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Les dépots d'archives
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Type de producteur d'archives : Entreprise/Organisation
Source : Parastatalen
Période : 1850-
Lorganisation interne de la BNB a subi de nombreuses évolutions au fil du temps.</p>
<p> Le siège de la BNB est fixé à Bruxelles et la Banque établit des sièges dactivités dans les localités du pays où le besoin sen fait ressentir. Elle dispose dagences à Courtrai, Gand, Hasselt, Mons et Namur et de 2 succursales (Anvers et Liège). Les organes de la Banque sont le gouverneur, le comité de direction, le conseil de régence et le collège des censeurs.</p>
<p> Le gouverneur dirige la Banque, préside le comité de direction et le conseil de régence. Il est remplacé en cas dempêchement par le vice-gouverneur. Le gouverneur est nommé par le roi pour un mandat de 5 ans renouvelable.</p>
<p> Le comité de direction est composé, outre du gouverneur, de 5 à 7 directeurs, dont lun porte le titre de vice-gouverneur. Les membres sont répartis paritairement dun point de vue linguistique. Ils sont nommés par le roi sur proposition du conseil de régence pour un mandat renouvelable de 6 ans. Le comité de direction assure ladministration et la gestion de la BNB dont il détermine lorientation de la politique.</p>
<p> Le conseil de régence est composé du gouverneur, des directeurs et de 10 régents (dont autant dexpression française que dexpression néerlandaise). Les régents sont élus pour un terme renouvelable de 3 ans par lassemblée générale. 2 dentre eux sont choisis sur proposition des organisations les plus représentatives des travailleurs, 3 sur proposition des organisations les plus représentatives de lindustrie et du commerce, de lagriculture et des classes moyennes, et 5 sur proposition du ministre des Finances. Le conseil de régence procède à des échanges de vues sur les questions générales relatives à la Banque, à la politique monétaire et à la situation économique du pays et de la Communauté européenne. Il arrête également, sur proposition du comité de direction, le règlement dordre intérieur de la BNB et approuve le budget des dépenses et les comptes annuels. Enfin, il règle définitivement la répartition des bénéfices proposée par le comité.</p>
<p> Le collège des censeurs est composé de 10 membres (autant de francophones que de néerlandophones). Ceux-ci sont élus par lassemblée générale parmi les personnalités particulièrement compétentes en terme de contrôle. La durée de leur mandat est de 3 ans et est renouvelable. Le collège choisit en son sein un président et un secrétaire. Il est chargé de surveiller la préparation et lexécution du budget.</p>
<p> Un secrétaire et un trésorier sont nommés par le conseil de régence.</p>
<p> Sauf en ce qui concerne les missions et les opérations relevant du SEBC, le ministre des Finances, par lintermédiaire dun commissaire, a le droit de contrôler les opérations de la Banque et de sopposer à lexécution de toute mesure qui serait contraire à la loi, aux statuts ou aux intérêts de lÉtat. Le commissaire du gouvernement assiste avec voix consultative aux réunions du conseil de régence et du collège des censeurs.</p>
<p> Outre la surveillance ministérielle, la BNB est soumise au contrôle de réviseurs d'entreprises qui exercent la mission de surveillance prescrite par la loi (certification des comptes annuels, contrôle et certification pour le compte des réviseurs d'entreprises de la Banque centrale européenne (BCE), mission de contrôle et d'information vis-à-vis du Conseil d'entreprise). Les réviseurs dentreprises sont nommés par lassemblée générale sur présentation du conseil dentreprise.
