raulin-Hastières, " manufacture d'articles en cuivre (...) articles de ménage (...), croix funéraires (...) ustensiles de pêche ", etc.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la livraison du gong de la Tour de l'Yser, " Nele, Het Hart van Vlaanderen " ; contient des plans ou des croquis.
Concerne l'achat d'une clochette pour l'église paroissiale à réaliser par la fonte des morceaux des anciennes cloches détruites par les bombardements pendant la guerre 1914-1918.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une clochette pour faire annoncer dans le village en remplacement d'un tambour (courrier du 11 novembre 1901).
Concerne des commandes pour l'église Saint-Matthias de Flémalle-Haute et l'église Notre-Dame du Bon Secours, du quartier des Trixhes ; contient des plans ou des croquis.
Concerne la livraison de cloches pour la " Société Anonyme des Produits ", à Flénu.
La cloche est destinée à la chapelle du pensionnat.
Concerne la livraison de cloches pour la chapelle de la maison de la Compagnie de Marie (couvent des Père Monfortains) au quartier de La Houppe.
Ne contient que les fiches descriptives des cloches livrées à l'église paroissiale en 1893, 1908, 1923 et 1924.
Concerne la commande par la Maison Veuve E. Biot-Piérard, " Ancienne Maison Biot-Stilmant, fers, fontes, aciers (...) quincaillerieérale ", pour le compte de l'Institut Saint-Joseph.
Le destinataire très pressé (courrier du 4 juillet 1924) n'est pas identifié.
Concerne la commande d'une cloche d'école par la bijouterie L. Thiry-Jacob, " Horlogerie, orfèvrerie, bijouterie, machines à coudre ".
Contient des plans ou des croquis.
Bien que cela ne soit pas précisé sur les documents, il semble que ces pièces concernent la livraison d'une cloche pour la paroisse de Fooz, dans la commune d'Awans. Suivant la signature au bas de trois courriers, le curé en charge de cette paroisse est l'abbé J. Heine.
Concerne des commandes pour l'abbaye cistercienne Notre-Dame de Scourmont.
Concerne la livraison de cloches pour la chapelle Saint-Willibrord, dépendant de la paroisse de Buissonville. Voir L. GUYOT, " Forzée : un livre pour le centenaire et Forzée: les cent ans de la chapelle " dans " Vers l'avenir ", Namur, 7 et 16 mai 2008.
Concerne la livraison de cloches pour la collégiale Saint-Feuillien, à Fosses, et pour la chapelle Saint-Barthélemy du hameau voisin, Bambois.
Ne contient que le contrat passé le 18 mai 1858.
Concerne la livraison de cloches pour l'église Saint-Remacle, à Fraiture, près de Nandrin.
Concerne la livraison de cloches pour l'église Saint-Hilaire, à Fraiture, près de Vielsalm.
Concerne la livraison de cloches à Monsieur de Sébille, propriétaire du Château de Framont.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la livraison de cloches pour la Société Anonyme des Carrières du Nord.
Concerne la livraison de cloches pour le Château de Freyr.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient un courrier, un article de journal et deux images avec les portraits des martyrs.
Ne contient que le procès-verbal de réception d'un bourdon, le 7 août 1876.
Contient 5 pièces dont 2 fiches descriptives ultérieures.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 13 septembre1878 pour la livraison d'une cloche à l'église du Sacré-Cœur.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne des cloches livrées à l'église paroissiale en 1904.
Ne contient qu'une fiche descriptive succinte.
Concerne la commande d'une cloche d'école.
Contient des plans ou des croquis, notamment celui d'une cloche à l'effigie de Saint-Georges.
Contient aussi une fiche descriptive d'une cloche livrée en 1936.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 14 février 1880.
Contient des plans ou des croquis.
Voir n° 1206.
Ne contient que le contrat passé le 9 mars 1870.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive d'une cloche livrée en 1912.
Ne contient que les contrat passés les 14 avril 1867 et 29 juillet 1868.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne à la fois des livraisons de cloches pour l'église paroissiale et l'installation d'un carillon, aujourd'hui disparu, dans la " grande salle des grottes " : voir la fiche consacrée à une des cloches subsistantes sur le site "Accès Informatisé aux Collections des Institutions Muséales (AICIM), en suivant le lien direct http://www.aicim.be/main/fr/fiche.php?from=alea&id=43460 (consulté le 6 mars 2015). Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande de cloche pour école.
Concerne la commande par un privé d'une clochette destinée à une chapelle non précisée.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis ; contient aussi une photo de l'ancienne cloche enlevée par les Allemands au cours de la guerre 1940-1945.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la livraison d'une cloche pour l'école communale.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une clochette pour la Maison des Religieuses de la Providence.
Concerne la livraison d'une cloche pour le couvent des Frères Mineurs. Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1886.
Concerne la livraison de cloches pour la Société Anonyme " Kempische Stoomtram Maatschappij ".
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 26 septembre 1862.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1929.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la livraison de cloches pour le Collège de Marneffe ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche de petit format pour une entrée de château dont la localisation n'est pas précisée ; contient des plans ou des croquis.
La cloche commandée est destinée à l'usine de Chinet.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 5 octobre 1877.
Concerne une commande pour l'église de la Sainte-Trinité ; contient des plans ou des croquis.
Contient des courriers ultérieurs à la commande concernant l'histoire des cloches réalisées par la fonderie Causard pour Izegem.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche réalisée pour le couvent des Frères Capuçins en 1922.
Concerne des commandes de cloches pour le Château de Jannée.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche d'école.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Les cloches commandées ont d'abord été installées à l'hôtel " Plaza ", dans le quartier du Zoute. Fin de l'année 1934-début de l'année 1935, elles ont été transférées au couvent voisin des Frères Prêcheurs, de l'Ordre de Saint-Dominique, comme premiers éléments d'un carillon (courrier du 25 janvier 1935). Leur installation a été réalisée par la société Louis Meire-Verdonck, horloger- constructeur, de Gand.
