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Les dépots d'archives
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Type de producteur d'archives : Entreprise/Organisation
Rubriek : Institutions d'intérêt public
Source : Parastatalen
Période : 1927-
Chaque établissement scientifique dispose dune commission administrative chargée dadministrer son patrimoine. Cette commission est instituée par la loi du 27 juin 1930 qui sera abrogée par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains Établissements scientifiques de lÉtat.</p>
<p> Chacune des commissions est composée dun délégué du ministre de tutelle, du chef détablissement et de personnalités issues des domaines de compétences des Établissements. Ces membres sont nommés par le roi, sur proposition du ministre de tutelle, pour un mandat de 3 ans. La commission est présidée par le chef détablissement.
Par la loi du 2 juillet 1927, les <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de lÉtat</span> reçoivent la personnalité juridique. Quelques années plus tard, larticle 1er de la loi du 27 juin 1930 accorde la personnalité civile aux Établissements scientifiques et artistiques dépendant du ministère des Sciences et des Arts. Les modalités dapplication de cette loi sont réglées par larrêté royal du 24 juin 1931. Sont alors concernés: les<span style="font-style:italic"> Archives du royaume, </span>la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique, </span>le<span style="font-style:italic"> Musée royal dhistoire naturelle, </span>l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique,</span> l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique, </span>les<span style="font-style:italic"> Musées royaux dart et dhistoire </span>et les<span style="font-style:italic"> Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span>. Les autres Établissements scientifiques acquièrent la personnalité juridique ultérieurement.</p>
<p> En 1965, une série darrêtés royaux organisent les Établissements scientifiques de lÉtat. Celui du 20 avril stipule, entre autres, quils sont créés et contrôlés par le pouvoir exécutif qui leur attribue une mission dintérêt général. Trois autres arrêtés pris le 21 avril fixent la liste et le niveau des établissements scientifiques relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture, de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture et du ministère de lAgriculture.</p>
<p> Au début des années 1980, les Établissements scientifiques relevant de lautorité conjointe des 2 ministres de lÉducation nationale sont réorganisés . <span style="font-size:small"> (À lorigine, ces Établissements ont été placés sous une double tutelle: les uns dépendaient des deux ministres de lÉducation nationale, tandis que les autres dépendaient des ministres de la Culture française ou néerlandaise. Les uns étaient donc gérés par lAdministration de la Recherche scientifique, tandis que les autres par lAdministration de la Culture française ou néerlandaise. Suite à la communautarisation des matières culturelles, ces Établissements sont gérés et placés sous la tutelle des deux ministres de lÉducation nationale. Cependant, les Établissements placés uniquement sous la tutelle de lAdministration de la Culture française ou de lAdministration de la Culture néerlandaise seront communautarisés suite à la loi spéciale de réformes institutionnelles du 8 août 1980 (cfr. Les <span style="font-style:italic">Domaines de Gaesbeek et de Mariemont</span> ou le <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span>). </span>
Le 24 juillet 1981 avait en effet été nommé un commissaire royal à la restructuration des Établissements scientifiques nationaux chargé de faire un rapport et de proposer au gouvernement des mesures concrètes de restructuration. Sur base des travaux du commissaire, il est apparu que ces Établissements scientifiques étaient confrontés à des difficultés de 2 types. Il sagit dune part de problèmes administratifs, et dautre part, de problèmes dordre interne nés de labsence de directives permettant de coordonner le travail entre les établissements et entre ces derniers et les autres institutions de recherche du pays. Partant de ce constat, le gouvernement décide, par larrêté royal de pouvoirs spéciaux du 31 décembre 1983 de regrouper les<span style="font-style:italic"> Archives de lÉtat, </span>la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique, </span>le<span style="font-style:italic"> Musée royal dhistoire naturelle, </span>l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique,</span> l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique, </span>les<span style="font-style:italic"> Musées royaux dart et dhistoire</span>, les<span style="font-style:italic"> Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span>, l<span style="font-style:italic">Institut daéronomie spatiale de Belgique</span>, le <span style="font-style:italic">Musée royal de lAfrique centrale</span> et l<span style="font-style:italic">Institut royal du patrimoine archéologique</span> en quatre entités (Documentation, Espace, Nature et Musées) afin de fusionner les patrimoines dans un esprit de rationalisation. Cet arrêté royal supprime également la personnalité juridique de ces établissements et les quatre entités reçoivent la personnalité juridique pour la gestion des patrimoines fusionnés.</p>
<p> Par larrêté royal du 31 décembre 1986, ces 10 Établissements scientifiques relevant de la tutelle conjointe des deux ministres de lÉducation nationale sont transformés en service de lÉtat à gestion séparée (SEGS), et ce toujours dans un but de rationalisation des dépenses publiques et damélioration de leur fonctionnement. Ces Établissements sont désormais regroupés en 5 entités (Documentation, Espace, Nature, Musées et Patrimoine) et dépourvus de toute personnalité juridique. Leur fonctionnement est organisé par larrêté royal du 31 mars 1987. Par la suite, ces établissements seront placés sous la tutelle du ministre fédéral en charge de la Politique scientifique.</p>
<p> Quant aux autres Établissements scientifiques, certains restent sous la tutelle fédérale, tandis que dautres sont communautarisés ou régionalisés, cest notamment le cas de certains Établissements dépendant du ministère de lAgriculture. </p>
<p> Passons maintenant à lhistorique de chacun de ces Établissements:</p>
<p> -.Les <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume et Archives de lÉtat</span> <span style="font-style:italic">dans les provinces </span>(<span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span>-AE) / <span style="font-style:italic">Algemeen Rijksarchief en Rijksarchief in de provinciën </span>(<span style="font-style:italic">Rijksarchief</span>-RA)
Loccupation française sera loccasion de concentrer dans les dépôts publics un nombre important de documents provenant des anciennes administrations centrales, provinciales, locales, ainsi que des organismes ou particuliers dont lÉtat avait décidé la suppression ou confisqué les biens. Ces mesures sont promulguées par les lois du 7 messidor an II (25 juin 1794) et du 5 brumaire an V (26 octobre 1796). Cette législation fixera dailleurs la structure des Archives de lÉtat jusquen 1960. En 1815, après la chute de lEmpire français, 2 dépôts darchives sont créés dans le Royaume des Pays-Bas, lun à La Haye, lautre à Bruxelles. Lindépendance de la Belgique marque le développement des Archives du Royaume à Bruxelles qui sont organisées par larrêté royal du 24 mai 1832. Au cours du XIXème siècle également, des services darchives de lÉtat sont créés dans les chefs-lieux de province où il nen existe pas encore. Ces dépôts provinciaux sont placés sous la direction de larchiviste général du Royaume en 1851. Par la loi du 27 juin 1930, les <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span> reçoivent la personnalité juridique. Par la loi du 24 juin 1955 relative aux archives, les <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span> sont chargées du contrôle de la conservation du patrimoine archivistique des administrations belges, de la conservation dune partie de ce patrimoine et de la communication de ces documents au public. En 1965, les AE deviennent un établissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Deux ans plus tard, un Centre de recherches et détudes historiques de la seconde guerre mondiale est créé auprès des <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span>. Ce centre est une institution autonome dotée de son propre conseil scientifique. En 1997, il change de dénomination en Centre détudes et de documentation guerre et société contemporaine (CEGES). Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, les <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span> perdent leur personnalité juridique. Elles font désormais partie, avec la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique</span>, du « Groupement scientifique de la Documentation » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, les AE sont transformées en service de lÉtat à gestion séparée. Il existe actuellement, outre les <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume</span> à Bruxelles, 19 dépôts répartis dans le pays.</p>
<p> -. La <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique</span> (KBR) / <span style="font-style:italic">Koninklijke Bibliotheek van België</span> (KBR)
Les origines de la Bibliothèque royale remontent au XVème siècle lorsque les Ducs de Bourgogne rassemblent une collection de manuscrits enluminés. En avril 1559, Philippe II, avant son départ définitif pour lEspagne, ordonne que soient réunis, au palais du Coudenberg, les livres et les manuscrits conservés dans les diverses résidences princières. La collection prend le titre de « Bibliothèque royale ». Le 26 juin 1772, lImpératrice Marie-Thérèse signe un décret transformant en bibliothèque publique la « Bibliothèque royale aux Pays-Bas ». Sous loccupation française, de nombreux ouvrages sont emportés à Paris et la Bibliothèque est rattachée à l'École centrale du département de la Dyle. Cependant, les Écoles centrales sont supprimées en 1802 et les bibliothèques transférées aux villes. Cest ainsi quen 1803, la ville de Bruxelles devient propriétaire de la « Bibliothèque royale ». En 1815, 1.550 manuscrits sont ramenés de Paris. Ils constituent la « Bibliothèque de Bourgogne », propriété de lÉtat en dépôt à la Bibliothèque de la Ville de Bruxelles. Le 19 juin 1837, à l'occasion de l'achat par l'État belge de 70.000 volumes appartenant au bibliophile gantois Charles Van Hulthem, le gouvernement crée la Bibliothèque royale de Belgique. Un an plus tard, la Bibliothèque de Bourgogne devient la deuxième section de la KBR et en 1839, elle ouvre ses portes au public. Les collections augmentent avec le cabinet des médailles de lÉtat, et en 1843 lÉtat rachète les collections de la Ville, y compris des estampes, médailles et cartes pour les intégrer à la Bibliothèque. En 1930, la Bibliothèque reçoit la personnalité civile. Dans une lettre datant du 24 mai 1934, le roi Léopold III fait part de son désir de voir affectées les sommes destinées à ériger des monuments à la mémoire du roi Albert à la construction dune bibliothèque. À la même époque, la nécessité dune nouvelle bibliothèque nationale se fait ressentir. Les locaux qui abritent la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span> sont devenus trop exigus et le besoin est grand dun bâtiment construit de façon rationnelle et utilisant les dernières techniques. Cette mission est confiée par la loi du 7 mars 1935 au <span style="font-style:italic">Fonds bibliothèque Albert Ier</span>*. La première pierre du nouvel édifice est posée en 1954 et le bâtiment inauguré en février 1969. En 1965, la Bibliothèque devient un établissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Cest également en 1965 que le dépôt légal est organisé. Désormais, un exemplaire de toutes publications éditées en Belgique et des publications éditées à l'étranger dont l'auteur ou un des auteurs est belge et est domicilié en Belgique devra être déposé à la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span>. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, la Bibliothèque perd sa personnalité juridique. Elle fait désormais partie, avec les <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span>, du « Groupement scientifique de la Documentation » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, la Bibliothèque est transformée en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 19 juin 1837 portant règlement organique de la Bibliothèque fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Centre détudes et de recherches vétérinaire et agrochimique</span> (CERVA) / <span style="font-style:italic">Centrum voor Onderzoek in Diergeneeskunde en Agrochemie </span>(CODA)
Larrêté royal du 20 juin 1997 crée le CERVA en tant quétablissement scientifique de lÉtat doté de la personnalité civile. Ce nouveau Centre reprend les droits, biens, obligations et personnels de l<span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques </span>et de l<span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires</span>. Le CERVA relève du ministère des Classes moyennes et de lAgriculture, puis du ministre qui a la Santé publique dans ses attributions.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek </span>/ <span style="font-style:italic">Domein van Gaasbeek