En 1848, une crise de liquidités indique quune réforme du système bancaire et financier simpose. Dans la foulée, Walthère Frère-Orban, qui venait dêtre nommé ministre des Finances, souhaite scinder les différentes activités bancaires pour les confier à des institutions distinctes et organiser ainsi un système financier compartimenté.<span style="font-size:small">
(Le projet de Frère-Orban prévoyait aussi une caisse dépargne distincte (la <span style="font-style:italic">Caisse générale dépargne et de retraire</span> (CGER)* sera créée en 1865), ainsi quun établissement spécialisé dans loctroi de crédits aux villes et communes (le <span style="font-style:italic">Crédit communal de Belgique*</span> sera institué en 1860), une institution chargée du crédit hypothécaire, etc.)</span>
Il est également partisan de la constitution dun organe central qui reprendrait les activités descompte et démission afin dunifier la circulation fiduciaire et de promouvoir le crédit descompte. Les deux grandes banques mixtes de lépoque doivent alors renoncer à leur droit démission et à certaines activités descompte au profit de la nouvelle institution. La <span style="font-style:italic">Banque nationale</span> est instituée par la loi du 5 mai 1850. Cinq jours plus tard, elle se voit octroyer la fonction de caissier de lÉtat. Mais la Banque est également une société privée qui cherche à rendre ses activités commerciales rentables.</p>
<p> En 1900, la <span style="font-style:italic">Banque nationale</span> devient la <span style="font-style:italic">Banque nationale de Belgique</span> (BNB). Cette modification de dénomination répond au souci dune meilleure identification de la Banque à létranger, dautant que la Banque de Belgique, dont la dénomination pouvait porter à confusion, avait disparu à lépoque.</p>
<p> En 1926, le gouvernement est majoritairement composé de banquiers privés. Émile Francqui, alors ministre des Finances, décide de limiter les fonctions commerciales de la Banque. Durant les années 1930, la crise économique met en exergue limportance du secteur bancaire pour la société. Une réforme du système simpose. En 1935, La <span style="font-style:italic">Commission bancaire</span> (CB)* est mise en place afin dassurer un contrôle du secteur par les pouvoirs publics. Cest également cette année-là que la BNB est chargée de la gestion du Fonds dégalisation des changes <span style="font-size:small"> (Le Fonds dégalisation des changes est chargé de la vente et de lachat dor monnayé ou de lingots et de la vente et de lachat de devises étrangères. Il sera supprimé par lA.R. du 31 mars 1936.) </span>
(A.R. du 03.04.1935) et que l<span style="font-style:italic">Institut de réescompte et de garantie</span>* est institué. </p>
<p> En 1937, sous linfluence de Henri de Man, le caractère public de linstitution est renforcé. Larrêté royal du 23 mars 1937 réorganise en profondeur les compétences de certains organes de la BNB. Ainsi, les attributions du commissaire du gouvernement sont élargies, tandis que les conditions pour devenir régent ou censeur, sont notablement durcies. La Banque est également habilitée à réaliser des opérations « dopen market » . <span style="font-size:small"> (Pratique par laquelle la banque démission achète ou vend des valeurs dÉtat dans le but daugmenter le volume de la circulation et du crédit ou, inversement, de le diminuer. </span></p>
<p> Durant la seconde Guerre mondiale, la BNB partage ses prérogatives avec la <span style="font-style:italic">Banque démission</span>*. À la Libération, deux grands problèmes se posent aux autorités monétaires: le rétablissement de la Banque dans son privilège démission et lassainissement monétaire. Un Fonds spécial dun milliard de francs est également institué à la BNB afin de liquider certaines dépenses dues à la Libération.</p>