Contient des plans ou des croquis.
Contient un courrier relatif à la livraison de cloches pour l'église Saint-Roch.
Concerne une commande par le Baron della Faille d'Huysse pour le couvent des Pères de la Congrégation de la Passion de Jésus-Christ (Passionistes) ; contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour " L'Hôtel des familles " près de la gare de La Hulpe.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour le monastère des Clarisses.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1926.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 12 août 1875.
Contient plusieurs documents à l'état fragmentaire.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat du 30 avril 1887.
Concernant la commande de 1970, la liasse ne contient que la fiche descriptive.
Ensemble de documents concernant plusieurs commandes pour différentes églises de la ville de Liège difficilement identifiables.
Contient la copie d'un courrier sortant.
Contient un courrier du 6 mars 1890.
Concerne la " Maison F. Henrion et fils, importation et exportation " en fontes, tôles, fers, etc., en produits industriels et manufacturés.
Concerne l'achat d'une cloche de petit format par le magasin de Gustave Tart, " Fournitures générales pour toutes les applications de l'électricité ".
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive.
Concerne plusieurs commandes de cloches et de clochettes pour l'entreprise Dehin Frères " fabrique d'orfèvrerie et bronzes religieux et civils.
Contient des plans ou des croquis.
Contient deux copies de courriers sortants.
Concerne la commande de plusieurs centaines de tirefonds par la Quincaillerie Jean et Joseph Troisfontaines, à Liège.
Concerne des commandes par les Usines Beduwé, " Pompes, compresseurs, pompage par air comprimé,... " pour des clients non précisés. Au moins une des cloches en bronze est destinée à une automobile adaptée pour un service de pompiers (courrier du 9 juillet 1928).
Le destinataire n'est pas explicitement identifié ; suivant courrier du 20 mars 1920, la cloche de chapelle de campagne doit être envoyée " à Alphone Dejasse, fermier à Grand-Halleux " ou " au château de Farnière à Grand-Halleux ".
Contient des plans ou des croquis.
Contient la copie d'un courrier sortant.
Ne contient que le contrat passé le 20 juillet 1863.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne notamment la dernière cloche livrée par la fonderie de Tellin au moment de sa fermeture, en 1970.
Suivant l'entête du courrier, il s'agit d'un atelier de construction de machines agricoles, fonderie de fer et de cuivre.
Contient la copie d'un courrier sortant.
Ne contient que le contrat passé le 5 août 1865. Une apostille précise que la cloche a été livrée le 20 décembre suivant et payée le 23.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne des commandes pour l'abbaye bénédictine de Saint-André.
Une fiche descriptive fait référence à une cloche livrée en 1889 ; le reste du dossier concerne une cloche livrée en 1910.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande par Thomas Braun, d'une clochette pour sa propriété de Maissin ; sur le même commanditaire voir aussi De Haan (n° 588).
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que les fiches descriptives des cloches livrées en 1951 et 1953.
Contient des croquis de montages électriques.
Une fiche descriptive fait référence à une cloche livrée en 1884 ; le reste du dossier concerne des cloches livrées en 1948.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1950.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne des commandes pour l'abbaye bénédictine des Saints-Jean-et-Scholastique.
Concerne plusieurs commandes pour l'abbaye de Maredsous entre 1881 (livraison uniquement documentée par une fiche descriptive) et 1911 (livraison, elle-aussi, seulement documentée par une fiche descriptive).
Concerne plusieurs commandes pour l'abbaye bénédictine Saint-Benoît.
Concerne une commande de cloches en 1923 et un projet d'électrification ; contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une clochette pour la cour de récréation de l'école abbatiale.
Concerne notamment le bourdon Élisabeth, dont la reine Élisabeth est la marraine ; la liasse contient notamment un extrait du journal " Vers l'avenir, " édition du 7 juillet 1947, relatif à la cérémonie de baptême du bourdon.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1885.
Concerne une commande pour les religieuses du Carmel Saint-Albert.
Concerne une commande pour l'église Saint-Libert.
Ne contient que les fiches descriptives d'une cloches livrée en 1948 et celle d'une cloche antérieure.
La cloche livrée en 1875 n'est documentée que par le contrat passé le 5 juillet 1875, le reste des documents concerne une livraison de 1911.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Les documents sont en très mauvais état ; contient des plans ou des croquis.
Les documents sont en très mauvais état.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1955.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'église du Sacré-Cœur, du quartier de la Kruisstraat. La plupart des documents contenus dans la chemise, rongés par les souris, ne sont plus que des fragments.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1890.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour l'église de la paroisse de Mont, dit aussi Mont-de-Godinne ou Mont-sur-Meuse, aujourd'hui section de la commune d'Yvoir ; contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour l'église paroissiale Saint-Martin, de Montenaken, près de Gingelom.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1920.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 3 juillet 1889.
Concerne une commande d'une petit cloche par le curé de la paroisse de Namêche " pour une chapelle " non précisée.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Commande passée par la fabrique de l'église Saint-Joseph, de Namur, pour une nouvelle église dédiée au Saint-Sacrement, à construire au quartier de Bomel.
Ne contient qu'une fiche descriptive de deux cloches livrées au Grand Séminaire.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche de petit format pour le couvent des Sœurs de Saint-Jacut dites " Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus ", communauté française exilée de Saint-Jacut-les-Pins, en Bretagne.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une copie du contrat passé entre la fabrique d'église et le fondeur Causard ; le document ne porte aucune date.
Contient des plans ou des croquis.
L'entreprise est spécialisée dans la construction d'églises ; la commande est destinée à l'église de Nieuport alors en construction, il s'agit vraisemblablement de l'église paroissiale Notre-Dame, détruite pendant la guerre 1914-1918.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1908.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'électrification des cloches de l'église paroissiale.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Voir aussi la correspondance échangée avec Jef Denyn, inventoriée sous le n° 2025 ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1901.