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Lors de la mort de son mari, le marquis Giammartino Arconti Visconti, en 1875, la marquise Arconti Visconti, hérite dune importante fortune. Le domaine de Gaesbeek fait partie de la succession et la marquise, grand mécène, y accorde beaucoup dattention. Quelques années plus tard, la marquise envisage de léguer le château à la Ville de Bruxelles. Le bourgmestre, décline toutefois loffre redoutant les nombreux frais quentraîneraient lentretien et la surveillance du château. La marquise se tourne alors vers lÉtat belge mais les premières négociations pour la donation échouent. Après la Première Guerre mondiale, la marquise propose à nouveau au gouvernement belge de céder le château à lÉtat. Suite aux tergiversations du gouvernement, le dossier sera débloqué par lintervention du Roi Albert Ier et cest en août 1922 que lacte de donation sera finalement signé. La marquise décède moins dune année plus tard, le 3 mai 1923, et le château devenu musée ouvre ses portes au public en 1924. En vertu de la loi du 27 juin 1930 qui accorde la personnalité juridique aux Établissements scientifiques dépendant du ministère des Arts et des Sciences, le Domaine de Gaesbeek acquiert la personnalité civile par larrêté royal du 22 septembre 1931. LÉtat belge cède la propriété du <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek</span> à la Communauté flamande en 1991. Cette décision intervient conformément aux réformes institutionnelles et notamment à la communautarisation des matières culturelles. LÉtablissement est transformé en service à gestion séparée par le décret du gouvernement flamand du 25 juin 1992; sous la dénomination Beheersdienst van het Kasteel-Domein van Gaasbeek. Au début des années 2000, ladministration flamande connaît une large réorganisation destinée à améliorer la politique de gestion administrative (Beter Bestuur Beleid). Dans ce cadre, une agence autonomisée interne sans personnalité juridique dénommée Kunsten en Erfgoed est mise sur pied par larrêté du 11 juin 2004. Cette agence est entre autres chargée de la gestion administrative du Domaine de Gaesbeek. Cette nouvelle politique administrative prévoit également la disparition des services à gestion séparée. Pour linstant, aucun arrêté na été pris pour modifier le statut du Domaine.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont </span>/ <span style="font-style:italic">Domein van Mariemont
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Lhistoire du <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont </span>rejoint celle de lÉtat belge en 1917 lorsque Raoul Warocqué lègue son patrimoine au gouvernement belge. Raoul Warocqué est un homme politique, un homme daffaires et surtout un grand collectionneur dobjets dart, duvres littéraires et de documents darchives. À sa mort, il lègue à lÉtat le château et son parc ainsi que lentièreté de sa collection à condition que les autorités publiques les mettent en valeur et désignent ses biens sous la dénomination: « Domaine de Mariemont<span style="font-style:italic"> </span>». Les legs faits à lÉtat nayant été arrêtés quaprès la Première Guerre mondiale, cest en 1922 que les portes du château, devenu musée, souvrent au grand public comme le souhaitait Raoul Warocqué. Depuis larrêté royal du 22 septembre 1931, le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> jouit de la personnalité civile et ce en vertu de la loi du 27 juin 1930 qui accorde la personnalité juridique aux établissements scientifiques dépendant du ministère des Arts et des Sciences. En avril 1965, le domaine est reconnu en tant quétablissement scientifique de 3ème niveau dépendant du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. En décembre de la même année, le château est incendié mais une grande partie des collections a pu être sauvée. Les travaux de construction du nouveau bâtiment débutent en 1967 pour sachever en 1975. Depuis 1974, le musée est dénommé Musée « royal » de Mariemont. Le Musée a été transféré à la Communauté française en 1981, en application de la réforme de l'État de 1980 concernant le transfert de certaines compétences du fédéral aux Communautés et Régions. Le Musée est par ailleurs le seul Établissement scientifique de la Communauté française. Il relève de la Direction générale de la Culture du ministère de la Communauté française. Il est transformé en service à gestion séparée par le décret du 12 juin 2003. Quant à la propriété du Domaine, elle est transférée par lÉtat à la Communauté française en 1991.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut daéronomie spatiale de Belgique </span>(IASB) / <span style="font-style:italic">Belgisch Instituut voor Ruimte-Aeronomie </span>(BIRA)
Par larrêté royal du 25 novembre 1964, le Service daéronomie spatiale de l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique </span>(IRM) devient un établissement scientifique autonome placé sous la tutelle du Ministre de lÉducation nationale et de la Culture. La nouvelle institution porte le nom dInstitut daéronomie spatiale de Belgique. La constitution dun tel établissement est à replacer dans le cadre de la conquête spatiale et lenvoi, devenu désormais régulier, de fusées dans lespace. Laéronomie spatiale est en pleine expansion si bien quil est décidé de lui consacrer un établissement scientifique chargé de recherches en ce domaine. Le 31 août de lannée suivante, lIASB acquiert la personnalité juridique. Cette disposition est abrogée par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat. LIASB fait désormais partie, avec lIRM et l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique</span>, du « Groupement scientifique de lEspace » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, lIASB est transformé en service de lÉtat à gestion séparée.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut économique agricole </span>/ <span style="font-style:italic">Landbouweconomisch Instituut
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Par larrêté royal du 20 juin 1960 est institué, au sein de lAdministration des services économiques du ministère de lAgriculture, un Institut économique agricole. Le 30 avril 1970, lInstitut devient un établissement scientifique de 1er niveau dépendant du ministère de lAgriculture. Il faut cependant attendre le 12 janvier 1984 pour que lInstitut reçoive la personnalité juridique. En 1996, l<span style="font-style:italic">Institut économique agricole</span> devient le <span style="font-style:italic">Centre déconomie agricole</span> (CEA). Par la loi du 2 août 2002 modifiant la loi relative à la suppression ou à la restructuration dorganismes dintérêt public et dautres services de lÉtat, les patrimoines institués auprès des <span style="font-style:italic">Centres de Recherches agronomiques de lÉtat</span> et du CEA<span style="font-style:italic"> </span>sont supprimés. Cette loi sinscrit dans le cadre de la finalisation du transfert de certaines compétences aux Communautés et aux Régions. Les membres du personnel, biens, droits et obligations sont alors transférés à la Région wallonne et à la Région flamande dans la proportion des crédits affectés au Centre. Ce transfert est rendu effectif par larrêté royal du 18 février 2003. La Région flamande, afin de garantir la continuité du fonctionnement du <span style="font-style:italic">Centre déconomie agricole</span> suite à son transfert, décide de créer auprès de son successeur, un patrimoine jouissant de la personnalité civile pour gérer ses biens. Le décret du 5 juillet 2002 institue l<span style="font-style:italic">Eigen vermogen van het Centrum voor Landbouweconomie</span> (EV CLE)* qui reprend les compétences, le personnel, les biens, les droits et les obligations du patrimoine constitué en personnalité civile du CEA. Aucune institution de ce type ne sera créée du côté wallon.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires </span>/ <span style="font-style:italic">Nationaal Instituut voor Diergeneeskundig Onderzoek
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Un arrêté du Secrétaire général de lAgriculture et du ravitaillement pris le 24 avril 1944 institue un Laboratoire de diagnostic et de recherches vétérinaires de lÉtat. À la Libération, la plupart des articles de cet arrêté restent dapplication suite à un arrêté pris par le Régent en janvier 1947. Le 6 février 1957, la dénomination du laboratoire est modifiée en Institut national de recherches vétérinaires (A. R. du 06.02.1957 portant fixation du cadre organique du ministère de l'Agriculture). En avril 1965 lInstitut devient un Établissement scientifique de 1er niveau dépendant du ministère de lAgriculture et, le 15 juillet de la même année, il reçoit la personnalité juridique pour la gestion de son patrimoine en vertu de la loi du 27 juin 1930. En juin 1997, l<span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires</span> ainsi que l<span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques </span>sont supprimés. Leur personnel, biens, droits et obligations sont repris par le CERVA.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques </span>/ <span style="font-style:italic">Instituut voor Scheikundig Onderzoek
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Un arrêté royal pris le 10 avril 1928 organise le laboratoire de recherches chimiques et onialogiques du Congo belge, situé à Tervuren. Institué en 1911, ce laboratoire fait partie, jusquen 1928, de la section des sciences économiques du Musée du Congo belge, futur Musée royal de lAfrique centrale. Il est chargé de lexamen de toutes les questions dordre chimique que comporte linventaire scientifique complet des productions naturelles du Congo belge. Par larrêté du Régent en date du 21 décembre 1946, le Laboratoire prend le nom dInstitut de recherche chimique. En 1961, lInstitut, qui était placé sous la tutelle du ministre des Affaires africaines, passe sous celle du ministre de lAgriculture et devient un établissement scientifique de 1er niveau (A.R. du 21 avril 1965). En 1984, le législateur décide doctroyer à lInstitut la personnalité juridique pour la gestion de son patrimoine, et ce en vertu de la loi du 27 juin 1930. En juin 1997, l<span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques </span>est supprimé, ainsi que l<span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires</span>. Leur personnel, biens, droits et obligations sont repris par le CERVA.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal de sciences naturelles de Belgique </span>(IRSNB) / <span style="font-style:italic">Koninklijk Belgisch Instituut voor Natuurwetenschappen</span> (KBIN)
En 1811, la Ville de Bruxelles fait lacquisition dun cabinet de physique et dhistoire naturelle constitué à lorigine par Charles de Lorraine. Ce cabinet souvre au public en 1814 et en 1840, la Ville de Bruxelles propose à lÉtat belge dacquérir ses collections scientifiques. La cession a lieu en 1842 et quatre années plus tard, un arrêté royal en date du 31 mars, porte organisation du Musée royal dhistoire naturelle de Belgique (MRHNB). Le 10 juillet 1869, un autre arrêté fixe le règlement organique du Musée. En 1931, par exécution de la loi du 27 juin 1930, le Musée est doté de la personnalité civile. Depuis le début du XXème siècle, les directeurs du Musée se sont attelés à donner à linstitution un programme de muséographie dynamique et non plus statique, et ce afin de diffuser les sciences naturelles dans le grand public. Le caractère scientifique du Musée se renforce par laugmentation du nombre de sections scientifiques et de spécialistes. La récolte des collections nest plus due à des hasards, mais devient le fruit dun travail méthodique, patient et long. Lanimal ne sera plus étudié seulement pour lui-même, mais dans son environnement. Ces recherches ne se limitent plus aux frontières du pays, mais sétendent vers des horizons plus lointains, telles que lIndonésie ou lAfrique. Cette évolution rapide des activités justifie larrêté du régent du 3 septembre 1948 par lequel le <span style="font-style:italic">Musée royal des sciences naturelles de Belgique</span> devient l<span style="font-style:italic">Institut royal des sciences naturelles de Belgique</span>. Suite au transfert du <span style="font-style:italic">Musée royal de lAfrique centrale</span> (MRAC) au ministère de lÉducation nationale en 1962, les attributions de lIRSNB et du MRAC sont revues par larrêté royal du 24 août 1964. La paléontologie et lanthropologie physique sont transférées à lIRSNB, tandis que sont transférées au MRAC la minéralogie, la pétrographie, ainsi que la préhistoire des régions relevant de sa compétence. Cependant, seules les collections danthropologie physique seront en réalité transférées à lIRSNB. En 1965, lInstitut devient un établissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, lIRSNB perd sa personnalité juridique. LInstitut fait désormais partie, avec le MRAC, du « Groupement scientifique de la Nature » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, lIRSNB est transformé en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 10 juillet 1869 portant le règlement organique de lInstitut fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(IRM) / <span style="font-style:italic">Koninklijk Meteorologisch Instituut van België</span> (KMI)
En 1823, Adolphe Quetelet propose au ministre de lInstruction publique de créer un observatoire à Bruxelles. Cette proposition est acceptée par un arrêté du roi des Pays-Bas du 8 juin 1826 et les travaux de construction débutent en 1827. Cependant, ils ne pourront être achevés quen 1834, après la période troublée de la Révolution belge. Pendant la période initiale de son existence, lObservatoire ne consacre pas uniquement son activité aux observations astronomiques, mais aussi à la météorologie et à la physique du globe. Les observations climatologiques classiques commencent le 1er janvier 1833, les observations magnétiques en 1841 et les observations de lélectricité atmosphérique en 1844. La Belgique est donc lun des premiers pays où lon sest occupé officiellement de météorologie. Le premier bulletin météorologique parut dailleurs le 26 septembre 1876. En 1883, les travaux de construction dun nouvel observatoire sur les hauteurs dUccle commencent. LInstitution, de par le développement quelle connaît, se trouve en effet bien vite à létroit dans ses locaux de Saint-Josse-ten-Noode. Le transfert effectif des instruments de lObservatoire a lieu en 1890. Cest ce développement important mais aussi la cohabitation de 2 domaines de sciences fort distincts qui justifient larrêté royal du 31 juillet 1913 scindant lObservatoire en 2 établissements distincts: lObservatoire royal de Belgique et lInstitut royal météorologique de Belgique. En 1931, par exécution de la loi du 27 juin 1930, l<span style="font-style:italic">Institut royal de météorologie </span>est doté de la personnalité civile. Par larrêté royal du 25 novembre 1964, le Service daéronomie spatiale de lIRM devient un établissement scientifique autonome sous la dénomination dInstitut daéronomie spatiale de Belgique. En 1965, lIRM devient un établissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, lIRM perd sa personnalité juridique. LInstitut fait désormais partie, avec lORB et lIASB, du « Groupement scientifique de lEspace » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, lIRM est transformé en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 31 juillet 1913 portant le règlement organique de lIRM fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal du patrimoine artistique </span>(IRPA) / <span style="font-style:italic">Koninklijk Instituut voor het Kunstpatrimonium</span> (KIK)