<p> Au lendemain de la guerre, lémergence dune économie mixte se traduit par une intervention plus directe des pouvoirs publics dans la vie socio-économique. Portés par cet engagement, certains hommes politiques revendiquent la nationalisation de la Banque, comme ce fut le cas en Grande Bretagne et en France. La BNB ne sera cependant pas nationalisée, mais son caractère public est renforcé en 1948 lorsque lÉtat fait lacquisition de 50 % des actions de linstitution. La composition du conseil de régence est dailleurs modifiée afin de mieux refléter lensemble des intérêts de la société belge (présence de représentants du monde syndical, industriel, commercial et agricole, limitant ainsi linfluence des financiers dans les organes de la BNB). De plus, linfluence des pouvoirs publics et de la société civile sur léconomie belge élargit le champ daction de linstitution. Ses activités ne se limitent plus au domaine monétaire et elle fournit ses services dans de nombreux dossiers économiques et financiers. La Banque intervint en tant que conseiller, technicien et médiateur dans de nombreuses problématiques, dont certaines étaient fort éloignées de son principal domaine de compétence.</p>
<p> En 1973, une loi modernise les bases juridiques de la politique monétaire afin que la BNB puisse mener avec plus defficacité laction qui lui est confiée. En effet, suite à linternationalisation du marché des capitaux et de leur déplacement entre pays, les moyens dactions de la Banque sur la politique monétaire ont perdu de leur influence. Cette loi établit également plus de rigueur dans la répartition des responsabilités entre les pouvoirs politiques, la BNB et les autorités de contrôle et de tutelle.</p>
<p> Depuis ces dernières années, lunification monétaire européenne influence considérablement les activités de la Banque. Ainsi, au cours des années 1990, les statuts de la BNB sont mis en conformité avec le traité de Maastricht. Une plus grande autonomie est accordée à linstitution dans la conduite de la politique monétaire. En 1998, les statuts sont modifiés une nouvelle fois en prévision de lunion monétaire. Lautonomie de la Banque est une nouvelle fois renforcée et son organisation modifiée.</p>
<p> Au 1er janvier 1999, la Banque reprend les activités de l<span style="font-style:italic">Institut descompte et de garantie </span>dans le domaine du traitement des effets de commerce. De même, lintroduction de leuro entraîne la fin de lassociation monétaire belgo-luxembourgeoise. Par conséquent, à la fin 2001, l<span style="font-style:italic">Institut belgo-luxembourgeois du change </span>(IBLC)* est supprimé et la partie de ses activités qui relevait de la Belgique transférée à la Banque.
Statut:
La BNB est une société déconomie mixte constituée sous la forme dune société anonyme à capital privé. Dun point de vue fonctionnel, la Banque assure la gestion dun véritable service public. Elle est créée à linitiative de lÉtat et la loi fixe directement et unilatéralement ses règles dorganisation et de fonctionnement. La tutelle est exercée par le ministre des Finances.
Dès sa création, la BNB assume les fonctions de caissier de lÉtat, cest-à-dire quelle se voit confier une partie importante des recettes et paiements de lÉtat ainsi que le placement de ses disponibilités. Dans un même ordre didées, la BNB est caissier des provinces mais aussi des établissements publics de crédit. Cest en effet larrêté royal du 23 juillet 1937 qui autorise la Banque à prendre en charge le service des institutions financières créées par la loi (à lexception de la CGER) et placées sous la garantie et le contrôle de lÉtat. Une autre fonction assurée par la BNB dès ses origines est le privilège démission. Bien que la nature de ce privilège soit discutée jusque dans lentre-deux-guerres, larrêté royal du 23 juillet 1937 en fait un véritable monopole légal. La BNB est également chargée de la réglementation et du contrôle du crédit, prêteur en dernier ressort du système bancaire et autorité monétaire et intermédiaire pour les relations financières internationales. Enfin, depuis larrêté-loi du 18 mai 1945, la BNB est chargée de ladministration journalière du <span style="font-style:italic">Fonds des rentes</span>* et depuis 1998 de la gestion courante du <span style="font-style:italic">Fonds de protection des instruments financiers</span> (FIF)*.</p>
<p> Depuis 1850, le centre de gravité de lorganisation sest déplacé: ce qui était à lorigine un institut démission et descompte aux activités relativement simples est devenu une institution monétaire remplissant des missions complexes. Les activités de la Banque changent en effet en fonction de lévolution des systèmes monétaires et financiers et de nouvelles conceptions du rôle des pouvoirs publics dans léconomie. Ainsi, les activités commerciales de la Banque se sont sensiblement réduites depuis 1926 et ont progressivement été supprimées entre 1971 et 1975 .<span style="font-size:small">