La cloche livrée en 1901 n'est documentée que par une fiche descriptive ultérieure.
Ne contient qu'un dossier de soumission pour la fourniture de trois cloches. Le document n'est pas daté mais il évoque le cahier général des charges " approuvé par le conseil communal en séances des 15 décembre 1896 et 9 février1897, et enregistré à Ostende le 4 janvier 1900 " ; il fait aussi référence à une loi du 14 décembre 1903.
Concerne la commande d'une cloche de petit format, par l'entrepreneur J. Van Gaver, " Travaux publics et particuliers ", destinée à une ferme.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1907.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
La chemise d'origine ne contient plus qu'un feuillet avec les caractéristiques sonores des cloches.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive des deux cloches livrées en 1951.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive des deux cloches livrées en 1905.
Concerne la commande d'une cloche par la Compagnie française des Mines et Usines de Bleyberg, pour l'église de " Bleyberg ".
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un plan.
Ne contient que le contrat passé le 5 juin 1870.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1903.
Ne contient que le contrat passé le 21 décembre 1862 et une copie " passée en double " le 15 février 1863.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'un gong pour les Grottes de Remouchamps.
Contient des plans ou des croquis.
Contient plusieurs documents sans rapport avec la commande.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient que le contrat passé le 8 avril 1877.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Voir n° 574.
Contient des plans ou des croquis.
Sur l'histoire de la chapelle, parfois citée " chapelle Saint-Antoine " : L. T. [Liliane THOMAS], " La chapelle Notre-Dame de la Salette restaurée ", dans " L'Avenir du Luxembourg ", édition du 4 octobre 2011.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'achat d'une cloche de petit format par l'Abbé Joseph Hakin, curé retraité d'Herstal-Saint-Lambert, pour la chapelle construite par les habitants de La Rouge-Minière, sur un terrain offert par la famille Hakin (page Wikipedia " La Rouge-Minière consultée le 8 avril 2015).
Concerne une commande pour le couvent des Religieuses de Sainte-Julienne, dites " Apostolines du Très Sacrement ".
Concerne une commande pour le Couvent des Filles de Marie, établi rue Théodore Verhaegen).
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un exemplaire du contrat passé le 21 août 1872.
Ne contient qu'un exemplaire du contrat passé le 25 février 1876.
Ne contient que le contrat passé le 8 novembre 1867.
Concerne le village de Saint-Remy, près de Blegny, en province de Liège.
Concerne le village de Saint-Remy, près de Bleid, en province de Luxembourg ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche d'usine par M. Harmel-Bradfer, " tannerie et corroierie, cuir pour sellerie, fabrique de chaussures ".
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour le prieuré Saint-Michel ; contient des plans ou des croquis.
Concerne le rachat par la fonderie Causard-Slégers de deux cloches de petit format que les religieuses Dominicaines de Sart-Risbart souhaitent revendre.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive des cloches livrées en 1948 à l'église Saint-Léonard, au quartier de La Chatqueue.
Concerne une commande pour la chapelle de Mauvinage.
Concerne la localité de Sint-Amands, en province d'Anvers.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1911.
Concerne Sint-Denijs, près de Zwevegem, en Flandre Occidentale. Anciennement, la localité est connue sous le nom français de " Saint-Genois " ; c'est avec ce nom qu'elle est citée dans les documents conservés.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Courriers échangés avec François Premereur, de Ninove, " horlogerie, mécanique, construction d'horloges pour églises, horloges pour châteaux... ".
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1936.
Concerne une commande pour le monastère des Bénédictines de Notre-Dame-du-Calvaire ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
La cloche livrée en 1946 n'est documentée que par une fiche descriptive.
Ne contient qu'un exemplaire du contrat passé 1er janvier 1872.
La cloche livrée en 1872 n'est documentée que le contrat passé le 4 juin 1872.
Contient des plans ou des croquis.
Contient deux sceaux en cire portant les armoiries de la famille de Béthune.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une clochette d'école par Léon Gillet, " Entreprise de menuiserie ".
Ne contient qu'un fiche descriptive des deux cloches livrées en 1950.
Contient des plans ou des croquis.
Documents concernant une cloche livrée en 1868.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'achat de cloches d'école en remplacement de celles enlevées par les Allemands pendant la guerre de 1914-1918.
Ne contient que des documents fragmentaires.
La cloche commandée en 1884 n'est documentée que par un double du contrat passé le 29 juillet 1884.
Ne contient qu'une fiche descriptive.
Concerne une commande pour l'abbaye de l'Ordre de Prémontré ; contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 25 avril 1874.
Documents concernant le remplacement de la cloche de l'école de Petitvoir, " qui sert pour appeler les paroissiens à l'église " (suivant courrier du 3 octobre 1946).
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1904.
Concerne une commande pour l'Institut Saint-Victor, des Frères de la Charité ; contient des plans ou des croquis.
Les documents forment un dossier reconstitué dont une partie semble intéresser l'église du Tomberg ; l'identifiaction n'est pas assurée.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne l'achat d'une cloche d'école par l'administration communale.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la chapelle de Bonnerue.
Concerne la commune de Verlaine, en province de Liège.
Concerne le village de Verlaine, en province de Luxembourg ; contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 20 février 1867.
Contient des plans ou des croquis.
La cloche livrée en 1902 n'est documentée que par une fiche descriptive.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche d'école.
Concerne une commande pour les Établissements P. Merx, " Fers, tôles, poutrelles, et.c ", à Visé.
Concerne l'achat d'une clochette pour le compte de " Monsieur Legrand Frères à Seilles-lez-Andenne, pour sonner les mines à la carrière (courrier du 14 novembre 1902).
Concerne la commande d'une clochette d'école.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche de petit format par les Sœurs de la Sainte-Enfance pour leur couvent de Vlissegem.
Ne contient que la fiche descriptive de cloches livrées en 1902 et 1905 au Baron Dupont d'Ahérée.