En 1948, un arrêté du Régent fonde les Archives centrales iconographiques dart national et le Laboratoire central des musées de Belgique (ACL) afin de mettre en valeur, tant en Belgique quà létranger, le patrimoine artistique et archéologique national et de coordonner les efforts accomplis en ce domaine. Ces 2 nouveaux organismes remplacent en fait le Laboratoire physico-chimique et le Service de documentation belge, tous deux rattachés aux <span style="font-style:italic">Musées royaux dArt et dHistoire de Belgique</span> (MRAH) et dont lessor pris en quelques années dépasse désormais lactivité des Musées. Les Archives centrales iconographiques dart national et le Laboratoire central des musées de Belgique forment un établissement scientifique, subdivisé en 2 sections (le Laboratoire et les Archives), du ressort de lAdministration des Beaux-Arts et Lettres du ministère de lInstruction publique. En août 1957, ces deux sections fusionnent pour former lInstitut royal du patrimoine artistique qui acquiert la personnalité juridique par larrêté royal du 14 juin 1958. Par larrêté royal du 5 juillet 1963, le Service national des fouilles dépendant de lIRPA devient un établissement scientifique autonome ressortissant de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, lInstitut perd sa personnalité juridique. LIRPA fait désormais partie, avec les MRAH et les <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span> (MRBAB), du « Groupement scientifique des Musées » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, lIRPA est transformé en service de lÉtat à gestion séparée. En 1987, il fait partie du « Groupement Patrimoine » avec le Service national des fouilles. Enfin, précisons quen 2002, larrêté du régent de 1948 portant création des Archives centrales iconographiques dart national et du Laboratoire central des musées de Belgique fait lobjet dune refonte complète suite aux réformes institutionnelles en matière de conservation du patrimoine.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique </span>(JBNB) / <span style="font-style:italic">Nationale Plantentuin van België</span> (NPB)
Il faut attendre la Révolution française pour voir Bruxelles réellement dotée d'un jardin botanique. Le premier directeur de ce jardin, situé sur la Montagne de la Cour, le nomme en 1797 « Le Jardin Botanique de Bruxelles ». En 1826, ce jardin doit céder la place quil occupe à la grande exposition industrielle qui devait se tenir en 1830. La SA « Koninklijke maatschappij van kruid-, bloem- en boomkwekerijen der Nederlanden » est alors créée afin de sauver les collections du jardin de la Montagne de la Cour. Cette société, dont les activités sont avant tout de nature économique, connaît de grandes difficultés financières suite aux combats pour lindépendance de la Belgique. En 1837, la dénomination de la société est adaptée et devient la « Société Royale d'Horticulture de Belgique ». Seule lintervention de lÉtat qui achète le jardin et le bâtiment en 1870 permit de sauver la situation. Le Jardin botanique de l'État était né, institution qui s'attache essentiellement à des missions de recherche scientifique en botanique et en horticulture. En 1921, un nouveau règlement du Jardin est arrêté et en 1934, lherbarium du Musée du Congo, futur Musée royal de lAfrique centrale, est intégré aux collections. Cependant, le Jardin se trouve rapidement à létroit dans ses installations dautant plus que la construction de la jonction ferroviaire souterraine entre les gares de Bruxelles-Nord et de Bruxelles-Midi entraîne de nouvelles amputations importantes. En 1938, l'État belge achète le Domaine de Bouchout (Meise), jusque-là propriété de la famille royale. Les premiers bâtiments et serres sont érigés dès 1939, et les premières plantes déménagées de Bruxelles à Meise. Cependant, léclatement de la Seconde Guerre mondiale retarde la poursuite des transferts. En 1957, le <span style="font-style:italic">Jardin botanique de lÉtat</span> acquiert la personnalité civile pour la gestion de son patrimoine. Par larrêté royal du 21 avril 1964, il devient un établissement scientifique de 1er niveau relevant du ministère de lAgriculture. En 1967, le nom officiel de l'établissement change en <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span>. En 2001, la régionalisation du ministère de lAgriculture se poursuit puisque les Régions sont désormais compétentes en matière de politique agricole. Dès lors, la question de l'avenir du Jardin botanique national de Meise se pose. Lors des Accords du Lambermont, il est décidé du transfert du Jardin botanique à la Communauté flamande, moyennant une série de conditions préalables. Un accord de coopération prévoit notamment que le domaine de Bouchout est transféré à la Flandre, que les collections restent fédérales et que la Communauté française pourra continuer à entretenir une équipe de chercheurs. Cependant, cette mesure reste actuellement sans application suite à limpossibilité de trouver un accord entre néerlandophones et francophones, ces derniers craignant la régionalisation des collections fédérales. </p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Musée royal dAfrique centrale</span> (MRAC) / <span style="font-style:italic">Koninklijk Museum voor Midden-Afrika </span>(KMMA)
Afin de promouvoir son entreprise coloniale, Léopold II met sur pied diverses expositions à la fin du XIXème siècle. En 1897, dans le cadre de lExposition internationale de Bruxelles, une section congolaise est inaugurée à Tervuren. Le succès remporté par cette section ainsi que lintérêt du public pour lAfrique centrale décident le souverain à transformer lexposition temporaire du Palais des colonies en un musée permanent, doté dune institution scientifique. Le Musée du Congo était né. Face à laccroissement considérable des collections, le Musée déménage dans un nouveau bâtiment qui est inauguré en avril 1910, soit quelques mois après le décès de Léopold II. Deux ans auparavant, le souverain avait par ailleurs cédé lÉtat indépendant du Congo à lÉtat belge par le traité du 28 novembre 1907 et par lacte additionnel du 5 mars 1908. Cette reprise de la colonie par lÉtat ne fut pas sans incidence sur le statut du Musée. Par larrêté royal du 1er janvier 1910, ce dernier est transformé en une institution publique belge, placée sous la tutelle du ministre des Colonies et portant le nom de Musée du Congo belge. En 1928, le laboratoire chimique créé au sein de la section des sciences économiques est détaché de la structure du Musée et en 1934, les collections de la section botanique sont transférées au Jardin botanique de lÉtat. Après la seconde Guerre mondiale, linstitution connaît un nouvel essor, notamment au niveau de la section de géologie, minéralogie et paléontologie. À côté de cette activité dordre scientifique basée essentiellement sur létude des collections, le Musée fait également peau neuve et devient le siège dune grande activité muséographique. Lindépendance du Congo belge en 1960 et du Ruanda-Urundi en 1962, ont des répercussions sur le Musée. En août 1960, la dénomination de lInstitution devient Musée royal de lAfrique centrale. De plus, son activité et ses collections sont étendues à toute lAfrique sub-saharienne. Lindépendance de ces 2 colonies met également un terme, en 1962, au ministère des Colonies, devenu ministère des Affaires africaines. Le Musée est alors transféré au ministère de lÉducation nationale et de la Culture où il relève de lAdministration de la Recherche scientifique (A.R. du 14 février 1962). Un mois plus tard, le Musée est doté de la personnalité civile pour la gestion de son patrimoine, conformément aux dispositions édictées par la loi du 27 juin 1930. En 1963, les compétences du MRAC ainsi que celles de l<span style="font-style:italic">Institut royal des sciences naturelles de Belgique</span> sont harmonisées: la paléontologie et lanthropologie physique deviennent des compétences de lIRSNB, tandis que sont transférées au MRAC la minéralogie, la pétrographie, ainsi que la préhistoire des régions relevant de sa compétence. Cependant, seules les collections danthropologie physique seront en réalité transférées à lIRSNB. En 1965, lInstitut devient un établissement scientifique de 1er niveau. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, le MRAC perd sa personnalité juridique. Le Musée fait désormais partie, avec lIRSNB, du « Groupement scientifique de la Nature » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, le MRAC est transformé en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 18 mai 1928 portant règlement organique du Musée fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions. Cette réforme veut en effet sinscrire dans la modernisation du Musée qui entend ne plus être la vitrine du passé colonial belge mais veut voir consacrer sa vocation dinstitution scientifique de renommée mondiale.</p>
<p> -.Le <span style="font-style:italic">Musée royal de lArmée et dHistoire militaire</span> (MRA) / <span style="font-style:italic">Koninklijk Museum van het Leger en de Krijgsgeschiedenis</span> (KLM)
Dans le cadre de lExposition universelle de Bruxelles de 1910, une section est consacrée au passé militaire de la Belgique. Cependant, contrairement à ce qui était une pratique courante à lépoque, cette section neut pas une existence éphémère. Lexistence du Musée est consacrée par larrêté royal du 28 novembre 1911 et des arrêtés pris le 17 juin 1919 et le 12 octobre 1923 donnent à lÉtablissement lorganisation qui sera la sienne jusquen 1976. Initialement installé dans les locaux de labbaye de la Cambre, le Musée déménage au Cinquantenaire en 1923 par manque de place. Par larrêté royal du 11 juin 1976, le Musée devient un établissement scientifique de lÉtat, du 2ème niveau, relevant du ministère de la Défense nationale. Quelques mois plus tard, le 10 novembre, le Musée reçoit la personnalité juridique pour la gestion de son patrimoine et une commission de rénovation est instituée. Cette dernière est chargée de faire des propositions au ministre de tutelle sur les grandes orientations à apporter à la rénovation du Musée, principalement dun point de vue muséologique. Ces propositions se concrétisent en 1984. Par larrêté royal du 20 mars 2003, le MRA devient un Service de lÉtat à gestion Séparée (SEGS), par application de larticle 95 de la loi-programme du 30 décembre 2001, et ce afin de lui procurer une autonomie de gestion comparable à celle octroyée aux autres établissements scientifiques qui dépendent du ministre de la Politique scientifique. Par conséquent, larrêté royal du 10 novembre 1976 accordant la personnalité civile est abrogé par celui du 8 février 2006.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span> (MRBAA) / <span style="font-style:italic">Koninklijk</span> <span style="font-style:italic">Museum voor Schone Kunsten Antwerpen</span> (KMSKA)
À lorigine, l'essentiel des collections du Musée est constitué par la Guilde de Saint-Luc, guilde qui rassemble les artistes anversois depuis le XIVème siècle. En 1663, une Académie voit le jour dans le giron de la Guilde. Lorsque les guildes sont abolies en 1773, de nombreux tableaux deviennent la propriété du musée de lAcademie voor Schone Kunsten alors installé dans le couvent des Récollets. Les collections connaissent un nouvel accroissement au début du XIXème siècle, lorsque les tableaux, ayant appartenu à divers édifices de la ville, sont restitués après leur confiscation par l'occupant français en 1794 et 1796. Durant la première année de son existence, le Musée qui est installé dès 1810 dans un ancien monastère abandonné, renferme principalement des uvres de la seconde moitié des XVIème et XVIIème siècles. Le don fait en 1841 par Florent Van Ertborn, ancien bourgmestre d'Anvers, est l'un des plus importants pour le musée qu'il enrichit considérablement en tableaux des XVème et XVIème siècles (entre autres par la donation duvres de Jan Van Eyck, Rogier van der Weyden, Hans Memling). Laccroissement des collections par les nombreux dons et achats est tel qu'il faut déménager dans un nouveau bâtiment inauguré en août 1890. À partir de 1895, le Musée devient une institution indépendante de lAcadémie. Par larrêté royal du 6 août 1931, le <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span> reçoit la personnalité civile en vertu de la loi du 27 juin 1930 qui accorde la personnalité civile aux établissements scientifiques et artistiques dépendant du ministère des Sciences et des Arts. Par larrêté royal du 21 avril 1965, le Musée est reconnu en tant quétablissement scientifique de 2ème niveau relevant du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Suite aux réformes institutionnelles du début des années 1980 et à la communautarisation des matières culturelles, le Musée est transféré à la Communauté flamande. Par larrêté du gouvernement flamand du 16 décembre 1992, le Musée, établissement scientifique flamand, devient un service à gestion séparée sous la dénomination de Beheersdienst van het Koninklijk Museum voor Schone Kunsten te Antwerpen. Au début des années 2000, ladministration flamande connaît une large réorganisation destinée à améliorer la politique de gestion administrative (Beter Bestuur Beleid). Dans ce cadre, une agence autonomisée interne sans personnalité juridique dénommée Kunsten en Erfgoed est mise sur pied par larrêté du 11 juin 2004. Cette agence est entre autres chargée de la gestion administrative du Musée royal des Beaux-Arts dAnvers. Cette nouvelle politique administrative prévoit également la disparition des services à gestion séparée. Pour linstant aucun arrêté na été pris pour modifier le statut du Musée.</p>
<p> -. Les <span style="font-style:italic">Musées royaux dArt et dHistoire de Belgique</span> (MRAH) / <span style="font-style:italic">Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis</span> (KMKG)