(Il sagit principalement des activités descompte. En effet, à ses origines, la BNB doit assurer principalement lescompte direct, qui nest quinsuffisamment pratiqué par les banques existantes. Vers la fin du XIXème siècle, elle devient pratiquement une banque de réescompte. En 1926, les fonctions commerciales de la BNB sont limitées, en particulier loctroi direct de crédits descompte aux entreprises, la confinant dans un rôle purement monétaire.) </span> Lunification monétaire européenne est à lorigine des derniers changements. Ainsi lintégration de la Banque nationale dans le SEBC, cest-à-dire le système européen des banques centrales , <span style="font-size:small">
(Les objectifs du SEBC sont, dune part, la stabilité des prix et, dautre part, le soutien aux politiques économiques générales dans la Communauté européenne.) </span>
entraîna une modification de ses statuts et de sa loi organique. Désormais, une distinction est établie entre les missions de la BNB relevant ou non du SEBC. Les missions relevant du SEBC sont:
-. la définition et la mise en uvre de la politique monétaire européenne;
-. la conduite des opérations de change;
-. la détention et la gestion des réserves officielles de change des États membres de lUnion;
-. la promotion du bon fonctionnement des systèmes de compensation et de paiement
Afin de réaliser ces missions, la BNB peut:
-. intervenir sur le marché des capitaux, soit en achetant et en vendant ferme, soit en prenant et en mettant en pension, soit en prêtant ou en empruntant des créances et des titres négociables ainsi que des métaux précieux;
-. effectuer des opérations de crédit avec des établissements de crédit et dautres intervenants des marchés monétaires ou des capitaux;
-. émettre ou racheter ses propres titres demprunts;
-. prendre en dépôt des titres et des métaux précieux;
-. effectuer des opérations sur des instruments sur taux dintérêt, sur des monnaies étrangères, sur or ou sur dautres métaux précieux;
-. etc
</p>
<p> En outre, la BNB est habilitée à émettre des billets en euro et exécute les accords de coopération monétaire internationale liant la Belgique.</p>
<p> Au cours des 3 dernières décennies du XXème siècle, la BNB a reçu une série de missions qui se situent en dehors du champ dactivités traditionnel des banques centrales et ne ressortent donc pas au SEBC. Il sagit essentiellement de la collecte, lanalyse et la diffusion dinformations et de statistiques. Les missions confiées à la Banque nationale sont ainsi devenues plus nombreuses et plus diversifiées que celles de la plupart des autres banques centrales de leurosystème. La banque rassemble par ailleurs des données relatives aux crédits octroyés en Belgique (création de la Centrale des crédits aux entreprises en 1967 et de la Centrale des crédits à la consommation en 1985). Enfin, depuis 1972, elle joue un rôle de mécène vis-à-vis des artistes belges contemporains.
Textes légaux de base: <span style="font-size:small"> (Vu leur nombre, il sagit des principaux dentre eux.) </span>
L. du 05.05.1850 qui institue une <span style="font-style:italic">Banque nationale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 16.05.1850); L. du 10.05.1850 attribuant la fonction de caissier de lÉtat à la <span style="font-style:italic">Banque nationale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 18.05.1850); A. R. du 04.09.1850 qui approuve les statuts de la <span style="font-style:italic">Banque nationale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.09.1850); A. R. du 07.08.1900 approuvant le texte des lois combinées des 10 mai 1850, 20 mai 1872 et 26 mars 1900 réglant le service du caissier de lÉtat (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 18.08.1900); A. R. du 03.04.1935 créant un Fonds dégalisation des changes (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.04.1935); A. R. du 09.07.1935 sur le contrôle des banques et le régime des émissions de titres et de valeurs (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 10.07.1935); A. R. du 23.07.1937 relatif à la coordination de lactivité, de lorganisation et des attributions de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 26.07.1937); A. R. du 24.08.1939 relatif à lactivité, à lorganisation et aux attributions de la BNB pris en exécution de la loi du 1er mai 1939 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 26.08.1939); A.