Concerne la commande d'une cloche d'école.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Il s'agit d'un courrier isolé évoquant l'achat de deux clochettes par l'entrepreneur Henri Haye, de Wanlin, mais qui ne dit rien quant au destinataire précis de la commande.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 27 septembre 1863.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 7 décembre 1871.
Concerne la commande d'une clochette par Dom Eugène Vandeur pour la communauté des Bénédictines qu'il a fondé en 1917. Installée d'abord à Bruxelles, la communauté s'installe à Wépion avant de s'établir définitivement à Ermeton-sur-Biert.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Documents concernant une commande pour l'abbaye cistercienne Notre-Dame du Sacré-Cœur.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un courrier de l'administration communale concernant des réparations à faire à une cloche de l'église paroissiale.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1950.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 30 décembre 1872.
Dossier concernant les cloches offertes à l'église de Winterslag par la " Société anonyme des Charbonnages de Winterslag " ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande de cloche de petit format pour la chapelle du château de La Hooghe (Kasteel t'Hooghe), par la Baronne de Vinck ; contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne plusieurs commandes passées par le Baron Dupont d'Ahérée pour des missions, notamment en Inde, à Ceylan et au Bengale.
Courriers échangés avec le R. P. Delbouche, OMI, procureur de la maison des Oblats de Marie-Immaculée à Liège, concernant la commande d'une cloche pour la mission de Basutoland (act. Lésotho).
Courriers échangés avec le R. P. Boelaars, procureur de la mission du Transvaal concernant la commande d'une cloche pour un lieu non précisé du Transwaal.
Concerne une commande pour Mgr Salvatore Van Nuffel, OSB, préfet apostolique pour le Nord-Transvaal, à Piertersburg (act. Polokwane), par l'intermédiaire de l'abbaye bénédictine d'Affligem.
Concerne une commande à destination de la Mission des Oblats de Marie-Immaculée au Transvaal, à destination de Prétoria.
Concerne une commande à destination de la Mission des Oblats de Marie-Immaculée au Transvaal, à destination de Vleeshfontein.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 28 avril 1893 avec l'abbaye bénédictine de Maria Laach ; le suivi du contrat est documenté dans la correspondance entretenue entre la fonderie et Dom Jean Blessing (n° 167-170).
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande à destination de Greymouth.
Un bref historique et une bibliographie sur la présence belge au Manitoba, notamment sur la fondation de la paroisse de Bruxelles (anc. Bruxelles-des-Monts) est disponible sur le site du Centre du patrimoine, de Saint-Boniface : http://shsb.mb.ca , onglet " Au pays de Riel ", rubriques " lieux " et " sujets " (consulté en mars 2015).
Voir aussi n° 236.
Concerne une commande pour l'église Corpus Christi. Construite en 1910, l'église a été détruite par des vents violents en 1918. En raison du déclin rapide de la ville fondée quelques années plus tôt à peine dans cette région minière du sud-ouest de la province d'Alberta, l'église ne fut pas reconstruite. Récupérée la cloche a d'abord été installée quelques kilomètres plus loin, dans l'église Sainte-Anne, à Blairmore (M. A. HARRINGTON, " 25th anniversary, St. Anne's Parish, Blairmore, Alberta ", Blairmore, [1935], 35 p.). Actuellement, elle est placée, avec d'autres cloches historiques de la ville, à l'extérieur de l'église de la Sainte-Trinité, à Blairmore (" Historical Walking Tour Of Frank " publiée par The Crowsnest Heritage Initiative ; J. KINNEAR, " The bells of Holy Trinity Church " dans " Crowsnest Pass Herald ", vol. 82, n° 27, 10 juillet 2012). Le dossier contient des plans ou des croquis.
Voir aussi n° 236.
Concerne une commande pour l'église Notre-Dame de Grâce, à Québec. La paroisse Notre-Dame de Grâce est issue d'une division de la paroisse Saint-Sauveur en 1924. L'église a été bénie le 2 mai 1926 (d'après le site http://eglisesdequebec.org consulté en mars 2015).
Voir aussi n° 236.
Concerne plusieurs commandes cloches passées par le Frère Félix-Antoine, de la Congrégation des Frères Maristes. Originaire du nord de la France, il sera envoyé par sa congrégation vers l'Amérique de Nord à la fin du XIXe siècle. Quelques années plus tôt, il avait été, un temps, professeur à l'école normale d'Arlon. En 1923, il fut impliqué dans les projets d'agrandissement du bâtiment et de décoration de la chapelle du noviciat de Saint-Hyacinthe. C'est dans ce contexte qu'il entre en relation avec la fonderie Causard, de Tellin et qu'il lui commandera plusieurs cloches (A. SANSCHAGRIN, " L'imagerie et la librairie Saint-Antoine de Saint-Hyacinthe, 1908-1997 ", dans " Bulletin archivistique des Frères Maristes [du Canada "], vol. 1, n° 7, mars 1911).
Voir aussi n° 236.
Concerne une commande pour l'église de l'Immaculée Conception (Immaculate Conception Church).
Voir aussi n° 236.
Concerne différentes commandes vers plusieurs missions dans les colonies belges ; notamment: Wamba, Fumu-Putu, Pawa, etc.. Les commandes émanent de congrégations religieuses autant que de particuliers.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne plusieurs commandes différentes par l'intermédiaire de la Procure des Pères Blancs.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne plusieurs commandes de cloches faites par des particuliers à destination de différentes missions ou offertes à des missionnaires, notamment un don des paroissiens de Buret et de Wardin au P. Dechambre, en 1955.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande d'une cloche pour une chapelle-école. La Société équatoriale congolaise Lulonga Ikelemba est établie à Anvers ; la destination précise au Congo n'est pas déterminée.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de la mission de Brabanta, aujourd'hui Basongo, pour le compte des Pères de Scheut.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de la mission des Pères de Scheut, à Boma.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de la mission d'Alberta, aujourd'hui Bumba.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour la COBELMIN-CONGO, à Bukavu, par l'intermédiaire de la Société internationale commerciale et financière de la Forminière.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour la fondation de l'abbaye bénédictine de Maredsous à Astrida, aujourd'hui Butare, au Rwanda.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de la mission des Pères de Scheut, à Dage (Likimi).