Depuis le XVème siècle, sont exposés dans l'Arsenal royal, une grande salle aux alentours du palais du Coudenberg, divers objets, principalement des armes et armures ainsi que des cadeaux diplomatiques, des souvenirs et des curiosités appartenant aux ducs de Brabant, et plus tard aux archiducs de Habsbourg. Un arrêté royal en date du 8 août 1835 transforme cette collection en un Musée darmes anciennes, darmures, dobjets dart et de numismatique et ce dans « lintérêt des études historiques et des arts ». En 1847, lInstitution reçoit le nom de Musée royal darmures, dantiquité et dethnologie (A. R. du 25.03.1847). Le Musée fait déménager ses collections vers la Porte de Hal qui venait juste d'être restaurée. Les collections s'étoffèrent rapidement grâce à des dons importants et lorsque la Porte de Hal devint trop exiguë, on décida de séparer les collections. Les uvres de l'Antiquité classique furent déplacées en 1889 vers le palais du Cinquantenaire, construit à l'initiative du roi Léopold II. Elles sont rejointes en 1906 par la collection ethnographique. Quant à la collection d'armes et d'armures, elle reste à la Porte de Hal. Le nouveau complexe muséal du parc du Cinquantenaire prend alors le nom de Musées royaux des Arts décoratifs et industriels (A. R. 12.01.1889). En 1911, l'appellation Musées royaux du Parc du Cinquantenaire voit le jour et lannée suivante, les Musées sont réorganisés de façon plus complexe. Cependant, suite à l'édification du Musée royal de l'Armée et dHistoire militaire qui est également logé dans le parc du Cinquantenaire, on décide en 1929 dune nouvelle appellation: Musées royaux d'Art et d'Histoire. En 1924 une caisse des Musées royaux du Cinquantenaire est instituée afin de pourvoir aux accroissements des collections. Dans le courant des années 1920, différents centres détudes liés aux Musées sont créés. Citons entre autres: la Fondation égyptologique Reine Élisabeth (1923), la Société des Américanistes (1927), lInstitut belge des Hautes Etudes Chinoises (1929), etc. Cest également à cette époque que les MRAH reçoivent la gestion du Pavillon chinois et de la Tour japonaise, respectivement en 1921 et en 1922. Par la loi du 27 juin 1930, les Musées reçoivent la personnalité civile. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grave incendie détruit toute une aile du musée du Cinquantenaire, anéantissant une partie des collections. La reconstruction est longue et difficile et ce n'est qu'en 1966 qu'on inaugure la nouvelle aile. En 1948, le Laboratoire physico-chimique et le Service de documentation belge sont détachés de la structure du MRAH par un arrêté du Régent pour constituer les Archives centrales iconographiques dart national et le Laboratoire central des musées de Belgique (ACL), futur Institut royal du patrimoine artistique. En avril 1965, les Musées sont reconnus en tant quétablissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, les MRAH perdent leur personnalité juridique. Ils font désormais partie, avec le MRBAB et lIRPA, du « Groupement scientifique des Musées » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, les MRAH sont transformés en service de lÉtat à gestion séparée. En 1991, le Musée instrumental, futur Musée des instruments de musique (MIM), est transféré du <span style="font-style:italic">Conservatoire royal de Musique de Bruxelles</span> aux MRAH. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 8 août 1835 fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions. Il précise que les MRAH sont composés du Musée du Cinquantenaire, du Pavillon des Passions humaines, du Musée des Instruments de Musique, de la Tour japonaise, du Pavillon chinois, du Musée d'Art japonais et de la Porte de Hal.</p>
<p> -. Les <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span> (MRBAB) / <span style="font-style:italic">Koninklijke Musea voor Schone Kunsten van België</span> (KMSKB)
La collection originelle des musées provient du rassemblement par Guillaume Bosschaert, à partir de 1794, duvres saisies par les révolutionnaires français. Celles-ci sont conservées dans l'ancien palais de Charles de Lorraine. En 1801, cette collection est consacrée par un arrêté de Bonaparte qui crée le Musée du Département de la Dyle qui ouvre ses portes deux ans plus tard. En 1811, la Ville de Bruxelles devient propriétaire du Musée. En 1842, suite à une convention conclue le 31 décembre entre lÉtat belge et la Ville de Bruxelles, le Musée devient propriété de lÉtat. Il est réorganisé par larrêté royal du 31 mars 1846 et porte le nom de Musée royal de peinture et de sculpture de Belgique. Sur le plan juridique, la création du Musée avait déjà été annoncée par un arrêté royal du 7 janvier 1835 portant création dun Musée national consacré aux artistes belges. En réalité, cet arrêté devait préparer la reprise du Musée de Bruxelles opérée en 1842. En ce qui concerne laccroissement des structures du Musée, en 1845 une section consacrée à lart moderne belge est créée et en 1868 le Musée Antoine Wiertz est rattaché à linstitution. En 1919, le Musée devient le Musée royal des Beaux-Arts de Belgique avant dadopter en 1927 son appellation définitive de Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Les MRBAB se voient accorder la personnalité civile par la loi du 27 juin 1930. En avril 1965, les Musées sont reconnus en tant quétablissements scientifiques de 1er niveau relevant de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Depuis 1969, les Musées gèrent également les Archives de lart contemporain, un important fonds riche en documentation sur la vie artistique en Belgique aux XIXème et XXème siècles. En 1978, le Musée Constantin Meunier devient une nouvelle section des Musées qui en compte désormais 4: le Musée dart ancien, le Musée dart moderne, le Musée Antoine Wiertz et le Musée Constantin Meunier. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, les MRBAB perdent leur personnalité juridique. Ils font désormais partie, avec les Musées royaux dArt et dHistoire de Belgique et lInstitut royal du patrimoine artistique, du « Groupement scientifique des Musées » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, les MRBAB sont transformés en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisions quen 2002, larrêté royal du 7 janvier 1835 portant création dun Musée national consacré aux artistes belges fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>(ORB) / <span style="font-style:italic">Koninklijke Sterrenwacht van België</span> (KSB)
En 1823, Adolphe Quetelet propose au ministre de lInstruction publique de créer un observatoire à Bruxelles. Cette proposition est acceptée par un arrêté du roi des Pays-Bas du 8 juin 1826 et les travaux de construction débutent en 1827. Cependant, ils ne pourront être achevés quen 1834, après la période troublée de la Révolution belge. Pendant la période initiale de son existence, lObservatoire ne consacre pas uniquement son activité aux observations astronomiques, mais aussi à la météorologie et à la physique du globe. En 1883, les travaux de construction dun nouvel observatoire sur les hauteurs dUccle commencent. LInstitution, de par le développement quelle connaît, se trouve en effet bien vite à létroit dans ses locaux de Saint-Josse-ten-Noode. En 1890 a lieu le transfert effectif des instruments de lObservatoire. Cest ce développement important mais aussi la cohabitation de 2 domaines de sciences fort distincts qui justifient larrêté royal du 31 juillet 1913 scindant lObservatoire en 2 établissements distincts: lObservatoire royal de Belgique et lInstitut royal météorologique de Belgique. En 1931, par exécution de la loi du 27 juin 1930, lObservatoire est doté de la personnalité civile. En 1965, lORB devient un établissement scientifique de 1er niveau relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Depuis 1979, lObservatoire gère un planétarium installé sur le plateau du Heysel. Par larrêté royal du 13 août 1985 relatif aux commissions chargées de ladministration du patrimoine de certains établissements scientifiques de lÉtat, lORB perd sa personnalité juridique. LObservatoire fait désormais partie, avec lIRM et lInstitut daéronomie spatiale de Belgique, du « Groupement scientifique de lEspace » et ce en vertu de larrêté royal du 31 décembre 1983. Dorénavant, cest le groupement qui dispose de la personnalité juridique pour la gestion du patrimoine des institutions regroupées. Par larrêté royal du 31 décembre 1986, lORB est transformé en service de lÉtat à gestion séparée. Enfin, précisons quen 2002, larrêté royal du 8 juin 1826 portant création de lObservatoire fait lobjet dune refonte complète afin de ladapter aux évolutions.<p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Service national des fouilles</span> (SNF) / <span style="font-style:italic">Nationale Dienst voor Opgravingen</span> (NDO)
À lorigine, le service national des fouilles est institué au sein des <span style="font-style:italic">Musées royaux dArt et dHistoire</span>, dans le cadre de ses services généraux. En 1958, face à lextension prise par ce service et aussi suite au fait que ce service doive se trouver à la disposition de lensemble des Musées, le législateur décide de détacher le Service des fouilles des MRAH et de le transférer à l<span style="font-style:italic">Institut royal du patrimoine artistique</span>. Une commission nationale de fouilles est également instituée auprès de lIRPA afin de donner au ministre de tutelle des avis et des propositions sur les fouilles archéologiques. Par larrêté royal du 5 juillet 1963, le SNF devient un établissement scientifique autonome dépendant de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture. Trois ans plus tard, la personnalité civile est accordée au Service (A.R. du 16.09.1966). À lorigine, établissement scientifique de 3ème niveau (A.R. du 21.04.1965), le SNF devient un établissement de 2ème niveau par larrêté royal du 16 décembre 1981. En 1987, le Service est intégré dans le « Groupement Patrimoine », comme le prévoit la nouvelle réorganisation des établissements scientifiques de lÉtat relevant de la tutelle conjointe des 2 ministres de lÉducation nationale. Le SNF perd sa personnalité juridique et devient un SEGS. Enfin, suite à la réforme institutionnelle du 8 août 1988, les Monuments et Sites, et donc aussi la recherche archéologique, deviennent une compétence régionale. Le personnel du Service est alors transféré aux Régions. En Flandre, un établissement scientifique, l<span style="font-style:italic">Instituut voor Archeologisch Patrimonium</span>, reprend les activités de lancien SNF à partir de 1991. Tandis quen Wallonie, les compétences sont intégrées dans la Division des Monuments, Sites et Fouilles de la Direction Générale de laménagement du territoire et du logement.</p>
<p> -. Les <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de lÉtat </span>/ <span style="font-style:italic">Rijksstations voor landbouwkundig onderzoek
</span>
Les Stations de recherches agronomiques de lÉtat sont regroupées en deux centres: le Centre de recherche agronomique de lÉtat à Gembloux <span style="font-size:small"> (Du Centre de recherche agronomique de lÉtat à Gembloux dépendent: la Station de chimie et de physique agricoles, la Station de phytopathologie, la Station de zoologie appliquée, la Station de génie rural, la Station damélioration des plantes, la Station de technologie forestière, la Station de la pomme de terre, la Station de phytopharmacie, la Station des cultures fruitières et maraîchères, la Station de zootechnie, la Station de Haute-Belgique et la Station de phytotechnie (A. R. du 31.12.1975).) </span>
et le Centre de recherche agronomique de lÉtat à Gand <span style="font-size:small"> (Du Centre de recherche agronomique de lÉtat à Gand dépendent: la Station damélioration des plantes, la Station des plantes ornementales, la Station laitière, la Station dalimentation du bétail, la Station de phytopathologie, la Station de nématologie et dentomologie, la Station de petit élevage, la Station de populiculture à Grammont, la Station de génie rural et la Station de pêche maritime (A. R. du 31.12.1975).) </span>
(Rijkscentrum voor landbouwkundig onderzoek te Gent). À côté de ces 2 Centres, une autre Station fonctionne de façon autonome. Il sagit de la <span style="font-style:italic">Station de recherches des eaux et forêts à Groenendael</span> (<span style="font-style:italic">Rijksstation voor Bos- en Hydrobiologisch Onderzoek te Groenendael</span>) qui relève directement du directeur général des Eaux et Forêts. En vertu de la loi du 2 juillet 1927, ces Stations disposent dun patrimoine jouissant de la personnalité juridique pour gérer leurs biens. En octobre 1951, un arrêté royal fixe le règlement organique de lensemble de ces Stations qui sont désormais regroupées dans deux Centres. De nouvelles Stations sont également créées et dautres voient leurs compétences sélargir (A. R. du 15 octobre 1951). Par larrêté royal du 21 avril 1965 fixant la liste et le niveau des établissements scientifiques relevant du ministère de lAgriculture, les centres de recherches agronomiques de lÉtat à Gand et à Gembloux sont reconnus comme étant des établissements scientifiques de 1er niveau, tandis que la <span style="font-style:italic">Station de recherche des eaux et forêts à Groenendael</span> est un établissement de 2ème niveau. Suite à la régionalisation dune partie du ministère de lAgriculture et au transfert de la compétence en matière deau et de forêt, une partie du personnel de ces Stations est transférée aux régions au 1er août 1989. De plus, suite à 2 arrêtés royaux en date du 4 octobre 1994, les patrimoines constitués en personnalités juridiques auprès de la <span style="font-style:italic">Station de recherches des eaux et forêts à Groenendael</span>, de la <span style="font-style:italic">Station de populiculture à Grammont</span> et de la <span style="font-style:italic">Station de technologie forestière à Gembloux</span> sont supprimés et la propriété de leurs biens transférée aux Régions, étant donné que ces Stations soccupaient de domaines se rapportant aux eaux et forêts. En 1997, les <span style="font-style:italic">Centres de recherches agronomiques de lÉtat à Gand</span> et <span style="font-style:italic">à Gembloux</span> reçoivent la personnalité juridique pour la gestion de leur patrimoine (A. R. du 12.11.1997). Les biens, droits et obligations des personnalités juridiques des Stations de recherches restantes leur sont alors transférés. Enfin, en 2003, la régionalisation se poursuit et les biens, droits et obligations du patrimoine constitué en personnalité juridique auprès des Centres de Gand et Gembloux sont transférés aux Régions.