-L. du 05.09.1944 abrogeant larrêté-loi du 27 novembre 1941 et modifiant larrêté royal du 24 août 1939 relatif à lactivité, lorganisation et les attributions de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 21.09.1944); A.-L. du 06.10.1944 relatif aux billets de la BNB et aux dépôts dargent en monnaie nationale (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.10.1944); A.-L. du 18.10.1944 modifiant larrêté du 24 août 1939 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.10.1944); L. du 16.06.1947 portant confirmation des arrêtés royaux pris en vertu de la loi du 1er mai 1939 (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 14.08.1947); L. du 28.07.1948 modifiant la loi organique de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.07.1948); A. Rég. du 13.09.1948 approuvant les nouveaux statuts de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.09.1948); L. du 12.04.1957 relative au statut monétaire (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 18.04.1957); L. du 19.06.1959 relative au statut de la BNB et du <span style="font-style:italic">Fonds des rentes</span>, ainsi quà la participation belge au Fonds monétaire international et à la Banque internationale de reconstruction et de développement économique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.06.1959); A. R. du 04.10.1967 modifiant larrêté royal du 24 août 1939 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 27.10.1967); L. du 28.12.1973 relative aux propositions budgétaires 1973-1974 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.12.1973); L. du 22.02.1998 fixant le statut organique de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.03.1998); L. du 30.06.1975 relative au statut des banques, des caisses dépargne privées et de certains autres intermédiaires financiers (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 02.08.1975); L. du 22.12.1988 portant des dispositions relatives au statut monétaire, à la BNB, à la politique monétaire et au Fonds monétaire (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.12.1988); L. du 02.01.1991 relative au marché des titres de la dette publique et aux instruments de la politique monétaire (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 25.01.1991); L. du 23.03.1993 relative au statut et au contrôle des établissements de crédit (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.04.1993); A. R. du 10.01.1999 approuvant la modification des statuts de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 29.01.1999) ; <span style="font-size:small"> (Larrêté royal du 10.01.1999 sera modifié par lA. R. du 09.03.1999 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.04.1999), lA. R. du 21.02.2002 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.05.2002), lA. R. du 12.12.2002 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 08.01.2003) et par lA. R. du 19.12.2007 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.12.2007).) </span>A. M. du 06.06.2002 portant approbation des règlements de la BNB (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 04.09.2002); A. R. du 07.12.2007 adaptant la législation fiscale et la loi du 22 février 1998 fixant le statut organique de la BNB aux dispositions de la loi du 14 décembre 2005 portant suppression des titres aux porteurs (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.12.2007).
Depuis sa première année dactivité, la BNB publie un <span style="font-style:italic">Rapport annuel</span>.
Le personnel a également sa revue: <span style="font-style:italic">Revue du personnel</span>, 1945-1997. En 1998, elle est remplacée par <span style="font-style:italic">Connect</span>, 1998- , et est scindée en une édition française et une édition néerlandaise en 2003
</p>
<p> -. La Banque est également lauteur douvrages statistiques:
<span style="font-style:italic">Bulletin dinformation et de documentation</span>, 1926-1970. Sera remplacé par le mensuel <span style="font-style:italic">Bulletin de la Banque nationale de Belgique</span>, 1971-1995 et ensuite par le <span style="font-style:italic">Bulletin statistique</span>, 1996- (trimestriel)
<span style="font-style:italic">Statistiques économiques belges</span>, 1960- (paraît tous les 10 ans)
<span style="font-style:italic">Comptes régionaux, </span>1995-
<span style="font-style:italic">
</span>Etc
.</p>
<p> -. La BNB publie des ouvrages de nature économique et financière:
<span style="font-style:italic">Revue économique de la Banque nationale de Belgique</span>, 1995-