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne la commande d'une cloche offerte par les Pères des Sacrés-Cœurs d'Aarschot.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande destinée à la Fondation bénédictine du Katanga, par l'intermédiaire de l'abbaye de Maredsous.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande l'église Saint-Pierre à Kinshasa-Léopoldville.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande par le recteur du Collège Saint-Michel, de la Compagnie de Jésus, à Bruxelles, pour le Père Va Wing, miussionnaire à Kisantu.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande par le Père Ivon Verpoort, scheutiste, pour sa mission de Kizu.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne la livraison d'une cloche par l'intermédiaire de la Procure des Missions jésuites, à Bruxelles.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour le monastère des religieuses ?Bénédictines de Likasi-Panda, par l'intermédiaire de la communauté mère, le monastère de Bethanie à Loppem.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande par l'intermédiaire des Missions Assomptionistes.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de l'École du Travail à Leverville, aujourd'hui Lusanga.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne des commandes par l'intermédiaire des Missionnaires rédemptoristes.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne la livraison d'une cloche, don du Collège de Bellevue, à Dinant, à la mission de Matadi.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour la chapelle du poste de Mibeka par la Société internationale commerciale et financière de la Forminière.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une cloche envoyé par une habitante de Purnode, à son fils missionnaire.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne des commandes pour les missions de Ngi-sur-Wamba et de Mukila, pour le compte des Missions jésuites, notamment par l'intermédiaire de la Maison Saint-François Xavier, à Arlon.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour la mission de Ngidinga, pour le compte des Missions jésuites.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une cloche envoyé par une habitante de Virton, à son fils missionnaire.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande à destination de la mission Saint-Antoine à Sanda.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne une commande pour le monastères des Sœurs Clarisses, à Usumbura, au Burundi.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Concerne la livraison de deux cloches, dont une au moins, est un don de l'abbé Van Schingen, curé de Saint-Paul, à Dinant, à la mission de Yasa ; contient des plans ou des croquis.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Les différentes liasses et chemises concernant des commandes de cloches à destination du Congo, du Burundi et du Rwanda, sont, semble-t-il, issues du démembrement de dossiers généraux relatifs aux livraisons vers les colonies belges. Une liasse, la première de la cette série, paraît avoir échappé au démembrement. Même s'il recherche une localité en particulier, le chercheur ne manquera pas de passer son contenu en revue en plus du dossier correspondant au but de ses recherches.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour l'église Saint-Joseph (St Joseph's Church).
Les documents concernent la commande d'un carillon par Charlotte Beebe Wilbour (1833-1914), veuve de l'égyptologue Charles Edwin Wilbour (1833-1896) pour la tour construite à l'initiative de Charles Edwin Wibour et de son cousin Isaac Champlin Wilbour, le créateur de la race de poule " Rhode-Island ", au centre du cimetière familial, le (New) Willbour Family Cemetery ou Seaconnet Cemetery, à Little Compton (B. Fr. WILBOUR, " Little Compton Families ", vol. 1, " Little Compton ", 1967, p. xi ; rens. Roger Guillemette, Rhode Island Historical Cemetery Commission). La liasse contient des plans et des croquis ; une photo de la tour est disponible sur le site de la " Rhode Island Historical Cemetery Commission " (http://rihistoriccemeteries.org).
Les documents concernent la commande d'une cloche offerte par les habitants de la paroisse Sainte-Elisabeth, à Mons, aux religieuses de la Visitation à l'occasion de leur retour en France.
Ne contient qu'un contrat passé le 6 juin 1873avec le curé de la paroisse de Quérénaing, dans le département du Nord.
Concerne la commande de cloches d'église par l'intermédiaire de la Maison Delcourt Frères, à Huy, à destination de la Crête.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande à destination de Phatéam, pour la mission des Pères de Scheut, et une autre pour le Couvent Saint-Gérard Majella des Pères Rédemptoristes, à Port-au-Prince ; contient des plans ou des croquis.
Concerne plusieurs commandes à destination des Missions de la Compagnie de Jésus ; les destinations exactes ne sont pas toutes précisées.
Concerne une commande à destination de la Mission de Balige, province de Tapanuli (anc. Tapanoeli).
Concerne une commande pour le moniales dominicaines du Monastère Notre-Dame du Rosaire, à Morioka. Le monastère a été fondé en 1933 par des religieuses venant de Dinant (" A Historical Directory of Communities of Dominican Nuns World-Wide ", 2e partie, " Asia ", éd. Association of Sister Historians of the Order of Preachers, Fanjeaux, s.d. [2014]).
Concerne une cloche offerte à la Mission des Pères blancs, à Kisumu, par " Mr Albuquerque ", via Bombay.
Concerne une cloche destinée, suivant inscription sur la cloche, à la " Potter Memorial Church ", à Cape Palmas.
Ne contient qu'une fiche descriptive de la cloche livrée en 1925.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'un gong de chœur par le curé de la paroisse de Manternach.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne la commande d'une cloche de petit format pour le Centre d'éducation de Dreiborn (Kloster Dreiborn).
Concerne la commande d'une cloche pour une chapelle à Arendal ; contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour la cathédrale catholique de Christchurch ; contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande par Joseph Mertens, pour le Théatre royal français, de La Haye.
Contient un brouillon et un double du contrat passé le 2 août 1878.
Contient des plans ou des croquis.
Concerne une commande pour l'église paroissiale.
Concerne une commande par l'atelier d'art religieux, J. Jongeneelen.
Contient des plans ou des croquis.
Ne contient qu'un double du contrat passé le 29 juin 1900.