Statut:
En vertu des lois du 2 juillet 1927 et du 27 juin 1930, les Établissements scientifiques mentionnés dans cette notice sont dotés de la personnalité juridique. À partir des réformes institutionnelles daoût 1980 et du transfert de certaines compétences aux Communautés et aux régions, ces Établissements deviennent des SEGS, donc sans personnalité juridique, relevant de lÉtat fédéral, des Communautés ou des Régions. Dautres encore sont supprimés. Actuellement, seuls le CEVA et le <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span> disposent encore de la personnalité juridique.
-. Les <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span>:
Les AE sont chargées de la responsabilité et de la gestion du patrimoine archivistique belge. Les activités des Archives de l'État se rapportent aux tâches suivantes: exercice de la surveillance sur les producteurs publics d'archives (depuis la loi du 24 juin 1955), acquisition d'archives des pouvoirs publics et d'archives privées, conservation et préservation du patrimoine archivistique, ouverture du patrimoine archivistique à la recherche, service au public et recherche scientifique dans le domaine de l'archivistique et de l'histoire institutionnelle.</p>
<p> -. La <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique</span>:
La KBR est à la fois bibliothèque nationale, donc chargée, depuis la loi du 8 avril 1965, dacquérir et de conserver, par dépôt légal, toutes les publications parues en Belgique et celles des auteurs belges parues à l'étranger. Elle acquiert également les publications sur la Belgique parues à l'étranger; ainsi quelle complète les collections existantes de publications parues en Belgique avant l'instauration du dépôt légal. Elle est également la bibliothèque centrale scientifique de la Belgique, chargée d'acquérir les ouvrages importants dans tous les domaines de la recherche scientifique, ou du moins, d'orienter ses utilisateurs vers les bibliothèques spécialisées en question. En outre, elle est une bibliothèque de conservation. Elle conserve notamment, dans ses sections historiques et muséologiques, des manuscrits, livres précieux, partitions, cartes et plans, estampes, monnaies et médailles. Dans tous ces domaines, les sections spéciales sont des centres de recherche importants. Enfin, la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique</span> est une organisation de service au public et étudie dès lors les besoins de ses différents groupes d'utilisateurs. Elle exerce cette mission de service au public par l'information sur les publications et les collections, l'organisation d'activités didactiques et l'aide aux chercheurs et aux étudiants. </p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Centre détudes et de recherches vétérinaires et agrochimiques</span>:
Le CERVA est chargé de missions qui relèvent du domaine de la recherche scientifique sur le plan de la médecine vétérinaire et de l´agrochimie et principalement en ce qui concerne la lutte contre les maladies animales, la protection de la santé humaine, la garantie de la sécurité des productions animales et végétales du point de vue des zoonoses, des contaminants et des résidus. Il constitue un laboratoire de référence pour les instances belges et internationales. </p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek</span>:
Le <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek</span> est chargé de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine légué par la marquise Arconti-Visconti qui souhaitait dailleurs que sa donation ait pour but dencourager la poursuite des recherches artistiques et scientifiques.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span>:
Le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> est chargé de lentretien de son patrimoine, de louverture de ses collections au public, de la réalisation dexpositions et de la publication de catalogues.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut daéronomie spatiale de Belgique</span>:
Larrêté royal du 25 novembre 1964 instituant lIASB définit ses attributions essentielles comme étant « les tâches de service public et de recherche dans le domaine de laéronomie spatiale, cest-à-dire celles dont laccomplissement requiert la connaissance des données acquises à laide de fusées et de satellites artificiels dans le cadre de la physique et de la chimie de latmosphère supérieure et de lespace extra-atmosphérique ». Dans ce but, lInstitut est entre autres chargé dacquérir, de classer et de mettre à disposition les informations obtenues à laide des fusées et des satellites artificiels, de procéder à lexamen des méthodes expérimentales utilisées ainsi quà lanalyse des observations effectuées et à leur interprétation et deffectuer les recherches nécessaires à la mise au point et à lapplication de méthodes de calcul. La réalisation de ces missions sinscrit dans un cadre tant national quinternational. Elles seront actualisées par larrêté royal du 8 avril 2002.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut économique agricole</span>:
LInstitut est chargé de létude scientifique des aspects économiques et sociaux des problèmes agricoles et ruraux se situant au niveau global et à celui des entreprises, et ce tant dun point de vue macroéconomique que microéconomique. Il est entre autres chargé de la constitution dune documentation complète en la matière, de lélaboration et de lanalyse des statistiques agricoles, du calcul des prix de revient agricoles, tant actuels que prévisionnels, ainsi que de létude des résultats dexploitation.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires</span>:
LInstitut est chargé de collaborer avec le service dinspection vétérinaire ainsi quavec les docteurs en médecine vétérinaire agréés au diagnostic et à la prophylaxie des maladies des animaux domestiques.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques</span>:
LInstitut est chargé de collaborer avec les autorités publiques et avec les organismes privés en matière de recherches, détudes et dexpertises destinées à résoudre des problèmes chimiques, physico-chimiques, biochimiques et technologiques qui se posent à lagriculture et aux développements industriels de celle-ci, ainsi quaux produits agricoles et à la protection du milieu rural.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique</span>:
Les activités scientifiques et de service public de lIRM, tant sur le plan national quinternational, se rapportent à la météorologie, à la climatologie, au magnétisme terrestre, à lélectricité atmosphérique et terrestre ainsi quaux branches connexes. Afin doptimiser ses collectes de données, lInstitut veille au développement de ses stations météorologiques et à lacquisition de nouveaux instruments. LIRM dispose également dune mission éducative.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal de sciences naturelles de Belgique</span>:
LIRSNB inscrit dans ses attributions lanthropologie, la paléontologie, la zoologie, la paléontologie, la minéralogie, locéanographie, lhydrobiologie, lécologie et la protection de la nature. Ses missions consistent en la recherche scientifique dans le domaine des sciences naturelles, l'appui scientifique aux institutions et organismes publics et privés concernés par la gestion du patrimoine naturel, la gestion et le développement, dans les domaines d'activités visés ci-avant, des collections, de banques de données, de bibliothèques et d'archives spécialisées, constituant une référence de niveau national et international, et en la diffusion de la culture scientifique dans le domaine des sciences naturelles par le biais des salles permanentes du Muséum des Sciences naturelles, des expositions temporaires et d'activités éducatives diverses. </p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Institut royal du patrimoine artistique</span>:
LIRPA se consacre à létude et à la conservation du patrimoine artistique belge, et ce dans une approche interdisciplinaire. Dune part, les laboratoires du département des recherches chimiques et physiques effectuent des travaux de recherche sur les matériaux utilisés dans lart et les techniques de conservation, dautre part, lInstitut participe activement à leffort de restauration des biens culturels nationaux. Enfin, lIRPA a également pour mission de tenir à jour linventaire photographique du patrimoine culturel mobilier et immobilier belge.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span>:
Le JBNB est chargé de contribuer à l'accroissement des connaissances sur les plantes en effectuant des recherches en botanique, principalement dans le domaine de la systématique et des disciplines connexes et de contribuer à la conservation des ressources génétiques en gérant des collections bien documentées de plantes vivantes ou séchées, de graines et de tissus végétaux.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Musée royal dAfrique centrale</span>:
Le Musée déploie ses tâches de recherche scientifique et de service public dans le domaine de lhistoire politique, morale, scientifique et économique de lAfrique centrale. Il est entre autres chargé de l'acquisition et de la conservation duvres d'intérêt muséal et scientifique ainsi que de la présentation et de la mise en valeur pour le public d'un choix de ses collections afin de participer à la diffusion des connaissances.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Musée royal de lArmée et dHistoire militaire</span>:
Le Musée a pour mission générale la recherche, lacquisition, la conservation et la mise à la disposition du public de documents, détudes, de publications ou dobjets ayant trait à lhistoire militaire dans son sens le plus large. Il est également chargé détablir et de diffuser lhistoire des forces armées, tant dans leur contexte national quinternational, ainsi que dans le cadre de lévolution sociale et scientifique. Enfin, il organise des journées détude ainsi que des visites guidées et commentées de ses collections.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span>:
Le Musée est chargé de la conservation, de la gestion et de laccroissement des collections quil détient, de létude scientifique et de la mise en valeur des uvres quil possède.</p>
<p> -. Les <span style="font-style:italic">Musées royaux dArt et dHistoire de Belgique</span>:
Les MRAH sont chargés de l'acquisition et de la conservation duvres d'art et documentaires d'intérêt scientifique et muséal en relation avec la spécificité de ses quatre départements; de l'organisation de dépôts d'archives, de centres de documentation relatifs aux collections et de bibliothèques spécialisées dans les domaines représentés dans l'institution; de la collecte de données scientifiques et documentaires relatives aux collections et disciplines; de la réalisation de travaux scientifiques en relation avec les collections; de la valorisation et la diffusion des recherches scientifiques au plan national et international; du service au public par l'information sur les collections, l'organisation d'activités didactiques, l'aide aux chercheurs; de la publication d'ouvrages scientifiques et d'ouvrages destinés à un large public; etc.</p>
<p> -.Les <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span>:
Chaque section des MRBAB a une mission de conservation, détude, de présentation, déducation et denrichissement de ses collections. Les Musées sont également chargés de l'organisation d'un dépôt d'archives de l'art moderne et d'une bibliothèque spécialisée dans les beaux-arts, de la collecte de données scientifiques et documentaires relatives aux collections, de la réalisation de travaux scientifiques en relation avec les collections, de la valorisation et la diffusion des recherches scientifiques au plan national et international, du service au public par l'information sur les collections, l'organisation d'activités didactiques, l'aide aux chercheurs, etc.</p>
<p> -. L<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique</span>:
Les activités scientifiques de lORB se rapportent à lastronomie, lastrophysique, la géodésie, la géodynamique spatiale, la sismologie et les branches connexes. LObservatoire est chargé de mener des activités scientifiques de service et de recherche, spécifiquement à long terme, sur des thèmes choisis en concertation avec la communauté scientifique belge et internationale. Quant au planétarium, il est chargé de diffuser les connaissances scientifiques dans les domaines de lastronomie, de la météorologie, de laéronomie spatiale et des sciences connexes.</p>
<p> -. Le <span style="font-style:italic">Service national des fouilles</span>:
Le Service est chargé deffectuer tous les travaux détude et de recherche relatifs aux possibilités de fouille, dentreprendre des fouilles, de prendre les mesures nécessaires pour assurer la conservation et la restauration éventuelle du produit des fouilles, de publier régulièrement un compte rendu sur les fouilles entreprises, de proposer la répartition entre les Musées des objets découverts, de recueillir tous les renseignements scientifiques relatifs au produits des fouilles, etc.</p>
<p> -. Les <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de lÉtat</span>:
Les Stations sont des établissements scientifiques chargés de létude des problèmes relatifs à la production végétale et animale. Les recherches de ces Stations visent les problèmes se rapportant à lamélioration des plantes agricoles et horticoles, ainsi que des produits forestiers, à lagrologie et à lalimentation végétale, à la microbiologie agricole et à la climatologie, aux maladies des plantes et à la lutte contre les parasites, à la technologie laitière et forestière, à la rationalisation du travail, la mécanisation et lélectrification, l'amélioration qualitative et quantitative des arrivages de produits de la pêche maritime, la valorisation de ces produits et la rationalisation du travail à bord des bateaux de pêche, etc.