Des ouvrages de types « Workin papers », 2000- , qui paraissent à une fréquence variable
<span style="font-style:italic">Belgian prime news</span>, 1997- , publiée trimestriellement en collaboration avec le SPF Finances
<span style="font-style:italic">Financial Stability review</span>, 2002-
</p>
<p> -. Ainsi que des ouvrages historiques et des catalogues dexposition:
<span style="font-style:italic">La Banque nationale: 150 ans dans le rétroviseur</span>, Bruxelles, 2000; <span style="font-style:italic">Cent vingt-cinquième anniversaire de la Banque nationale de Belgique: discours prononcés à la séance académique du 10 décembre 1975</span>, Bruxelles, 1975; VAN DER WEE H., TAVERNIER K., <span style="font-style:italic">La Banque nationale de Belgique et l'histoire monétaire entre les deux guerres mondiales</span>, Bruxelles, 1975; <span style="font-style:italic">Notices biographiques de la Banque nationale de Belgique 1850-1960</span>, 1960; ainsi quun ouvrage en 4 volumes relatif à la période 1940-1971 publiés en 2005 (vol I: VAN DER WEE H. ET VERBREYT M., <span style="font-style:italic">Guerre et politique monétaire: la Banque nationale de Belgique, la Banque d'émission à Bruxelles et le gouvernement belge de 1939 à 1945</span>; vol II: BRION R. ET MOREAU J.-L., <span style="font-style:italic">La politique monétaire belge dans une Europe en reconstruction (1944-1958)</span>, vol III: PLUYM W. ET BOEHME O., <span style="font-style:italic">Des golden sixties à la chute de Bretton Woods (1959-1971)</span>, vol IV: CASSIERS I. ET LEDENT P., <span style="font-style:italic">Politique monétaire et croissance économique en Belgique à l'ère de Bretton Woods (1944-1971)</span>), etc
</p>
<p> -. Et des brochures:
<span style="font-style:italic">Musée de la Banque nationale de Belgique</span>, <span style="font-style:italic">La Banque nationale de Belgique, une banque centrale moderne au service de la société</span>, <span style="font-style:italic">Qui sommes nous ?</span>, etc.
Orientation bibliographique:
LE BRUN J., <span style="font-style:italic">Dictionnaire des services publics</span>, n° 7; VAN DEN EECKHOUT P. ET VANTHEMSCHE G., <span style="font-style:italic">Bronnen voor de studie van het hedendaagse België 19de-20ste eeuw</span>, Bruxelles, 1999, pp. 591-594; BUYST E., MAES I., PLUYM W., DANNEEL M., <span style="font-style:italic">La Banque nationale de Belgique, du franc belge à leuro. Un siècle et demi dhistoire</span>, Bruxelles, 2005; KURGAN-VAN HENTENRYK, G. The Banque Nationale de Belgique and the Belgian economy during the XXth century, in <span style="font-style:italic">The journal of European economic history</span>. Special issue:<span style="font-style:italic"> The financial systems in Europe in the XXth-century: factors of crisis, stability and growth</span>, 2001, pp. 45-85; BOURGEOIS P., <span style="font-style:italic">Le ministère des Finances. Étude de ladministration centrale et répertoire des services publics et commissions. Deuxième partie: 1946-1994</span>, AGR, Bruxelles, 1995, pp. 368-369 (Miscellanea archivistica. Studia 75); JANSSENS G., <span style="font-style:italic">Repertorium van nationale openbare instellingen opgericht tussen 1830 en 1914. Wetgeving en werking tot 1895</span>, AR, Brussel, 1987, pp. 179-215 (Miscellanea Archivistica XLII); INSTITUT BELGE DINFORMATION ET DE DOCUMENTATION, <span style="font-style:italic">Ce quil faut savoir de la Banque nationale de Belgique</span>, Bruxelles, 1975; BUTTGENBACH A., <span style="font-style:italic">Manuel de droit administratif</span>, Bruxelles, 1959, pp. 222-224; KAUCH P., « Histoire de la Banque nationale », dans <span style="font-style:italic">Histoire des finances publiques en Belgique</span>, Bruxelles, 1955, pp. 41-65; KAUCH P., <span style="font-style:italic">La Banque nationale de 1850 à 1918</span>, Bruxelles, 1950; BAUDHUIN F., <span style="font-style:italic">Code économique et financier. Introductions économiques et textes annotés de la législation belge</span>, Bruxelles, 1942, pp. 118-170; BUTTGENBACH A., <span style="font-style:italic">Les modes de gestion des services publics en Belgique</span>, Bruxelles, 1942, pp. 211 et 406-419; DE STRYCKER C., <span style="font-style:italic">Les fonctions et les opérations de la Banque nationale de Belgique de 1914 à 1938</span>, Bruxelles, 1939.
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