Concerne une commande d'une cloche par Emmanuel De Winde , avocat à la cour de cassation, à Bruxelles, pour les Pères de Scheut, pour un lieu non précisé, aux Philippines, et deux cloches à destination de la Mission des Pères de Scheut (Immaculate Heart Mission Seminary), à Baguio.
Concerne une commande de trois cloches à destination de la Mission des Pères de Scheut, à Singapour.
Concerne la commande d'une cloche à destination d'une église de San Rafael.
Concerne le don d'une cloche de la paroisse de Tamines pour " une nouvelle paroisse du Vénézuela " avec laquelle elle est jumelée (courrier du 13 mai 1961) ; le nom de la paroisse n'est pas précisé.
Concerne une commande pour la Mission évangélique du Haut-Zambèze, à Sesheke ; contient des plans ou des croquis.
Concerne plusieurs commandes à destination de l'ancienne Rhodésie, notamment Plumtree ou Driefontein Mission, actuellement au Zimbabwe.
Une grande partie des courriers échangés concerne la réalisation, l'installation et les réglages du carillon à Ostende (cf. n° 1377) et quelques courriers relatifs au projet d'union professionnelle.
En janvier 1925 (courrier du 22 janvier 1925), Jef Denyn, directeur de " L'École nationale de carillon ", à Malines, invite Georges Slegers à une réunion préalable à la création d'une " centrale regroupant fonderies de cloches, cuivre, bronze d'art et monumental, construction de mécanismes à cylindre et à clavier pour carillons, pour horloges de tour, etc. ". Y sont aussi invités, les fondeurs Vandershodt et Michaux, de Louvain, Constant Sergeys, de Chenée, Marcel Michiels, de Tournai, et Prosper Michiels de Malines. Les documents conservés ne disent pas ce qu'il en est advenu du projet. Au lendemain de la guerre 1940-1945, le projet d'une association professionnelle est relancé par une initiative d'Henri de Coster visant à instituer une " Union des fondeurs de cloches belges " pour " coordonner les décisions qui ont été prises en commun par les fondeurs de cloches belges, et de servir de centre de liaison des dits fondeurs vis-à-vis de l'étranger " (art. 2 du règlement). Face au vaste marché de la reconstruction d'après-guerre, l'Union entend réguler la concurrence entre fondeurs belges, arbitrer leurs différents, les soutenir dans les procédures d'exportation ; les conseiller juridiquement dans leurs relations avec les instances publiques et leurs clients ; défendre les intérêts du métier et des entreprises, etc. Etablie en novembre 1950, elle regroupe les cinq fondeurs belges " agréés comme tels par les instances officielles " (courrier du 20 octobre 1950) : Bauwens (Gand), Michiels (Tournai), Sergeys (Louvain), Slégers (Tellin) et Tastenoe (Leeuw-Saint-Pierre). L'Union siège au 52 Dieweg à Bruxelles, le domicile personnel d'Henri de Coster, qui en assure le secrétariat ; Marcel Michiels est désigné président, François Sergeys et Georges Slégers vice-présidents.
Contient essentiellement des courriers entre l'Union et ses membres, entre membres du bureau, des procès-verbaux de réunions, et des copies de courriers de l'Union vers ses interlocuteurs.
En janvier 1925 (courrier du 22 janvier 1925), Jef Denyn, directeur de " L'École nationale de carillon ", à Malines, invite Georges Slegers à une réunion préalable à la création d'une " centrale regroupant fonderies de cloches, cuivre, bronze d'art et monumental, construction de mécanismes à cylindre et à clavier pour carillons, pour horloges de tour, etc. ". Y sont aussi invités, les fondeurs Vandershodt et Michaux, de Louvain, Constant Sergeys, de Chenée, Marcel Michiels, de Tournai, et Prosper Michiels de Malines. Les documents conservés ne disent pas ce qu'il en est advenu du projet. Au lendemain de la guerre 1940-1945, le projet d'une association professionnelle est relancé par une initiative d'Henri de Coster visant à instituer une " Union des fondeurs de cloches belges " pour " coordonner les décisions qui ont été prises en commun par les fondeurs de cloches belges, et de servir de centre de liaison des dits fondeurs vis-à-vis de l'étranger " (art. 2 du règlement). Face au vaste marché de la reconstruction d'après-guerre, l'Union entend réguler la concurrence entre fondeurs belges, arbitrer leurs différents, les soutenir dans les procédures d'exportation ; les conseiller juridiquement dans leurs relations avec les instances publiques et leurs clients ; défendre les intérêts du métier et des entreprises, etc. Etablie en novembre 1950, elle regroupe les cinq fondeurs belges " agréés comme tels par les instances officielles " (courrier du 20 octobre 1950) : Bauwens (Gand), Michiels (Tournai), Sergeys (Louvain), Slégers (Tellin) et Tastenoe (Leeuw-Saint-Pierre). L'Union siège au 52 Dieweg à Bruxelles, le domicile personnel d'Henri de Coster, qui en assure le secrétariat ; Marcel Michiels est désigné président, François Sergeys et Georges Slégers vice-présidents.
En janvier 1925 (courrier du 22 janvier 1925), Jef Denyn, directeur de " L'École nationale de carillon ", à Malines, invite Georges Slegers à une réunion préalable à la création d'une " centrale regroupant fonderies de cloches, cuivre, bronze d'art et monumental, construction de mécanismes à cylindre et à clavier pour carillons, pour horloges de tour, etc. ". Y sont aussi invités, les fondeurs Vandershodt et Michaux, de Louvain, Constant Sergeys, de Chenée, Marcel Michiels, de Tournai, et Prosper Michiels de Malines. Les documents conservés ne disent pas ce qu'il en est advenu du projet. Au lendemain de la guerre 1940-1945, le projet d'une association professionnelle est relancé par une initiative d'Henri de Coster visant à instituer une " Union des fondeurs de cloches belges " pour " coordonner les décisions qui ont été prises en commun par les fondeurs de cloches belges, et de servir de centre de liaison des dits fondeurs vis-à-vis de l'étranger " (art. 2 du règlement). Face au vaste marché de la reconstruction d'après-guerre, l'Union entend réguler la concurrence entre fondeurs belges, arbitrer leurs différents, les soutenir dans les procédures d'exportation ; les conseiller juridiquement dans leurs relations avec les instances publiques et leurs clients ; défendre les intérêts du métier et des entreprises, etc. Etablie en novembre 1950, elle regroupe les cinq fondeurs belges " agréés comme tels par les instances officielles " (courrier du 20 octobre 1950) : Bauwens (Gand), Michiels (Tournai), Sergeys (Louvain), Slégers (Tellin) et Tastenoe (Leeuw-Saint-Pierre). L'Union siège au 52 Dieweg à Bruxelles, le domicile personnel d'Henri de Coster, qui en assure le secrétariat ; Marcel Michiels est désigné président, François Sergeys et Georges Slégers vice-présidents.