L. du 02.07.1927 accordant la personnalité civile aux établissements denseignement supérieur et aux Stations de recherches dintérêt agricole relevant de lÉtat (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 17.07.1927); L. du 27.06.1930 accordant la personnalité civile aux établissements scientifiques et artistiques dépendant du ministère des Sciences et des Arts (<span style="font-style:italic">Monit.,</span> 10.07.1930); A. R. du 24.06.1931 relatif au patrimoine des établissements scientifiques et artistiques (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 01.07.1931); A. R. du 20.04.1965 relatif au statut organique des établissements scientifiques de lÉtat (<span style="font-style:italic">Monit., </span>15.05.1965); A. R. du 21.04.1965 fixant la liste et le niveau des établissements scientifiques relevant de lAdministration de la Recherche scientifique du ministère de lÉducation nationale et de la Culture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.05.1965); A. R. du 21.04.1965 fixant la liste et le niveau des établissements scientifiques relevant de lAdministration des Arts et des Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.08.1965); A. R. du 21.04.1965 fixant la liste et le niveau des établissements scientifiques relevant du ministère de lAgriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.05.1965); A. R. n° 275 du 31.12.1983 relatif à certains établissements scientifiques de lÉtat (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.01.1984); A. R. n° 504 du 31.12.1986 créant les établissements scientifiques de lÉtat qui relèvent des 2 ministres de lÉducation nationale, ou du (des) ministre(s) désigné(s) par un arrêté royal délibéré en Conseil des ministres en tant que services dÉtat à gestion séparée (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.01.1987); A. R. 31.03.1987 relatif à la gestion financière et matérielle des établissements scientifiques de l'État ou de leurs groupements, qui sont des services de l'État à gestion séparée, relevant des deux ministres de l'Éducation nationale (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 11.06.1987); A. R. du 20.06. 1997 fixant la liste, le niveau, la structure et les attributions des établissements scientifiques de l'État relevant du Ministère des Classes moyennes et de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.08.1997).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat</span>: L. du 7 messidor an II concernant lorganisation des archives publiques; A. M. du 13.12.1967 portant création auprès des <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume</span> dun Centre de recherches et détudes historiques de la Seconde Guerre mondiale (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 10.02.1968); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique aux <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume et Archives de l'État dans les Provinces </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.02.1971).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale de Belgique</span>: A. R. du 19.06.1837 qui établit à Bruxelles une Bibliothèque royale (<span style="font-style:italic">Bull. Off</span>., n° LV); A. R. du 15.02.1923 formant règlement organique de la BR (<span style="font-style:italic">Moni</span>t., 24.02.1923); A. M. du 31.12.1957 modifiant l'arrêté ministériel du 27 septembre 1926, portant règlement d'ordre intérieur de la BR (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 16.01.1958); L. du 08.04.1965 instituant le dépôt légal à la BR (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 18.06.1965); A. M. du 21.09.1991 portant création auprès de la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span> Albert Ier d'un Centre pour l'archéologie et l'histoire du livre (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.11.1990); A. M. du 21.09.1991 portant création auprès de la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span> Albert Ier d'un Centre pour lhistoire des sciences (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.11.1990); A. M. du 21.09.1991 portant création auprès de la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span> Albert Ier d'un Centre détudes américaines (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.11.1990); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 19 juin 1837 portant création de la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> CERVA: A. R. du 20.06.1997 créant le <span style="font-style:italic">Centre d'Étude et de Recherches vétérinaires et agrochimiques</span> en tant qu'établissement scientifique de l'État (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.08.1997); A. R. du 12.11.1987 fixant les modalités de fonctionnement de la personnalité juridique du CERVA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1997); A. M. du 28.04.1999 portant modification de la composition du jury créé par arrêté ministériel du 14 juillet 1997 portant création d'un jury de recrutement et de promotion auprès du CERVA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.10.1999); A. R. du 09.09.2005 modifiant l'arrêté royal du 12 novembre 1997 fixant les modalités de fonctionnement de la personnalité juridique du CERVA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 01.12.2005); A. M. du 24.09.2007 organisant la comptabilité de la personnalité juridique du CERVA (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 15.10.2007).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek</span>: A. R. du 18.08.1922: donation du Domaine (<span style="font-style:italic">Monit., </span>28-29.08.1922); A. R. du 25.07.1923: organisation du Domaine (<span style="font-style:italic">Monit</span>.<span style="font-style:italic">,</span> 06.09.1923); A. R. du 22.09.1931 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek </span>(<span style="font-style:italic">Monit., </span>21.10.1931); A. R. du 15.06.1951: création d'une commission administrative du D<span style="font-style:italic">omaine de Gaesbeek</span> (<span style="font-style:italic">Monit.,</span> 15.08.1951); A. R. du 28.06.1991: transfert de la propriété du domaine de lÉtat à la Communauté flamande (<span style="font-style:italic">Monit.,</span> 27.09.1991); A. Ex. fl. du 16.12.1992: réglementation du service de gestion du domaine (<span style="font-style:italic">Monit., </span>12.03.1993); A. Ex. fl. du 08.06.1994: concerne la gestion financière et matérielle du domaine (<span style="font-style:italic">Monit., </span>20.10.1994).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span>: A. R. du 15.04.1920: acceptation du legs fait à lÉtat par Raoul Warocqué; A. R. du 06.08.1931 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> (<span style="font-style:italic">Monit.,</span> 21.10.1931); A. R. du 21.05.1955: modification de lA.R. du 6 août 1931 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> (<span style="font-style:italic">Monit., </span>26.08.1955); A. R. du 21.04.1965 reconnaissant le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> comme établissement scientifique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.09.1965); A. R. du 28.06.1991: transfert de la propriété du <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span> de l'État à la Communauté française (<span style="font-style:italic">Monit.,</span>08.10.1991); Décr. Comm. fr. du 12.06.2003 érigeant le musée royal de Mariemont en établissement à gestion séparée (<span style="font-style:italic">Monit., </span>01.07.2003); A. Ex. Comm. fr. du 17.12.2003 relatif au statut organique des établissements scientifiques de la Communauté française (<span style="font-style:italic">Monit., </span>31.03.2004); A. Ex. Comm. fr. du 17.12.2003 établissant le règlement organique du musée royal de Mariemont (<span style="font-style:italic">Monit., </span>31.03.2004); A. Ex. Comm. fr. du 17.12.2003 fixant le règlement d'ordre intérieur du Musée royal de Mariemont (<span style="font-style:italic">Monit., </span>31.03.2004); A. Ex. Comm. fr. du 21.01.2004 instituant le musée royal de Mariemont en établissement scientifique (<span style="font-style:italic">Monit., </span>31.03.2004); A. Ex. Comm. fr. du 21.01.2004 relatif à la gestion administrative, budgétaire, financière et comptable du musée royal de Mariemont en tant qu'établissement à gestion séparée (<span style="font-style:italic">Monit., </span>02.04.2004).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Institut daéronomie spatiale de Belgique</span>: A. R. du 25.11.1964 constituant en établissement scientifique le service daéronomie de l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.01.1965); A. R. du 01.12.1964 portant transfert à l<span style="font-style:italic">Institut daéronomie spatiale de Belgique </span>du personnel, du matériel et de la documentation du service daéronomie de lIRM (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 14.01.165); A. R. du 31.08.1965 accordant la personnalité civile à lInstitut et portant création de la commission chargée de ladministration de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 16.10.1965); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique à l'Institut d'<span style="font-style:italic">Aéronomie Spatiale de Belgique </span>(Monit., 19.02.1971); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 25 novembre 1964 constituant en établissement scientifique le Service d'Aéronomie de l'<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Institut économique agricole</span>: A. R. du 20.06.1960 portant création d'un Institut économique agricole auprès du ministère de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 27.06.1960); A. R. du 30.04.1970 octroyant le statut d'établissement scientifique de l'État à l'Institut économique agricole et fixant son niveau, sa structure et ses attributions (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.05.1970); A. R. du 13.11.1970 portant création d'un Conseil scientifique auprès de lInstitut économique agricole (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 11.12.1970); A. R. du 28.06.1978 rattachant l'Institut économique agricole à l'Administration de la recherche agronomique du ministère de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 30.08.1978); A. R. du 12.01.1984 accordant la personnalité juridique à l<span style="font-style:italic">Institut déconomie agricole </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 25.02.1984); A. M. du 11.05.1984 relatif à lorganisation de la comptabilité de la personnalité juridique de l<span style="font-style:italic">Institut déconomie agricole </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.06.1984); A. M. du 20.08.1984 fixant le règlement d'ordre intérieur de la Commission de gestion du patrimoine de l'<span style="font-style:italic">Institut économique agricole </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.09.1984); A. R. du 20.06. 1997 fixant la liste, le niveau, la structure et les attributions des établissements scientifiques de l'État relevant du Ministère des Classes moyennes et de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.08.1997); A. R. du 12.11.1997 déterminant les conditions dans lesquelles le <span style="font-style:italic">Centre d'Économie agricole</span> reçoit la personnalité juridique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1997); L. du 02.08.2002 modifiant la loi relative à la suppression ou à la restructuration d'organismes d'intérêt public et d'autres services de l'État, coordonnée le 13 mars 1991 (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 15.08.2002); A. R. du 18.02.2003 relatif au transfert à la Région flamande et à la Région wallonne des biens, droits et obligations du Patrimoine constitué en personnalité juridique auprès du <span style="font-style:italic">Centre d'Économie agricole</span>, et à la suppression de ce patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 04.03.2003).<span style="font-style:italic">
</span></p>
<p> <span style="font-style:italic">Institut national de recherches vétérinaires</span>: A. Secr. gén. du 24.04.1944 portant statut du Laboratoire de diagnostic et de recherches vétérinaires de lÉtat; A. R. du 25.11.1952 modifiant l'arrêté du secrétaire général du ministère de l'Agriculture et du Ravitaillement du 24 avril 1944 portant statut du laboratoire de diagnostic et de recherches vétérinaires (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1952); A. R. du 06.02.1957 portant fixation du cadre organique du ministère de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.02.1957); A. R. du 15.07.1960 accordant la personnalité juridique à l<span style="font-style:italic">Institut de recherches vétérinaires </span>pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.09.1960); A. M. du 28.12.1960 fixant le règlement dordre intérieur de la commission de gestion du patrimoine de lInstitut; A. R. du 01.09.1971 modifiant l'arrêté royal du 15 juillet 1960 accordant la personnalité juridique à l'<span style="font-style:italic">Institut national de Recherches vétérinaires </span>pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.01.1972); A. R. du 18.10.1974 modifiant l'arrêté du 24 avril 1944 portant statut du laboratoire de diagnostic et de recherches vétérinaires (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.02.1975); A. R. du 20.06.1997 créant le <span style="font-style:italic">Centre d'Étude et de Recherches vétérinaires et agrochimiques</span> en tant qu'établissement scientifique de l'État (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 09.08.1997); A. R. du 12.11.1997 fixant les modalités de fonctionnement de la personnalité juridique du <span style="font-style:italic">Centre d'Étude et de Recherches vétérinaires et agrochimiques </span>(<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 19.12.1997).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Institut de recherches chimiques</span>: A. R. du 10.04.1928 relatif à lorganisation du laboratoire de recherches chimiques et onialogiques du Congo belge (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 22.04.1928); A. R. du 25.10.1928 portant arrêté organique de la Commission de surveillance du Laboratoire de Recherches chimiques et onialogiques (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 18.03.1945); A. Rég. du 25.10.1948 portant création d'une Commission de surveillance sur le Laboratoire de Recherches chimiques (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 17.12.1948); A. R. du 03.03.1961 portant transfert du Laboratoire de recherches chimiques du ministère des Affaires africaines au ministère de l'Agriculture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.03.1961); A. R. du 12.01.1984 accordant la personnalité juridique à l'<span style="font-style:italic">Institut de Recherches chimiques </span>pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 25.02.1984); A. M. du 11.05.1984 relatif à l'organisation de la comptabilité de la personnalité juridique de l'<span style="font-style:italic">Institut de Recherches chimiques </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.06.1984); A. M. du 20.08.1984 fixant le règlement d'ordre intérieur de la Commission de gestion du patrimoine de l'<span style="font-style:italic">Institut de Recherches chimiques </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.09.1984); A. R. du 20.06.1997 créant le <span style="font-style:italic">Centre d'Étude et de Recherches vétérinaires et agrochimiques</span> en tant qu'établissement scientifique de l'État (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.08.1997).</p>
<p> IRM: A. R. du 31.07.1913 portant règlement organique de l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>et de l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.08.1913); A. M. du 22.08.1913 portant règlement dordre intérieur de lORB et de lIRM (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.08.1913); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique à lIRM (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.02.1971); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 31 juillet 1913 portant règlement organique de l'<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>et de l'<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> IRPA: A. Rég. du 24.06.1948 constituant les Archives centrales iconographiques dart national et Laboratoire central des musées de Belgique en établissement scientifique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.07.1948); A. R. du 17.08.1957 modifiant la dénomination des Archives centrales iconographiques dart national et Laboratoire central des musées de Belgique en Institut royal du patrimoine artistique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.09.1957); A. R. du 14.06.1958 accordant la personnalité civile à lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 05.09.1958); A. R. du 05.07.1963 constituant en établissement scientifique le service des fouilles de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 20.11.1963); A. R. du 18.12.1963 portant transfert au Service national des Fouilles, du personnel, du matériel et de la documentation du service des fouilles de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 11.03.1964); A. M. du 05.08.1976 fixant la structure de lIRPA, établissement scientifique relevant de lAdministration des Arts et Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture française et de lAdministration des Arts et Lettres du ministère de lÉducation nationale et de la Culture néerlandaise (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.12.1976); A. R. du 28.11.1995 organisant le transfert par l'État à la Communauté française de la propriété de biens immeubles, ressortissant à lIRPA, à Braine-l'Alleud (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 09.12.1195); A. R. du 17.11.1998 fixant la compétence de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 17.02.1999); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté du Régent du 24 juin 1948 portant constitution en établissement scientifique de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).