En janvier 1925 (courrier du 22 janvier 1925), Jef Denyn, directeur de " L'École nationale de carillon ", à Malines, invite Georges Slegers à une réunion préalable à la création d'une " centrale regroupant fonderies de cloches, cuivre, bronze d'art et monumental, construction de mécanismes à cylindre et à clavier pour carillons, pour horloges de tour, etc. ". Y sont aussi invités, les fondeurs Vandershodt et Michaux, de Louvain, Constant Sergeys, de Chenée, Marcel Michiels, de Tournai, et Prosper Michiels de Malines. Les documents conservés ne disent pas ce qu'il en est advenu du projet. Au lendemain de la guerre 1940-1945, le projet d'une association professionnelle est relancé par une initiative d'Henri de Coster visant à instituer une " Union des fondeurs de cloches belges " pour " coordonner les décisions qui ont été prises en commun par les fondeurs de cloches belges, et de servir de centre de liaison des dits fondeurs vis-à-vis de l'étranger " (art. 2 du règlement). Face au vaste marché de la reconstruction d'après-guerre, l'Union entend réguler la concurrence entre fondeurs belges, arbitrer leurs différents, les soutenir dans les procédures d'exportation ; les conseiller juridiquement dans leurs relations avec les instances publiques et leurs clients ; défendre les intérêts du métier et des entreprises, etc. Etablie en novembre 1950, elle regroupe les cinq fondeurs belges " agréés comme tels par les instances officielles " (courrier du 20 octobre 1950) : Bauwens (Gand), Michiels (Tournai), Sergeys (Louvain), Slégers (Tellin) et Tastenoe (Leeuw-Saint-Pierre). L'Union siège au 52 Dieweg à Bruxelles, le domicile personnel d'Henri de Coster, qui en assure le secrétariat ; Marcel Michiels est désigné président, François Sergeys et Georges Slégers vice-présidents.
En janvier 1925 (courrier du 22 janvier 1925), Jef Denyn, directeur de " L'École nationale de carillon ", à Malines, invite Georges Slegers à une réunion préalable à la création d'une " centrale regroupant fonderies de cloches, cuivre, bronze d'art et monumental, construction de mécanismes à cylindre et à clavier pour carillons, pour horloges de tour, etc. ". Y sont aussi invités, les fondeurs Vandershodt et Michaux, de Louvain, Constant Sergeys, de Chenée, Marcel Michiels, de Tournai, et Prosper Michiels de Malines. Les documents conservés ne disent pas ce qu'il en est advenu du projet. Au lendemain de la guerre 1940-1945, le projet d'une association professionnelle est relancé par une initiative d'Henri de Coster visant à instituer une " Union des fondeurs de cloches belges " pour " coordonner les décisions qui ont été prises en commun par les fondeurs de cloches belges, et de servir de centre de liaison des dits fondeurs vis-à-vis de l'étranger " (art. 2 du règlement). Face au vaste marché de la reconstruction d'après-guerre, l'Union entend réguler la concurrence entre fondeurs belges, arbitrer leurs différents, les soutenir dans les procédures d'exportation ; les conseiller juridiquement dans leurs relations avec les instances publiques et leurs clients ; défendre les intérêts du métier et des entreprises, etc. Etablie en novembre 1950, elle regroupe les cinq fondeurs belges " agréés comme tels par les instances officielles " (courrier du 20 octobre 1950) : Bauwens (Gand), Michiels (Tournai), Sergeys (Louvain), Slégers (Tellin) et Tastenoe (Leeuw-Saint-Pierre). L'Union siège au 52 Dieweg à Bruxelles, le domicile personnel d'Henri de Coster, qui en assure le secrétariat ; Marcel Michiels est désigné président, François Sergeys et Georges Slégers vice-présidents.
Le chanoine Jean Schmitz (1877-1951) devient secrétaire de l'évêque de Namur, Mgr Decrolière, en 1899 ; il restera secrétaire de l'évêché (épiscopats de Mgr Decrolière, Heylen et Charue) jusqu'à son décès en1951. C'est en cette qualité qu'il sera en contact avec Georges Slégers, dans le de la restitution des cloches abîmées ou disparues lors de la guerre.
La " Commission pour la sauvegarde, la récupération et le remplacement des cloches " a été créée en mai 1943 par Joseph De Beer, conservateur du musée du Sterckhof à Deurne, en réaction à l'application aux cloches des églises de l'arrêté allemand du 15 juillet 1941 décrétant " la récupération des métaux non ferreux contenus dans certains objets appartenant au domaine public ". Etablie au sein du ministère de l'Instruction publique (Administration des beaux-arts), travaillant en collaboration avec le Ministère de la Justice (Administration des cultes) et en collaboration avec les autorités ecclésiastiques, la commission devait être l'interlocuteur belge de la " Glocken Aktion " allemande. Sur base d'un inventaire qu'elle coordonna, la commission assura une très stricte application des accords sur les catégories de cloches réquisitionnables, en même temps qu'elle mettait tout en œuvre pour en soustraire le plus possible à l'enlèvement. A la Libération, la commission fut chargée d'organiser la récupération et la restitution des pièces emportées. Sa documentation accumulée pendant les saisies lui permit aussi de dresser la liste des pièces définitivement perdue, par fonte mais aussi par destruction après bombardement des fonderies ou des installations portuaires notamment celles de Hambourg port d'arrivée des convois. La fonderie Causard-Slegers prit une part active dans ces opérations, comme entreprise déléguée chargée de ré-installer les cloches, comme expert pour l'évaluation des dégâts aux cloches et aux installations, comme fabrique spécialisée pour la fonte de nouvelles pièces en remplacement des cloches abîmées ou disparues.