<span style="font-style:italic"> </p>
<p> </span><span style="font-style:italic">Institut royal des sciences naturelles de Belgique</span>: A. R. du 31.03.1846 portant organisation du Musée royal dhistoire naturelle (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 25.04.1846); A. R. du 10.07.1869 portant règlement organique du Musée royal dhistoire naturelle (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.07.1869); A. Rég. du 09.09.1948 modifiant le titre du <span style="font-style:italic">Musée royal dhistoire naturelle de Belgique</span> en <span style="font-style:italic">Institut des sciences naturelles de Belgique</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 24.09.1948); A. R. du 24.08. 1964 modifiant et coordonnant les attributions de l'<span style="font-style:italic">Institut royal des Sciences naturelles de Belgique </span>et du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Afrique centrale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 27.05.1965); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique à l'<span style="font-style:italic">Institut royal des Sciences naturelles de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 19.02.1971); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 10 juillet 1869 portant règlement organique de l'<span style="font-style:italic">Institut royal des Sciences naturelles de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span>: A. R. du 30.06.1921 portant un nouveau règlement du Jardin botanique de lÉtat (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.09.1921); A. R. du 07.06.1957 accordant la personnalité juridique au <span style="font-style:italic">Jardin botanique de lÉtat</span> pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 30.06.1957); A. R. du 14.02.1967 relatif à la dénomination du <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 17.03.1967); A. R. du 01.09.1971 modifiant l'arrêté royal du 7 juin 1957 accordant la personnalité juridique au <span style="font-style:italic">Jardin botanique de l'État</span> pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.01.1972); A. R. du 12.11.1997 déterminant les conditions dans lesquelles le <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span> reçoit la personnalité juridique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1997).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Musée royal de lAfrique centrale</span>: A. R. du 18.05.1928 portant règlement organique du Musée du Congo belge à Tervuren (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 10.06.1958); A. R. du 23.08.1960 modifiant la dénomination du Musée du Congo belge en Musée royal dAfrique centrale (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.09.1960); A. R. du 14.02.1962 portant transfert du Musée des services du Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, au ministre de lÉducation nationale et de la Culture (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 09.03.1962); A. R. du 20.03.1962 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Musée royal de lAfrique centrale</span> et portant création de la commission chargée de ladministration de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.06.1962); A. R. du 24.08. 1964 modifiant et coordonnant les attributions de l'<span style="font-style:italic">Institut royal des Sciences naturelles de Belgique </span>et du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Afrique centrale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 27.05.1965); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 18 mai 1928 portant règlement organique du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Afrique centrale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Musée royal de lArmée et dHistoire militaire</span>: A. R. du 12.10.1923 portant organisation du <span style="font-style:italic">Musée royal de larmée</span>; A. R. du 20.04.1961 modifiant l'arrêté royal du 12 octobre 1923, portant réorganisation du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Armée </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 28.04.1961); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique au <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Afrique centrale</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.02.1971); A. R. du 11.06.1976 fixant le niveau de létablissement scientifique de lÉtat, le Musée royal de larmée et dhistoire militaire, relevant du ministère de la Défense nationale et en définissant la mission (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.06.1976); A. R. du 11.06.1976 portant des dispositions particulières au Musée (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.06.1976); A. R. du 10.11.1976 accordant au <span style="font-style:italic">Musée royal de larmée et dhistoire militaire</span> la personnalité civile pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 04.12.1976); A. R. du 10.11.1976 portant création dune commission de rénovation du Musée (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 04.12.1976); A. R. du 01.03.1977 relatif au passage en temps de guerre, du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'armée et d'histoire militaire</span> aux ministères ayant l'Éducation nationale et la Culture dans leurs attributions (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.05.1977), L.-Prog. du 30.12.2001 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.12.2001); A. M. du 31.03.2003 pris en exécution de l'arrêté royal du 20 mars 2003 fixant les règles organiques de la gestion financière et matérielle du <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Armée et d'Histoire</span> <span style="font-style:italic">militaire</span>, établissement scientifique de l'État relevant du ministre de la Défense, en tant que service de l'État à gestion séparée (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 30.04.2003); A. R. du 08.01.2006 abrogeant l'arrêté royal du 10 novembre 1976 accordant au <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Armée et d'Histoire militaire</span> la personnalité civile pour la gestion de son patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.02.2006). </p>
<span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span>: A. R. du 06.08.1931 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Musée royal des beaux-arts dAnvers</span> (<span style="font-style:italic">Monit.,</span> 21.10.1931); A. R. du 21.04.1965 reconnaissant le MRBAA comme établissement scientifique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.09.1965); A. Ex. fl. du 16.12.1992 portant réglementation du service à gestion séparée « Beheersdienst van het Koninklijk Museum voor Schone Kunsten te Antwerpen » (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.03.1993); A. Ex. fl. du 08.06.1994 relatif à la gestion financière et matérielle du service à gestion séparée « Beheersdienst van het Koninklijk Museum voor Schone Kunsten te Antwerpen » (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.10.1994).</p>
<p> MRAH: A. R. du 08.08.1835 portant création dun Musée darmes anciennes, darmures, dobjets dart et de numismatique (non publié); A. R. du 25.03.1847 portant organisation du Musée royal darmures, dantiquités et dartillerie (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.04.1847); A. R. du 12.01.1889 portant création des Musées royaux des arts décoratifs et industriels (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 14.01.1889); A. R. 16.06.1911 portant réorganisation des Musées royaux du Cinquantenaire (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 13.07.1911); A. R. du 07.07.1924 portant création dune caisse des Musées royaux du Cinquantenaire (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 26.07.1924); A. R. du 25.01.1929 portant modification de la dénomination des Musées royaux du Cinquantenaire en Musées royaux dArt et dHistoire (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 06.02.1929); A. M. du 27.09.1937 fixant les mesures dordre intérieur des <span style="font-style:italic">Musées royaux dart et dhistoire</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.10.1937); A. Rég. du 15.05.1949 fixant le règlement organique des MRAH (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 12.08.1949); A. R. du 29.06.1962 modifiant le règlement organique des <span style="font-style:italic">Musées royaux d'Art et d'Histoire</span> et des <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.09.1962); A. R. du 09.01.1973 portant création d'un Conseil scientifique aux <span style="font-style:italic">Musées royaux d'Art et d'Histoire</span> à Bruxelles (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 22.06.1973); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 8 août 1835 instituant un Musée d'Armes anciennes, d'Armures, d'Objets d'Art et de Numismatique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> MRBAB: A. R. du 31.03.1846 portant organisation du Musée royal de peinture et de sculpture de Belgique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 27.04.1846); A. R. du 24.12.1920 instituant une caisse du Musée royal des Beaux-Arts (Monit., 10.07.1921); A. R. du 26.06.1930 modifiant le règlement organique des MRBA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 03.07.1930); A. R. du 23.08.1933 instituant le règlement organique des MRBA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 14.10.1933); A. R. du 28.11.1953 modifiant l'arrêté royal du 23 août 1933 portant le règlement organique des <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span> à Bruxelles (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.02.1954); A. R. du 29.06.1962 modifiant le règlement organique des <span style="font-style:italic">Musées royaux d'Art et d'Histoire</span> et des <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 29.09.1962); A. R. du 03.06.1972 portant création dun conseil scientifique aux MRBA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 10.11.1972); A. R. du 13.10.1986 modifiant l'arrêté royal du 23 août 1933 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.02.1987); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 31 mars 1846 portant organisation du Musée royal de peinture et de sculpture de Belgique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.2002).</p>
<p> ORB: A. R. du 31.07.1913 portant règlement organique de l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>et de l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.08.1913); A. M. du 22.08.1913 portant règlement dordre intérieur de lORB et de lIRM (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 31.08.1913); A. R. du 08.12.1970 créant un Conseil scientifique à l'<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.02.1971); A. R. du 14.02.1979 relatif à la création et au fonctionnement du Planétarium (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 07.03.1979); A. R. du 08.04.2002 modifiant l'arrêté royal du 31 juillet 1913 portant règlement organique de l'<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique </span>et de l'<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique </span>(<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.4.2002).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Service national des fouilles</span>: A. R. du 29.03.1958 relatif au Service des fouilles archéologiques (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 23.04.1958); A. R. du 05.07.1963 constituant en établissement scientifique le service des fouilles de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 20.11.1963); A. R. du 18.12.1963 portant transfert au Service national des Fouilles, du personnel, du matériel et de la documentation du service des fouilles de lIRPA (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 11.03.1964); A. R. du 16.09.1966 accordant la personnalité civile au <span style="font-style:italic">Service national des Fouilles</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 17.11.1966); A. R. du 21.01.1975 portant création d'un Conseil scientifique au <span style="font-style:italic">Service national des Fouilles</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 13.09.1975); A. R. du 16.12.1981 modifiant le niveau et la structure du <span style="font-style:italic">Service national des Fouilles</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 20.07.1982); A. R. du 22.11.1985 relatif à la Commission chargée de l'administration du patrimoine du <span style="font-style:italic">Service national des Fouilles</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 21.02.1986).</p>
<p> <span style="font-style:italic">Stations agronomiques de recherche</span>: A. R. du 15.10.1948 relatif à la définition des services prestés dans les établissements scientifiques du ministère de lAgriculture; A. R. du 15.10.1951 portant règlement organique des <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de lÉtat</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 02.11.1951); A. M. du 30.03.1954 organisant la personnalité juridique des <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de lÉtat</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 11.04.1954); A. R. du 21.10.1968 relatif à la dénomination des <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de l'État</span> (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.11.1968); A. R. du 31.12.1975 modifiant l'arrêté royal du 15 octobre 1951 portant règlement organique des <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques de l'État</span> (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 24.02.1976); A. R. du 04.10.1994 relatif à la suppression du Comptoir commercial et la Sécherie de graines forestières de l'État et des patrimoines constitués en personnalités juridiques auprès de certaines Stations de recherches agronomiques de l'État (<span style="font-style:italic">Monit.</span>, 17.11.1994); A. R. du 12.11.1997 déterminant les conditions dans lesquelles le <span style="font-style:italic">Centre de Recherches agronomiques de Gand</span> reçoit la personnalité juridique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1997); A. R. du 12.11.1997 déterminant les conditions dans lesquelles le <span style="font-style:italic">Centre de Recherches agronomiques de Gembloux</span> reçoit la personnalité juridique (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 19.12.1997); L. du 02.08.2002 modifiant la loi relative à la suppression ou à la restructuration d'organismes d'intérêt public et d'autres services de l'État, coordonnée le 13 mars 1991 (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 15.08.2002); A. R. du 18.02.2003 relatif au transfert à la Région wallonne des biens, droits et obligations du Patrimoine constitué en personnalité juridique auprès du <span style="font-style:italic">Centre de Recherches agronomiques de Gembloux</span>, et à la suppression de ce Patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 04.03.2003); A. R. du 18.02.2003 relatif au transfert à la Région flamande des biens, droits et obligations du Patrimoine constitué en personnalité juridique auprès du <span style="font-style:italic">Centre de Recherches agronomiques de Gand</span>, et à la suppression de ce Patrimoine (<span style="font-style:italic">Monit</span>., 04.03.2003).
Orientation bibliographique:
LE BRUN J., <span style="font-style:italic">Dictionnaire des services publics</span>, n° 5, 9, 31, 45, 66, 78, 82, 83, 84, 87, 98, 99, 100, 101, 104, 145, 157, 158; BEUMIER M., BRYNAERT N., « Les établissements scientifiques fédéraux », dans <span style="font-style:italic">Courrier hebdomadaire du CRISP</span>, n° 1855-1856, 2004; SERVICES FÉDÉRAUX DES AFFAIRES SCIENTIFIQUES, TECHNIQUES ET CULTURELLES, <span style="font-style:italic">Les musées royaux et les autres institutions scientifiques fédérales en un clin d'il</span>, Bruxelles, 2000; VAN DEN EECKHOUT P. ET VANTHEMSCHE G., <span style="font-style:italic">Bronnen voor de studie van het hedendaagse België 19de-20ste eeuw</span>, Bruxelles, 1999; VAN DE CRUYSSEN C., <span style="font-style:italic">Het Ministerie van Onderwijs en Cultuur (1878-1884, 1907-1991). Deel III. Repertoria van de wetenschappelijke instellingen van de Staat, van de academies en van de domeinen van Gaasbeek en Mariemont</span>, AGR, Bruxelles, 1996 (Miscellanea archivistica. Studia 85); <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume, Bibliothèque royale de Belgique, Institut daéronomie spatiale de Belgique, Institut royal météorologique de Belgique, Institut des sciences naturelles de Belgique, Musée royal de lAfrique centrale, Observatoire royal de Belgique</span>, Bruxelles, 1969.</p>
<p> Sur les <span style="font-style:italic">Archives générales du Royaume</span> et <span style="font-style:italic">Archives de lÉtat dans les provinces</span>: COPPENS H. ET LAURENT R., <span style="font-style:italic">Les Archives de l'État en Belgique 1796-1996. Historique de l'institution et répertoire bio-bibliographique des archivistes</span>, AGR, Bruxelles, 1996 (Miscellanea archivistica. Studia 86); COPPENS H., <SPAN STYLE="FONT-STYLE:ITALIC">Les Archives de lÉtat</span>, AGR, Bruxelles, 1996 (Miscellanea archivistica. Studia 87); WELLENS R., « Les débuts de lorganisation des Archives générales du Royaume à Bruxelles (1830-1835) », dans <span style="font-style:italic">Cahiers bruxellois</span>, t. XXVII, Bruxelles, 1985, pp. 5-18; WYFFELS C., <span style="font-style:italic">Les Archives de lÉtat: un établissement scientifique dans la détresse</span>, AGR, Bruxelles, 1982 (Miscellanea archivistica. 26).</p>
<p> Sur la <span style="font-style:italic">Bibliothèque royale</span>: DEVROEY J.P., DUJARDIN M., VAN BORM J., VANDOOREN F., <span style="font-style:italic">La Bibliothèque royale Albert 1er</span>, Bruxelles, 2000; JANSEN-SIEBEN R., BALISTER C., <span style="font-style:italic">La Bibliothèque royale de Belgique: 1934-1994</span>, Bruxelles, 1994; SENELLE R., <span style="font-style:italic">La Bibliothèque royale de Belgique</span>, Bruxelles, 1967; REMY F., WILLAERT L., <span style="font-style:italic">Le personnel scientifique de la Bibliothèque royale de Belgique, 1837-1962: répertoire bio-bibliographique</span>, Bruxelles, 1962; REMY F., <span style="font-style:italic">Aux origines de la Bibliothèque royale de Belgique: étude sur son personnel et ses méthodes de travail 1837-1850</span>, Bruxelles, 1960; TOURNEUR V., <span style="font-style:italic">La Bibliothèque royale: le cent cinquantième anniversaire de son ouverture au public</span>, Bruxelles, 1922.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Domaine de Gaesbeek</span>: VANDORMAEL H., <span style="font-style:italic">Château de Gaasbeek</span>, Bruxelles, 1988; VAN CROMPHOUT J. et VENNEKENS F., <span style="font-style:italic">Le Château de Gaasbeek</span>, Hekelgem, 1939; VINCX J. F., <span style="font-style:italic">Gaasbeek. Geschiedenis van het kasteel, de kerk en het dorp</span>, Bruxelles, 1926.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Domaine de Mariemont</span>: DONNAY G., <span style="font-style:italic">Le musée royal de Mariemont, </span>Bruxelles, 1987; DEMEESTER J., « Le domaine de Mariemont sous Albert et Isabelle (1598-1621) », dans<span style="font-style:italic"> Annales du Cercle archéologique de Mons, </span>n° 71<span style="font-style:italic">,</span> Mons,<span style="font-style:italic"> </span>1983, pp. 181-282; WELLENS R., « Le domaine de Mariemont au XVIe siècle (1546-1598) »<span style="font-style:italic">, </span>dans <span style="font-style:italic">Annales du Cercle archéologique de Mons, </span>t. 64, Mons, 1958-1961, pp. 79-172; <span style="font-style:italic">Le Musée et le parc de Mariemont: guide illustré précédé dune notice biographique sur Raoul Warocqué et dun historique du Domaine de Mariemont</span>, Gembloux, 1954; FAIDER P., « Le Musée de Mariemont »<span style="font-style:italic">, </span>dans <span style="font-style:italic">Revue belge d'archéologie et d'histoire de l'art</span>, t. 9, Bruxelles, 1939, p. 270.</p>
<p> Sur l<span style="font-style:italic">Institut royal météorologique de Belgique</span>: <span style="font-style:italic">L'Institut royal météorologique au service de tous: ce que la météorologie apporte à la collectivité</span>, Bruxelles, 1985; SNEYERS R., <span style="font-style:italic">LInstitut royal météorologique</span>, Bruxelles, 1982; INBEL, <span style="font-style:italic">Ce quil faut savoir de lInstitut royal météorologique</span>, Bruxelles, 1981; <span style="font-style:italic">Le cinquantenaire de l'Institut royal météorologique de Belgique: 1913-1963</span>, Bruxelles, 1963.</p>
<p> Sur l<span style="font-style:italic">Institut royal du patrimoine artistique</span>: SNEYERS R., <span style="font-style:italic">L'Institut royal du patrimoine artistique</span>, Bruxelles, 1976.</p>
<p> Sur l<span style="font-style:italic">Institut royal des sciences naturelles de Belgique</span>: LELOUP G., <span style="font-style:italic">Les archives institutionnelles de lInstitut royal des sciences naturelles de Belgique et les archives des ASBL y hébergées</span>, AGR, Bruxelles, [à paraître] (Tableaux de gestion et tableaux de tri); VIVÉ A. ET VERSAILLES A., <span style="font-style:italic">Du musée à l'institut: 150 ans de sciences naturelles</span>, Bruxelles, 1996; VIVÉ A., <span style="font-style:italic">Du Musée Royal d'histoire naturelle de Belgique à l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Développement d'un établissement scientifique de l'État. 1909-1954</span>, Université Libre de Bruxelles, Bruxelles, mémoire de licence non publié, 1994; <span style="font-style:italic">Radioscopie de lInstitut royal de sciences naturelles</span>, Bruxelles, 1992; VAN DEN BORRE A., <span style="font-style:italic">Origine et développement du Musée Royal d'histoire naturelle de Belgique jusqu'en 1909</span>, Université Libre de Bruxelles, mémoire de licence non publié, Bruxelles, 1992; QUINTART A., « Het Koninklijk Belgisch Instituut voor Natuurwetenschappen », dans BALTHAZAR H. ET STENGERS J, <span style="font-style:italic">Dynastie en Cultuur in België</span>, Antwerpen, 1990, pp. 325-330; <span style="font-style:italic">Institut royal des sciences naturelles à Bruxelles</span>, Bruxelles, 1983; GILSON G., <span style="font-style:italic">Le musée d'histoire naturelle moderne, sa mission, son organisation, ses droits</span>, Bruxelles, 1914.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span>: <span style="font-style:italic">Jardin botanique national de Belgique</span>, Meise, 1989; DEMARET F., LIEBAERS H., <span style="font-style:italic">100ème anniversaire du Jardin botanique national de Belgique</span>, Bruxelles, 1970; ROBYNS W., <span style="font-style:italic">Le Jardin botanique de lÉtat</span>, Bruxelles, 1954.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Musée royal dAfrique centrale</span>: LELOUP G., <span style="font-style:italic">Les archives institutionnelles du Musée royal de lAfrique centrale</span>, AGR, Bruxelles, 2007 (Tableaux de gestion et tableaux de tri 4); CORNELIS S., « Le Musée du Congo belge, vitrine de laction coloniale (1910-1930) », dans TAFFIN D. (ed.), <span style="font-style:italic">Du musée colonial au musée des cultures du monde</span>, Paris, 2000, pp. 71-86; THYS VAN DEN AUDENAERDE D.F.E. (s. la dir. de), <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Afrique centrale</span>, Bruxelles, 1994; LEBACQ L., « Les activités du Musée royal de lAfrique centrale dans le domaine de léconomie agricole », dans <span style="font-style:italic">Africa-Tervuren</span>, X, 1964, pp. 66-67; LUWEL M., « Histoire du Musée royal du Congo belge à Tervuren », dans <span style="font-style:italic">Congo-Tervuren</span>, VI, 1960, pp. 39-40.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Musée royal de lArmée</span>: NAEYAERT S., VAN EVERBROECK CH., <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Armée et d'histoire militaire</span>, Bruxelles, 2000; <span style="font-style:italic">Le Musée royal de l'Armée</span>, Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale, Bruxelles, 1999; <span style="font-style:italic">Musée royal de l'Armée et d'histoire militaire: 20e anniversaire de la Section "Blindés" 1979-1999</span>, Bruxelles, 1999; LOUIS O. ET LEFÈVRE P., <span style="font-style:italic">Le Musée royal de larmée</span>, Bruxelles, 1987; LIMBOURG P., JACOBS E. A., T'SAS F., <span style="font-style:italic">Musée royal de larmée</span>, Bruxelles, 1979.</p>
<p> Sur le <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts dAnvers</span>: Todts H., Het Koninklijk Museum voor Schone Kunsten te Antwerpen<span style="font-style:italic">, </span>dans <span style="font-style:italic">Openbaar Kunstbezit in Vlaanderen</span>, 1993; MARÉCHAL E. ET DE JONG L., <span style="font-style:italic">Musée royal des Beaux-Arts, Anvers</span>, Bruxelles, 1990.</p>
<p> Sur les <span style="font-style:italic">Musées royaux dArt et dHistoire</span>: LELOUP G., <span style="font-style:italic">Instellingsarchief van de Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis en archieven van er gevestigde VZWs</span>, AGR, Bruxelles, [à paraître] (Tableaux de gestion et tableaux de tri); DE KEYSER I., «Het Brusselse Muziekinstrumentenmuseum, een case study naar de achtergronden van een specialistisch museum», in <span style="font-style:italic">Bulletin des Musées royaux dArt et dHistoire - Bulletin van de Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis</span>, LXVIII, Brussel, 1997, pp. 209-221; FROMENT F. (e.a.), <span style="font-style:italic">Musées royaux d'art et d'histoire: Amérique, Asie, Océanie</span>, Bruxelles, 1992; CAHEN-DELHAYE A., COPPENS M., DELMARCEL G. (e.a.), <span style="font-style:italic">Musées Royaux d'Art et d'Histoire Bruxelles, Bruxelles</span>, 1989; BALTY J.C. (e.a.), <span style="font-style:italic">Musées royaux d'art et d'histoire, Bruxelles, Antiquité</span>, Bruxelles, 1988; GILBERT P., Réorganisation du département égyptien, in <span style="font-style:italic">Bulletin des Musées royaux dArt et dHistoire - Bulletin van de Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis</span>, XIX, Brussel, juli-december 1947, pp. 89-96.</p>
<p> Sur les <span style="font-style:italic">Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique</span>: VAN KALCK M. (e.a.), <span style="font-style:italic">Les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique: deux siècles d'histoire</span>, Bruxelles, 2003; ADRIAENS-PANNIER A., BAUDSON P., DE WILDE E. (e.a.), <span style="font-style:italic">Le Musée d'art moderne, Bruxelles</span>, Bruxelles, 1996; PAUWELS H., ROBERTS-JONES-POPELIER F., LAUREYSSENS W., MERTENS PH. (e.a.), <span style="font-style:italic">Musées royaux des beaux-arts de Belgique: Le Musée d'art ancien, Bruxelles</span>, Bruxelles, 1988; PAUWELS H., ROBERTS-JONES-POPELIER F., LAUREYSSENS W., <span style="font-style:italic">Le Musée d'art ancien, Bruxelles</span>, Bruxelles, 1988; MERTENS Ph., OLLINGER-ZINQUE G., VAN LENNEP J., <span style="font-style:italic">Le Musée d'art moderne, Bruxelles</span>, Bruxelles, 1987; ROBERTS-JONES-POPELIER F., <span style="font-style:italic">Chronique d'un musée: Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique</span>, Bruxelles, Liège, 1987; MERTENS PH., OLLINGER-ZINQUE G., VAN LENNEP J. (e.a.)<span style="font-style:italic">, Musées royaux des beaux-arts de Belgique</span>, Bruxelles, 1987;<span style="font-style:italic"> Histoire d'un musée 1801/1984: exposition aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique, 26 octobre 1984 - 27 janvier 1985</span>, Bruxelles, 1984.</p>
<p> Sur l<span style="font-style:italic">Observatoire royal de Belgique</span>: <span style="font-style:italic">150ème anniversaire de lObservatoire royal de Belgique</span>, Bruxelles, s.d.</p>
<p> Sur les <span style="font-style:italic">Stations de recherches agronomiques</span>: BARBEAUX M. ET BEUMIER M., « Réforme de lÉtat et restructuration des administrations et des parastataux », dans <span style="font-style:italic">Courrier hebdomadaire du CRISP</span>, n° 1474-1475, 1995, pp. 33-34.
URL fixe : https://search.arch.be/eac/eac-BE-A0500_009743_FRE