La " Commission pour la sauvegarde, la récupération et le remplacement des cloches " a été créée en mai 1943 par Joseph De Beer, conservateur du musée du Sterckhof à Deurne, en réaction à l'application aux cloches des églises de l'arrêté allemand du 15 juillet 1941 décrétant " la récupération des métaux non ferreux contenus dans certains objets appartenant au domaine public ". Etablie au sein du ministère de l'Instruction publique (Administration des beaux-arts), travaillant en collaboration avec le Ministère de la Justice (Administration des cultes) et en collaboration avec les autorités ecclésiastiques, la commission devait être l'interlocuteur belge de la " Glocken Aktion " allemande. Sur base d'un inventaire qu'elle coordonna, la commission assura une très stricte application des accords sur les catégories de cloches réquisitionnables, en même temps qu'elle mettait tout en œuvre pour en soustraire le plus possible à l'enlèvement. A la Libération, la commission fut chargée d'organiser la récupération et la restitution des pièces emportées. Sa documentation accumulée pendant les saisies lui permit aussi de dresser la liste des pièces définitivement perdue, par fonte mais aussi par destruction après bombardement des fonderies ou des installations portuaires notamment celles de Hambourg port d'arrivée des convois. La fonderie Causard-Slegers prit une part active dans ces opérations, comme entreprise déléguée chargée de ré-installer les cloches, comme expert pour l'évaluation des dégâts aux cloches et aux installations, comme fabrique spécialisée pour la fonte de nouvelles pièces en remplacement des cloches abîmées ou disparues.
La " Commission pour la sauvegarde, la récupération et le remplacement des cloches " a été créée en mai 1943 par Joseph De Beer, conservateur du musée du Sterckhof à Deurne, en réaction à l'application aux cloches des églises de l'arrêté allemand du 15 juillet 1941 décrétant " la récupération des métaux non ferreux contenus dans certains objets appartenant au domaine public ". Etablie au sein du ministère de l'Instruction publique (Administration des beaux-arts), travaillant en collaboration avec le Ministère de la Justice (Administration des cultes) et en collaboration avec les autorités ecclésiastiques, la commission devait être l'interlocuteur belge de la " Glocken Aktion " allemande. Sur base d'un inventaire qu'elle coordonna, la commission assura une très stricte application des accords sur les catégories de cloches réquisitionnables, en même temps qu'elle mettait tout en œuvre pour en soustraire le plus possible à l'enlèvement. A la Libération, la commission fut chargée d'organiser la récupération et la restitution des pièces emportées. Sa documentation accumulée pendant les saisies lui permit aussi de dresser la liste des pièces définitivement perdue, par fonte mais aussi par destruction après bombardement des fonderies ou des installations portuaires notamment celles de Hambourg port d'arrivée des convois. La fonderie Causard-Slegers prit une part active dans ces opérations, comme entreprise déléguée chargée de ré-installer les cloches, comme expert pour l'évaluation des dégâts aux cloches et aux installations, comme fabrique spécialisée pour la fonte de nouvelles pièces en remplacement des cloches abîmées ou disparues.
La " Commission pour la sauvegarde, la récupération et le remplacement des cloches " a été créée en mai 1943 par Joseph De Beer, conservateur du musée du Sterckhof à Deurne, en réaction à l'application aux cloches des églises de l'arrêté allemand du 15 juillet 1941 décrétant " la récupération des métaux non ferreux contenus dans certains objets appartenant au domaine public ". Etablie au sein du ministère de l'Instruction publique (Administration des beaux-arts), travaillant en collaboration avec le Ministère de la Justice (Administration des cultes) et en collaboration avec les autorités ecclésiastiques, la commission devait être l'interlocuteur belge de la " Glocken Aktion " allemande. Sur base d'un inventaire qu'elle coordonna, la commission assura une très stricte application des accords sur les catégories de cloches réquisitionnables, en même temps qu'elle mettait tout en œuvre pour en soustraire le plus possible à l'enlèvement. A la Libération, la commission fut chargée d'organiser la récupération et la restitution des pièces emportées. Sa documentation accumulée pendant les saisies lui permit aussi de dresser la liste des pièces définitivement perdue, par fonte mais aussi par destruction après bombardement des fonderies ou des installations portuaires notamment celles de Hambourg port d'arrivée des convois. La fonderie Causard-Slegers prit une part active dans ces opérations, comme entreprise déléguée chargée de ré-installer les cloches, comme expert pour l'évaluation des dégâts aux cloches et aux installations, comme fabrique spécialisée pour la fonte de nouvelles pièces en remplacement des cloches abîmées ou disparues.
Concerne la production de mélasse de poire ou " poiré " pour le compte de la Société coopérative du Luxembourg, organisation dépendant du Comité de Secours et d'Alimentation du Luxembourg (J.-M. PAIROUX et Th. SCHOLTES, " Le ravitaillement des populations belges pendant la guerre 1914-1918 :l'action régionale et locale du Comité luxembourgeois de Secours et d'Alimentation ", dans R. PIERLOT et T. SCHOLTES (dir), " Nouveaux regards sur la Grande Guerre. Actes du colloque organisé par la Province de Luxembourg et les Archives de l'Etat, Bertrix, 9 et 10 mai 2014 ", Arlon-Bruxelles, 2014).
En anglais, français et néerlandais.